Sélection d'une édition

    Généalogie

    La SHLM possède une importante banque de données des baptêmes, mariages et sépultures de La Prairie.

    Depuis plusieurs mois, une bénévole est à répertorier les baptêmes et décès de St-Philippe. Nous sommes présentement à la recherche de bénévoles intéressés à faire des entrées de données pour cette paroisse.

    Nous sommes aussi à l’étude de la possibilité d’ouvrir un soir semaine de 19 à 22 h afin de permettre aux chercheurs en histoire et généalogie de consulter nos archives en dehors des heures habituelles d’ouverture.

    Afin d’offrir ce service nous espérons monter une équipe de bénévoles, ce qui nous permettrait d’avoir une rotation chaque semaine. Si vous êtes intéressés à faire partie de l’équipe, veuillez communiquer avec la SHLM.

    La SHLM possède une importante banque de données des baptêmes, mariages et sépultures de La Prairie. Depuis plusieurs mois, une bénévole est à répertorier les baptêmes et décès de St-Philippe. Nous sommes présentement à la recherche de bénévoles intéressés à faire des entrées de données pour cette paroisse. Nous sommes aussi à l’étude de la possibilité d’ouvrir un soir semaine de 19 à 22 h afin de permettre aux chercheurs en histoire et généalogie de consulter nos archives en dehors des heures habituelles d’ouverture. Afin d’offrir ce service nous espérons monter une équipe de bénévoles, ce qui nous permettrait d’avoir une rotation chaque semaine. Si vous êtes intéressés à faire partie de l’équipe, veuillez communiquer avec la SHLM....

    À propos du bulletin

    Éditeur :

    Société d’histoire de La Prairie -de-la-Magdeleine

     

    Internet : www.laprairie -shlm.com

     

    Dépôt légal 2002

    Bibliothèque nationale du Québec

    Bibliothèque nationale du Canada

    ISSN 1499-7312
     

     

    Collaborateurs :

    Coordination : Johanne McLean, secr.-coord.

    Rédaction :

    Gilbert Beaulieu

    Jean L’Heureux (179)

    Jean-René Côté (64)

    Laurent Houde (277)

    Révision :

    Gilbert Beaulieu (361)

    Céline Lussier (177)

    Infographie : Révisatech

    Impression : Imprimerie Moderne La Prairie inc.
     

     

    Siège social :

    249, rue Sainte-Marie

    La Prairie (Québec) J5R 1G1

     

    Tél. : 450-659-1393

    Téléc. : 450-659-1393

    Courriel : histoire@laprairie -shlm.com
     

     

    Les auteurs assument l’entière responsabilité du contenu de leurs

    articles et ce, à la complète exonération de l’éditeur.

    Éditeur : Société d’histoire de La Prairie -de-la-Magdeleine   Internet : www.laprairie -shlm.com   Dépôt légal 2002 Bibliothèque nationale du Québec Bibliothèque nationale du Canada ISSN 1499-7312     Collaborateurs : Coordination : Johanne McLean, secr.-coord. Rédaction : Gilbert Beaulieu Jean L’Heureux (179) Jean-René Côté (64) Laurent Houde (277) Révision : Gilbert Beaulieu (361) Céline Lussier (177) Infographie : Révisatech Impression : Imprimerie Moderne La Prairie inc.     Siège social : 249, rue Sainte-Marie La Prairie (Québec) J5R 1G1   Tél. : 450-659-1393 Téléc. : 450-659-1393 Courriel : histoire@laprairie -shlm.com     Les auteurs assument l’entière responsabilité du contenu de leurs articles et ce, à la complète exonération de l’éditeur....

    Échos… de la bibliothèque

    Don

    Un merci de tout coeur à M. Denis Marcil qui a contribué à l’enrichissement de notre bibliothèque. Voici quelques titres de l’ensemble.

    Le chemin de Jacques Cartier vers la bourgade d’Hochelaga, HACHARD Eugène

    Notre grande aventure, GROULX Lionel

    Histoire du Canada, du traité d’Utrecht au traité de Paris, LANCTÔT Gustave – – Lendemain de conquête, GROULX Lionel

    Sir William Phipps devant Québec, MYRAND Ernest, 1960

    Chansons populaires du Canada, GAGNON Ernest

    Les Nunamiut, Inuit au coeur des terres, VÉZINET Monique

    Épopée de la fourrure, HUBERT-ROBERT Régine

    Jeanne, fille du Roy, MARTEL Suzanne

    Premières missions des Jésuites en Nouvelle- France, CAMPEAU Lucien0

    Frontenac, FRÉGAULT Guy

    Inventaire des testaments, donations et inventaires du régime français, Vol. 1, 2 et 3, ROY Pierre-Georges
     

    Avis de recherche

    Collections à compléter:

    Cahier des Dix, vol. 1 à 22 (1936 à 1958)

    Bulletins de Recherches Historiques Années de 1895 à 1923
     

    À noter

    Un ordinateur est à votre disposition dans la salle de lecture pour la recherche de livres par :

    — titre

    — auteur

    — sujet.

    Les bibliothécaires ou Johanne se feront un grand plaisir, selon leur disponibilité, de vous indiquer comment utiliser le moteur de recherche. N’hésitez pas à leur demander.
     

    Rappel

    Pour éviter d’égarer des livres en les replaçant au mauvais endroit (leur recherche peut demander beaucoup de temps), il est recommandé de plutôt laisser les livres consultés sur le chariot disposé à l’entrée de la salle ou sur la table.

    Don Un merci de tout coeur à M. Denis Marcil qui a contribué à l’enrichissement de notre bibliothèque. Voici quelques titres de l’ensemble. - Le chemin de Jacques Cartier vers la bourgade d’Hochelaga, HACHARD Eugène - Notre grande aventure, GROULX Lionel - Histoire du Canada, du traité d’Utrecht au traité de Paris, LANCTÔT Gustave - - Lendemain de conquête, GROULX Lionel - Sir William Phipps devant Québec, MYRAND Ernest, 1960 - Chansons populaires du Canada, GAGNON Ernest - Les Nunamiut, Inuit au coeur des terres, VÉZINET Monique - Épopée de la fourrure, HUBERT-ROBERT Régine - Jeanne, fille du Roy, MARTEL Suzanne - Premières missions des Jésuites en Nouvelle- France, CAMPEAU Lucien0 - Frontenac, FRÉGAULT Guy - Inventaire des testaments, donations et inventaires du régime français, Vol. 1, 2 et 3, ROY Pierre-Georges   Avis de recherche Collections à compléter: — Cahier des Dix, vol. 1 à 22 (1936 à 1958) — Bulletins de Recherches Historiques Années de 1895 à 1923   À noter Un ordinateur est à votre disposition dans la salle de lecture pour la recherche de livres par : — titre — auteur — sujet. Les bibliothécaires ou Johanne se feront un grand plaisir, selon leur disponibilité, de vous indiquer comment utiliser le moteur de recherche. N’hésitez pas à leur demander.   Rappel Pour éviter d’égarer des livres en les replaçant au mauvais endroit (leur recherche peut demander beaucoup de temps), il est recommandé de plutôt laisser les livres consultés sur le chariot disposé à l’entrée de la salle ou sur la table. ...

    François Beaucourt (Partie 3)

    Le Musée McCord d’histoire canadienne possède le « Portrait de Catherine Wurtele » (1750; « Portrait d’une jeune négresse portant un plateau de fruits » aussi nommé « Esclave noire » (1786).

    Le département de collection des Soeurs Grises de Montréal conserve trois oeuvres de François Beaucourt datées de 1792 : le portrait de « Claude Poncin, p.s.s. », ainsi que ceux de « Mère d’Youville » et de « Mère Despins » de la congrégation des Soeurs Grises.
     

     

    Références

    — Auger, Roland, Généalogie de Paul Malepart. Mémoires de la Société généalogique canadienne-française, XVI, no 4, p. 199.

    — Lacoursière, Jacques, Histoire du Québec. Texte de Kerel, David concernant François de Beaucourt, page 16, Henri Rivard, éd., 2001.

    — Major-Frégeau, Madeleine,La vie et l’oeuvre de François Malépart de Beaucourt (1740-1794). Québec, Ministère des affaires culturelles, éd., (Collection Civilisation du Québec n° 24), 1979, 196 pages.

    — Major-Frégeau, Madeleine : Dictionnaire biographique du Canada, vol. IV, p. 548-549. Les Presses de l’Université Laval, , éd., 1980.

    — Massicotte, E.Z.,Le peintre Malepart de Beaucours». Bull. Rech. Hist., XXVII, 1921, p. 187.

    Le Musée McCord d’histoire canadienne possède le « Portrait de Catherine Wurtele » (1750; « Portrait d’une jeune négresse portant un plateau de fruits » aussi nommé « Esclave noire » (1786). Le département de collection des Soeurs Grises de Montréal conserve trois oeuvres de François Beaucourt datées de 1792 : le portrait de « Claude Poncin, p.s.s. », ainsi que ceux de « Mère d’Youville » et de « Mère Despins » de la congrégation des Soeurs Grises.     Références — Auger, Roland, Généalogie de Paul Malepart. Mémoires de la Société généalogique canadienne-française, XVI, no 4, p. 199. — Lacoursière, Jacques, Histoire du Québec. Texte de Kerel, David concernant François de Beaucourt, page 16, Henri Rivard, éd., 2001. — Major-Frégeau, Madeleine,La vie et l’oeuvre de François Malépart de Beaucourt (1740-1794). Québec, Ministère des affaires culturelles, éd., (Collection Civilisation du Québec n° 24), 1979, 196 pages. — Major-Frégeau, Madeleine : Dictionnaire biographique du Canada, vol. IV, p. 548-549. Les Presses de l’Université Laval, , éd., 1980. — Massicotte, E.Z.,Le peintre Malepart de Beaucours». Bull. Rech. Hist., XXVII, 1921, p. 187. ...

    François Beaucourt (Partie 2)

    C’est le 14 février 1784 que ce fils de La Prairie fut élu membre de l’Académie de peinture, de sculpture et d’architecture de Bordeaux. Puis il part pour l’Amérique, vers la fin de décembre ou au début de 1785.

    En 1786, on le dit à la Guadeloupe. Cette même année, il revint au Canada et peint «Jeune négresse portant un plateau de fruits», toile datée à Montréal.D’après Gérard Morisset, son modèle aurait été son esclave noire.Aussi, c’est en 1786 que l’église de Varennes s’enrichit de la peinture «La Madone» signée par Beaucourt et en 1792-1793, cette paroisse acquit d’autres de ses oeuvres dont le « Portrait de l’Abbé Duburon » constructeur de la troisième église de Varennes (1780). Les églises de Yamachiche, de l’île Perrot et de Saint-Martin de l’île Jésus, firent aussi l’acquisition de certains de ses tableaux.

    Il signait F. Beaucourt, ajoutant à son nom les 3 points en triangle des membres du Grand Orient.Il était « frère » de la loge maçonnique de Montréal.

    Après un retour en France et quelque temps passé en Allemagne et à Saint-Pétersbourg, il pratiqua comme portraitiste et décorateur à Philadelphie. Il se fixa définitivement au Bas-Canada en 1792, année où il réalisa les portraits de l’abbé Poncin et des Mères d’Youville et Despins.

    François Malepart dit Beaucourt est décédé subitement à Montréal, le 22 juin 1794. Sa veuve lui survécut jusqu’au 13 janvier 1843. Sous le nom de Benoîte Gaetan, elle s’était remariée à Montréal, avec Gabriel Franchère, le 5 juillet 1810.
     

    Testament de Benoîte Gaetan-Camagne

    veuve de François Beaucourt et de Gabriel FranchèreGreffe Patrice Lacombe, Montréal, 5 juillet 1832, Résumé de E.Z. Massicotte«Léguant à son frère Auguste Gaetan, chirurgien-dentiste à New-York, environ 900 dollars, à ses belles- filles et beaux- fils tous mariés, une grande partie de ses vêtements et effets mobiliers, à la négresse Catherine Cora, qui avait dû être sa servante,Marcel Trudel (1990) mentionne deux esclaves ayant appartenus à Benoîte Gaetan veuve de François Beaucourt : Jean-Baptiste François, nègre baptisé le 14 avril 1791 à 14 ans environ (parrain : le notaire Jean-Baptiste Desève; marraine : la propriétaire). Aussi : Marie-Thérèse-Zemire, négresse inhumée le 16 décembre 1800, à l’Hôpital Général. Le nom de la négresse Catherine Cora apparaissant dans son testament n’y est pas mentionné. une somme de 30 dollars, plus “des hardes”. Quant aux tableaux qui lui restaient et autres biens, elle en faisait don à Gabriel Franchère fils».

    Collections

    On retrouve au Musée du Québec, plusieurs oeuvres de François Beaucourt : « Marguerite-Alexis Mailhot » (1793) épouse d’Eustache-Ignace Trottier dit Desrivières-Beaubien; « Portrait de femme âgée » (1792); « L’Abbé Antoine-Marie Morand » (1760- 1770); des fragments de « Marie secours des chrétiens » (1793); « La résurrection d’un mort par Saint-Antoine-de-Padoue » aussi nommé « Le Miracle de Saint-Antoine » (1794); portrait de « Fleury Mesplet » (1794) premier imprimeur à Montréal et fondateur de « La Gazette Littéraire » ancêtre de la « Gazette» de Montréal ».

    Le Musée des beaux-arts du Canada est aussi propriétaire de quelques-uns de ses tableaux, dont : « Portrait de jeune fille » (1787); « Autoportrait » (vers 1773-1786); portrait de « Eustache-Ignace Trottier dit Desrivières Beaubien » (1792); cinq fragments de « Marie, secours des chrétiens » (1793).

    Le Musée des beaux-arts de Montréal ne possède aucune oeuvre de François Malepart dit Beaucourt.  

    C’est le 14 février 1784 que ce fils de La Prairie fut élu membre de l’Académie de peinture, de sculpture et d’architecture de Bordeaux. Puis il part pour l’Amérique, vers la fin de décembre ou au début de 1785. En 1786, on le dit à la Guadeloupe. Cette même année, il revint au Canada et peint «Jeune négresse portant un plateau de fruits», toile datée à Montréal.D’après Gérard Morisset, son modèle aurait été son esclave noire.Aussi, c’est en 1786 que l’église de Varennes s’enrichit de la peinture «La Madone» signée par Beaucourt et en 1792-1793, cette paroisse acquit d’autres de ses oeuvres dont le « Portrait de l’Abbé Duburon » constructeur de la troisième église de Varennes (1780). Les églises de Yamachiche, de l’île Perrot et de Saint-Martin de l’île Jésus, firent aussi l’acquisition de certains de ses tableaux. Il signait F. Beaucourt, ajoutant à son nom les 3 points en triangle des membres du Grand Orient.Il était « frère » de la loge maçonnique de Montréal. Après un retour en France et quelque temps passé en Allemagne et à Saint-Pétersbourg, il pratiqua comme portraitiste et décorateur à Philadelphie. Il se fixa définitivement au Bas-Canada en 1792, année où il réalisa les portraits de l’abbé Poncin et des Mères d’Youville et Despins. François Malepart dit Beaucourt est décédé subitement à Montréal, le 22 juin 1794. Sa veuve lui survécut jusqu’au 13 janvier 1843. Sous le nom de Benoîte Gaetan, elle s’était remariée à Montréal, avec Gabriel Franchère, le 5 juillet 1810.   Testament de Benoîte Gaetan-Camagne veuve de François Beaucourt et de Gabriel FranchèreGreffe Patrice Lacombe, Montréal, 5 juillet 1832, Résumé de E.Z. Massicotte«Léguant à son frère Auguste Gaetan, chirurgien-dentiste à New-York, environ 900 dollars, à ses belles- filles et beaux- fils tous mariés, une grande partie de ses vêtements et effets mobiliers, à la négresse Catherine Cora, qui avait dû être sa servante,Marcel Trudel (1990) mentionne deux esclaves ayant appartenus à Benoîte Gaetan veuve de François Beaucourt : Jean-Baptiste François, nègre baptisé le 14 avril 1791 à 14 ans environ (parrain : le notaire Jean-Baptiste Desève; marraine : la propriétaire). Aussi : Marie-Thérèse-Zemire, négresse inhumée le 16 décembre 1800, à l’Hôpital Général. Le nom de la négresse Catherine Cora apparaissant dans son testament n’y est pas mentionné. une somme de 30 dollars, plus “des hardes”. Quant aux tableaux qui lui restaient et autres biens, elle en faisait don à Gabriel Franchère fils». Collections On retrouve au Musée du Québec, plusieurs oeuvres de François Beaucourt : « Marguerite-Alexis Mailhot » (1793) épouse d’Eustache-Ignace Trottier dit Desrivières-Beaubien; « Portrait de femme âgée » (1792); « L’Abbé Antoine-Marie Morand » (1760- 1770); des fragments de « Marie secours des chrétiens » (1793); « La résurrection d’un mort par Saint-Antoine-de-Padoue » aussi nommé « Le Miracle de Saint-Antoine » (1794); portrait de « Fleury Mesplet » (1794) premier imprimeur à Montréal et fondateur de « La Gazette Littéraire » ancêtre de la « Gazette» de Montréal ». Le Musée des beaux-arts du Canada est aussi propriétaire de quelques-uns de ses tableaux, dont : « Portrait de jeune fille » (1787); « Autoportrait » (vers 1773-1786); portrait de « Eustache-Ignace Trottier dit Desrivières Beaubien » (1792); cinq fragments de « Marie, secours des chrétiens » (1793). Le Musée des beaux-arts de Montréal ne possède aucune oeuvre de François Malepart dit Beaucourt.  ...

    François Beaucourt

    «Le peintre Beaucourt, après avoir étudié en France, embellit les églises canadiennes de peintures dans le genre de Watteau»Dupré et Noville, «Le Canada illustré», Paris 1919,
    citation de Gérard Morisset.

    C’est à La Prairie, le 25 février 1740, que naquit le peintre renommé François Malepart dit Beaucourt. Son père Paul Malepart de Grandmaison dit Beaucourt, originaire de Saint-Eustache de Paris, y était en garnison en tant que sergent dans les troupes de la marine. Ce militaire qui était peintre amateur s’était marié à Montréal, le 25 juin 1737,Âgé de 37 ans à Marguerite HaguenierÂgée de 24 ans. Baptisée à Montréal, le 7 mai 1716.fille de Louis Haguenier et de Marie-Anne Besset.Louis Haguenier et Marie-Anne Besset firent baptiser, à La Prairie, 3 de leurs enfants, de 1719 à 1722. De plus, 2 de leurs filles et un de leurs garçons se marièrent à La Prairie, entre 1736 et 1743.

    Acte de baptême

    La Prairie : «L’an mil sept cens quarante, le vingtcinquième jour de février, je soussigné prêtre ai baptisé François, né led. Jour, fils de Paul Beaucourt, sergent des troupes et Marguerite Haguenier sa femme. Le parrain François Haguenier a déclaré ne savoir signer et la marraine Charlotte Longuetain a signé

    Charlotte Lontin,

    Jacques Desligneris, ptre»

    Cette famille aurait quitté La Prairie vers 1745, quand Paul Malepart a été réformé. Ce dernier a été inhumé à Québec, le 16 juin 1756.

    Aucun document n’a été retracé concernant les premières années de François Beaucourt. Il semble qu’il aurait, tout au moins, acquis le goût des arts avec son père.

    Madeleine Major-Frégeau écrit à propos de François Beaucourt : « En 1757, moins d’un an après la mort de celui-ci (Paul Malepart, père de François), sa mère se remarie avec Romain Lasselain,Dit Bellefleur. Québec, le 7 février 1757caporal dans le régiment de Guyenne. D’après le contrat de mariage, François, seul enfant vivant issu du précédent mariage de Marguerite Haguenier, devait être “nourry et entretenu au dépens delad. Communauté… jusques a l’age de Vint Cinq ans”. Il est possible qu’après la Conquête son beau-père, le caporal Lasselain, ait décidé de retourner en France avec sa famille».

    Cette hypothèse concernant le retour en France de Jean-Romain Lasselain et de sa famille, semble peu vraisemblable. Ce soldat de la Compagnie de Chassignol s’est remarié à Saint-Constant de La Prairie, en 1770, avec Marie-Anne Bétournay et ce couple a laissé une nombreuse descendance au Canada, portant le patronyme de Bellefleur.

    On retrouve François Malepart dit Beaucourt lors de son mariage avec Benoîte Camagne, à Saint-Seurin de Bordeaux, le 12 juillet 1773. Elle était la fille du peintre Joseph Camagne avec qui, peut-être, François Beaucourt perfectionna son art.

     

    Acte de mariage

    « Le même jour (12 juillet 1773) après la publication d’un ban dans cette église sans opposition au futur mariage entre sieur François Malepart, peintre, natif de Québec en Canada, habitant de cette paroisse, fils majeur et légitime de feux Paul Malepart et de demoiselle Marie-Marguerite Agrenier, d’une part, et de demoiselle Benoite Camagne, native de cette ville, paroisse Saint-Michel, habitante de celle-cy, fille mineure et légitime de sieur Joseph Camagne, d’autre part, vue la dispense du second et troisième banc ensemble la permission de célébrer leurs fiançailles immédiatement avant leur mariage, en date du six du courant, (Signé) : Debar vicaire général; Delondres secrétaire

    Je, soussigné, curé de Saint Seurin, sacriste et chanoine du chapitre de la même église, ai leur ai imparti la bénédiction nuptiale en la présence de Mr Me Joseph Narbonne, vicaire de la paroisse de sieur Joseph Gaetan Camagne, père de l’épouse, de sieur Candide Frédéric, Antoine Degrassy, et de sieur Jean Laclotte qui ont signé avec moi.

    (Signé) : Marlepart de Beaucour (sic) époux; Camagne épouse; J. Gajetan-Camagne; Degrassi fils; Degrassy père; j. Laclotte; Nones; Camagne; Narbonne vicaire; Camagne fils

    Lagardère sacriste chanoine et curé».Acte copié en 1921, par Desigala, adjoint au maire de Bordeaux et délégué pour l’instruction publique et les archives. Ville de Bordeaux, archives municipales, série GG, paroisse Saint-Seurin, registre 751, acte numéro 47.

     

     

     

     

     

    «Le peintre Beaucourt, après avoir étudié en France, embellit les églises canadiennes de peintures dans le genre de Watteau»Dupré et Noville, «Le Canada illustré», Paris 1919, citation de Gérard Morisset. C’est à La Prairie, le 25 février 1740, que naquit le peintre renommé François Malepart dit Beaucourt. Son père Paul Malepart de Grandmaison dit Beaucourt, originaire de Saint-Eustache de Paris, y était en garnison en tant que sergent dans les troupes de la marine. Ce militaire qui était peintre amateur s’était marié à Montréal, le 25 juin 1737,Âgé de 37 ans à Marguerite HaguenierÂgée de 24 ans. Baptisée à Montréal, le 7 mai 1716.fille de Louis Haguenier et de Marie-Anne Besset.Louis Haguenier et Marie-Anne Besset firent baptiser, à La Prairie, 3 de leurs enfants, de 1719 à 1722. De plus, 2 de leurs filles et un de leurs garçons se marièrent à La Prairie, entre 1736 et 1743. Acte de baptême La Prairie : «L’an mil sept cens quarante, le vingtcinquième jour de février, je soussigné prêtre ai baptisé François, né led. Jour, fils de Paul Beaucourt, sergent des troupes et Marguerite Haguenier sa femme. Le parrain François Haguenier a déclaré ne savoir signer et la marraine Charlotte Longuetain a signé Charlotte Lontin, Jacques Desligneris, ptre» Cette famille aurait quitté La Prairie vers 1745, quand Paul Malepart a été réformé. Ce dernier a été inhumé à Québec, le 16 juin 1756. Aucun document n’a été retracé concernant les premières années de François Beaucourt. Il semble qu’il aurait, tout au moins, acquis le goût des arts avec son père. Madeleine Major-Frégeau écrit à propos de François Beaucourt : « En 1757, moins d’un an après la mort de celui-ci (Paul Malepart, père de François), sa mère se remarie avec Romain Lasselain,Dit Bellefleur. Québec, le 7 février 1757caporal dans le régiment de Guyenne. D’après le contrat de mariage, François, seul enfant vivant issu du précédent mariage de Marguerite Haguenier, devait être “nourry et entretenu au dépens delad. Communauté… jusques a l’age de Vint Cinq ans”. Il est possible qu’après la Conquête son beau-père, le caporal Lasselain, ait décidé de retourner en France avec sa famille». Cette hypothèse concernant le retour en France de Jean-Romain Lasselain et de sa famille, semble peu vraisemblable. Ce soldat de la Compagnie de Chassignol s’est remarié à Saint-Constant de La Prairie, en 1770, avec Marie-Anne Bétournay et ce couple a laissé une nombreuse descendance au Canada, portant le patronyme de Bellefleur. On retrouve François Malepart dit Beaucourt lors de son mariage avec Benoîte Camagne, à Saint-Seurin de Bordeaux, le 12 juillet 1773. Elle était la fille du peintre Joseph Camagne avec qui, peut-être, François Beaucourt perfectionna son art.   Acte de mariage « Le même jour (12 juillet 1773) après la publication d’un ban dans cette église sans opposition au futur mariage entre sieur François Malepart, peintre, natif de Québec en Canada, habitant de cette paroisse, fils majeur et légitime de feux Paul Malepart et de demoiselle Marie-Marguerite Agrenier, d’une part, et de demoiselle Benoite Camagne, native de cette ville, paroisse Saint-Michel, habitante de celle-cy, fille mineure et légitime de sieur Joseph Camagne, d’autre part, vue la dispense du second et troisième banc ensemble la permission de célébrer leurs fiançailles immédiatement avant leur mariage, en date du six du courant, (Signé) : Debar vicaire général; Delondres secrétaire Je, soussigné, curé de Saint Seurin, sacriste et chanoine du chapitre de la même église, ai leur ai imparti la bénédiction nuptiale en la présence de Mr Me Joseph Narbonne, vicaire de la paroisse de sieur Joseph Gaetan Camagne, père de l’épouse, de sieur Candide Frédéric, Antoine Degrassy, et de sieur Jean Laclotte qui ont signé avec moi. (Signé) : Marlepart de Beaucour (sic) époux; Camagne épouse; J. Gajetan-Camagne; Degrassi fils; Degrassy père; j. Laclotte; Nones; Camagne; Narbonne vicaire; Camagne fils Lagardère sacriste chanoine et curé».Acte copié en 1921, par Desigala, adjoint au maire de Bordeaux et délégué pour l’instruction publique et les archives. Ville de Bordeaux, archives municipales, série GG, paroisse Saint-Seurin, registre 751, acte numéro 47.          ...

    Avis

    Nous sommes toujours à la recherche d’articles pour notre mensuel « Au Jour le Jour ». Si vous avez des histoires ou tout simplement êtes à la recherche d’informations, « Au Jour le Jour » est un bon moyen de communication afin de rejoindre d’autres membres qui pourraient répondre à vos questions.

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    Si on montait y faire nos devoirs?

    Propos recueillis auprès de Monsieur Ernest Poupart, le doyen en âge de la SHLM,

    Dans ma jeunesse j’étais enfant de choeur à l’église de la Nativité. C’est le frère Stanislas qui était responsable de ces jeunes qui assistaient à la grandmesse vêtus de la soutane noire et du surplis blanc. À ceux qui devaient jouer un rôle particulier au cours de la cérémonie religieuse il enseignait comment le faire.

    À la grand-messe, j’assumais le rôle de cérémoniaireCelui qui accompagne l’officiant tout au long de la messe.ou de porte-flambeau. Un copain, Jean-Baptiste Dufort, était thuriféraireCelui qui s’occupe de l’encensoir.. Quand il lui arrivait d’encenser il le faisait avec une grande vigueur. Comme nous étions tous deux reconnus comme assez fiables Monsieur Audette, le bedeau, acceptait facilement notre offre de l’aider en certaines occasions. Par exemple, nous l’aidions à transporter et installer les différentes pièces d’étoffe noire dont on tendait l’église pour les funérailles. En participant à ces activités j’en étais venu à connaître l’église dans tous ses recoins.

    Un jour du mois de mai, alors que Jean-Baptiste Dufort et moi étions seuls dans l’église l’idée me vint de lui proposer d’aller faire nos devoirs dans le clocher. J’avais découvert lors d’une exploration antérieure qu’une certaine porte située au jubé de l’orgue donnait accès à ce lieu intrigant. Le goût d’y monter me revenait de temps à autre. Y aller à deux serait plus rassurant. Mon copain fut enthousiasmé par la perspective de l’aventure.

    Monter du plancher de la nef au clocher nous prit très peu de temps. Et, une fois rendu, en moins de deux nous étions installés sur les poutres auxquelles étaient suspendues les cloches. Après examen du paysage nous nous sommes mutuellement aidés dans nos devoirs. Puis nous sommes redescendus en emportant avec nous le secret de cette aventure. Mais qui a goûté au fruit défendu… Quelques autres visites suivirent connues de nous seuls.

    Un beau jour que nous étions encore juchés sur les grosses poutres les cloches se mirent en branle. Oh là là! Ça sonnait et ça branlait de plus en plus fort. Tout le clocher nous semblait s’agiter en se balançant d’un bord à l’autre. Le bruit était étourdissant et nous étions pris entre le besoin de nous boucher les oreilles. Il y avait aussi le balancement du clocher qui nous énervait. Impossible de descendre entre les cloches qui se balançaient à toute volée. Nous avions très peur. Les cloches sonnaient pour un baptême. Cette fois-là, le parrain du baptisé avait dû payer double tarif pour faire durer ce vacarme qui n’en finissait plus.

    Inutile de dire que, le vacarme terminé, nous sommes redescendus à toute vitesse pour rejoindre le plancher des vaches. Mais il ne fallait surtout pas que Monsieur Audette s’aperçoive de notre présence dans les parages. Heureusement nous pûmes nous esquiver de l’église sans nous faire voir.

    Jamais plus nous ne sommes remontés là- haut. Et nous ne nous sommes jamais vantés de notre aventure de crainte du terrible sermon qu’elle nous aurait attiré si jamais la chose avait été connue en certains lieux.

    Propos recueillis auprès de Monsieur Ernest Poupart, le doyen en âge de la SHLM, Dans ma jeunesse j’étais enfant de choeur à l’église de la Nativité. C’est le frère Stanislas qui était responsable de ces jeunes qui assistaient à la grandmesse vêtus de la soutane noire et du surplis blanc. À ceux qui devaient jouer un rôle particulier au cours de la cérémonie religieuse il enseignait comment le faire. À la grand-messe, j’assumais le rôle de cérémoniaireCelui qui accompagne l’officiant tout au long de la messe.ou de porte-flambeau. Un copain, Jean-Baptiste Dufort, était thuriféraireCelui qui s’occupe de l’encensoir.. Quand il lui arrivait d’encenser il le faisait avec une grande vigueur. Comme nous étions tous deux reconnus comme assez fiables Monsieur Audette, le bedeau, acceptait facilement notre offre de l’aider en certaines occasions. Par exemple, nous l’aidions à transporter et installer les différentes pièces d’étoffe noire dont on tendait l’église pour les funérailles. En participant à ces activités j’en étais venu à connaître l’église dans tous ses recoins. Un jour du mois de mai, alors que Jean-Baptiste Dufort et moi étions seuls dans l’église l’idée me vint de lui proposer d’aller faire nos devoirs dans le clocher. J’avais découvert lors d’une exploration antérieure qu’une certaine porte située au jubé de l’orgue donnait accès à ce lieu intrigant. Le goût d’y monter me revenait de temps à autre. Y aller à deux serait plus rassurant. Mon copain fut enthousiasmé par la perspective de l’aventure. Monter du plancher de la nef au clocher nous prit très peu de temps. Et, une fois rendu, en moins de deux nous étions installés sur les poutres auxquelles étaient suspendues les cloches. Après examen du paysage nous nous sommes mutuellement aidés dans nos devoirs. Puis nous sommes redescendus en emportant avec nous le secret de cette aventure. Mais qui a goûté au fruit défendu... Quelques autres visites suivirent connues de nous seuls. Un beau jour que nous étions encore juchés sur les grosses poutres les cloches se mirent en branle. Oh là là! Ça sonnait et ça branlait de plus en plus fort. Tout le clocher nous semblait s’agiter en se balançant d’un bord à l’autre. Le bruit était étourdissant et nous étions pris entre le besoin de nous boucher les oreilles. Il y avait aussi le balancement du clocher qui nous énervait. Impossible de descendre entre les cloches qui se balançaient à toute volée. Nous avions très peur. Les cloches sonnaient pour un baptême. Cette fois-là, le parrain du baptisé avait dû payer double tarif pour faire durer ce vacarme qui n’en finissait plus. Inutile de dire que, le vacarme terminé, nous sommes redescendus à toute vitesse pour rejoindre le plancher des vaches. Mais il ne fallait surtout pas que Monsieur Audette s’aperçoive de notre présence dans les parages. Heureusement nous pûmes nous esquiver de l’église sans nous faire voir. Jamais plus nous ne sommes remontés là- haut. Et nous ne nous sommes jamais vantés de notre aventure de crainte du terrible sermon qu’elle nous aurait attiré si jamais la chose avait été connue en certains lieux....

    C’est la vie… de la SHLM

    Nouveaux membres

    La SHLM accueille régulièrement de nouveaux

    membres. Il nous fait plaisir de souligner l’adhésion

    des dernières personnes à joindre nos rangs et de leur

    souhaiter la bienvenue :

    M. Sylvain Lamarche, La Prairie, (441)

    M. Clément Kirouac, Candiac, (442)

    M. Rodrigue De Montigny, Sainte-Catherine, (443)

    M. Maurice Létourneau, La Prairie, (444)

    M. Marcel Myre, Candiac, (446)
     

    Nouveaux tarifs :

    Lors de la réunion du conseil d’administration le 14 janvier 2003, il a été approuvé à l’unanimité de hausser le coût des photocopies à 0,15 $ à partir du 1er février 2003. Cette hausse de 0.05 $ est due au coût de la location de la machine ainsi que du matériel. Depuis la création de la grille de tarification en 1999, c’est la première fois que la SHLM doit en augmenter le tarif. Cependant, soyez assurés que nos coûts sont, à bien des égards, inférieurs à la plupart des autres lieux de recherches. Nous vous remercions de votre compréhension. Jean L’Heureux au nom du conseil d’administration.
     

    Stagiaire

    La SHLM accueille depuis le 21 janvier 2003 un stagiaire de l’école secondaire La Magdeleine. Martin Poirier suit ce stage dans le cadre d’un programme intitulé ISPJ (Insertion sociale et professionnelle des Jeunes).

    Martin, qui a des compétences pour différents programmes informatiques, fera divers travaux durant son stage qui dure six semaines.
     

    Exposition

    Dans notre dernier numéro nous avons affiché une demande pour trouver une personne qui pourrait monter notre prochaine exposition. Monsieur Paul Racine, de La Prairie, est la personne embauchée à cet effet. L’exposition portera sur la présence militaire au temps de la Seigneurie de La Prairie.

    Bien que les archives de la SHLM soient riches en documents textuels, cartes et plans, sur les périodes du 17ième au 19ième siècles, la SHLM possède très peu d’objets de cette époque.

    Si vous détenez ou si vous connaissez quelqu’un qui en possède et serait consentant à faire un prêt pour une durée d’un an à la SHLM, nous serions intéressés à les emprunter si ces objets concordent avec l’exposition. Pour plus d’information veuillez nous contacter au 659-1393.
     

    Rencontres Historiques

    (anciennement Dialogue avec l’Histoire)

    Nous sommes heureux d’annoncer que le projet éducatif « Rencontres Historiques » a été accepté par le ministre de la Culture pour une quatrième année. Monsieur Charles Beaudry sera responsable du projet afin de poursuivre le travail déjà en place dans certaines écoles de la Montérégie.
     

    Poste d’Archiviste

    Nous avons reçu plusieurs curriculum vitæ pour le poste d’archiviste. Dans notre prochain numéro nous vous informerons des résultats et du nom de la personne sélectionnée.

    Nouveaux membres La SHLM accueille régulièrement de nouveaux membres. Il nous fait plaisir de souligner l’adhésion des dernières personnes à joindre nos rangs et de leur souhaiter la bienvenue : M. Sylvain Lamarche, La Prairie, (441) M. Clément Kirouac, Candiac, (442) M. Rodrigue De Montigny, Sainte-Catherine, (443) M. Maurice Létourneau, La Prairie, (444) M. Marcel Myre, Candiac, (446)   Nouveaux tarifs : Lors de la réunion du conseil d’administration le 14 janvier 2003, il a été approuvé à l’unanimité de hausser le coût des photocopies à 0,15 $ à partir du 1er février 2003. Cette hausse de 0.05 $ est due au coût de la location de la machine ainsi que du matériel. Depuis la création de la grille de tarification en 1999, c’est la première fois que la SHLM doit en augmenter le tarif. Cependant, soyez assurés que nos coûts sont, à bien des égards, inférieurs à la plupart des autres lieux de recherches. Nous vous remercions de votre compréhension. Jean L’Heureux au nom du conseil d’administration.   Stagiaire La SHLM accueille depuis le 21 janvier 2003 un stagiaire de l’école secondaire La Magdeleine. Martin Poirier suit ce stage dans le cadre d’un programme intitulé ISPJ (Insertion sociale et professionnelle des Jeunes). Martin, qui a des compétences pour différents programmes informatiques, fera divers travaux durant son stage qui dure six semaines.   Exposition Dans notre dernier numéro nous avons affiché une demande pour trouver une personne qui pourrait monter notre prochaine exposition. Monsieur Paul Racine, de La Prairie, est la personne embauchée à cet effet. L’exposition portera sur la présence militaire au temps de la Seigneurie de La Prairie. Bien que les archives de la SHLM soient riches en documents textuels, cartes et plans, sur les périodes du 17ième au 19ième siècles, la SHLM possède très peu d’objets de cette époque. Si vous détenez ou si vous connaissez quelqu’un qui en possède et serait consentant à faire un prêt pour une durée d’un an à la SHLM, nous serions intéressés à les emprunter si ces objets concordent avec l’exposition. Pour plus d’information veuillez nous contacter au 659-1393.   Rencontres Historiques (anciennement Dialogue avec l’Histoire) Nous sommes heureux d’annoncer que le projet éducatif « Rencontres Historiques » a été accepté par le ministre de la Culture pour une quatrième année. Monsieur Charles Beaudry sera responsable du projet afin de poursuivre le travail déjà en place dans certaines écoles de la Montérégie.   Poste d’Archiviste Nous avons reçu plusieurs curriculum vitæ pour le poste d’archiviste. Dans notre prochain numéro nous vous informerons des résultats et du nom de la personne sélectionnée....

    Conférence: La route de l’Atlantique

    Notre prochaine conférence aura lieu le 18 février au 247, rue Sainte-Marie (étage), à 20h.

    La route de l’Atlantique

    Le conférencier :

    M. Charles Beaudry

    archéologue et historien

    Notre prochaine conférence aura lieu le 18 février au 247, rue Sainte-Marie (étage), à 20h. La route de l’Atlantique Le conférencier : M. Charles Beaudry archéologue et historien...