Sélection d'une édition

    François Beaucourt

    «Le peintre Beaucourt, après avoir étudié en France, embellit les églises canadiennes de peintures dans le genre de Watteau»Dupré et Noville, «Le Canada illustré», Paris 1919,
    citation de Gérard Morisset.

    C’est à La Prairie, le 25 février 1740, que naquit le peintre renommé François Malepart dit Beaucourt. Son père Paul Malepart de Grandmaison dit Beaucourt, originaire de Saint-Eustache de Paris, y était en garnison en tant que sergent dans les troupes de la marine. Ce militaire qui était peintre amateur s’était marié à Montréal, le 25 juin 1737,Âgé de 37 ans à Marguerite HaguenierÂgée de 24 ans. Baptisée à Montréal, le 7 mai 1716.fille de Louis Haguenier et de Marie-Anne Besset.Louis Haguenier et Marie-Anne Besset firent baptiser, à La Prairie, 3 de leurs enfants, de 1719 à 1722. De plus, 2 de leurs filles et un de leurs garçons se marièrent à La Prairie, entre 1736 et 1743.

    Acte de baptême

    La Prairie : «L’an mil sept cens quarante, le vingtcinquième jour de février, je soussigné prêtre ai baptisé François, né led. Jour, fils de Paul Beaucourt, sergent des troupes et Marguerite Haguenier sa femme. Le parrain François Haguenier a déclaré ne savoir signer et la marraine Charlotte Longuetain a signé

    Charlotte Lontin,

    Jacques Desligneris, ptre»

    Cette famille aurait quitté La Prairie vers 1745, quand Paul Malepart a été réformé. Ce dernier a été inhumé à Québec, le 16 juin 1756.

    Aucun document n’a été retracé concernant les premières années de François Beaucourt. Il semble qu’il aurait, tout au moins, acquis le goût des arts avec son père.

    Madeleine Major-Frégeau écrit à propos de François Beaucourt : « En 1757, moins d’un an après la mort de celui-ci (Paul Malepart, père de François), sa mère se remarie avec Romain Lasselain,Dit Bellefleur. Québec, le 7 février 1757caporal dans le régiment de Guyenne. D’après le contrat de mariage, François, seul enfant vivant issu du précédent mariage de Marguerite Haguenier, devait être “nourry et entretenu au dépens delad. Communauté… jusques a l’age de Vint Cinq ans”. Il est possible qu’après la Conquête son beau-père, le caporal Lasselain, ait décidé de retourner en France avec sa famille».

    Cette hypothèse concernant le retour en France de Jean-Romain Lasselain et de sa famille, semble peu vraisemblable. Ce soldat de la Compagnie de Chassignol s’est remarié à Saint-Constant de La Prairie, en 1770, avec Marie-Anne Bétournay et ce couple a laissé une nombreuse descendance au Canada, portant le patronyme de Bellefleur.

    On retrouve François Malepart dit Beaucourt lors de son mariage avec Benoîte Camagne, à Saint-Seurin de Bordeaux, le 12 juillet 1773. Elle était la fille du peintre Joseph Camagne avec qui, peut-être, François Beaucourt perfectionna son art.

     

    Acte de mariage

    « Le même jour (12 juillet 1773) après la publication d’un ban dans cette église sans opposition au futur mariage entre sieur François Malepart, peintre, natif de Québec en Canada, habitant de cette paroisse, fils majeur et légitime de feux Paul Malepart et de demoiselle Marie-Marguerite Agrenier, d’une part, et de demoiselle Benoite Camagne, native de cette ville, paroisse Saint-Michel, habitante de celle-cy, fille mineure et légitime de sieur Joseph Camagne, d’autre part, vue la dispense du second et troisième banc ensemble la permission de célébrer leurs fiançailles immédiatement avant leur mariage, en date du six du courant, (Signé) : Debar vicaire général; Delondres secrétaire

    Je, soussigné, curé de Saint Seurin, sacriste et chanoine du chapitre de la même église, ai leur ai imparti la bénédiction nuptiale en la présence de Mr Me Joseph Narbonne, vicaire de la paroisse de sieur Joseph Gaetan Camagne, père de l’épouse, de sieur Candide Frédéric, Antoine Degrassy, et de sieur Jean Laclotte qui ont signé avec moi.

    (Signé) : Marlepart de Beaucour (sic) époux; Camagne épouse; J. Gajetan-Camagne; Degrassi fils; Degrassy père; j. Laclotte; Nones; Camagne; Narbonne vicaire; Camagne fils

    Lagardère sacriste chanoine et curé».Acte copié en 1921, par Desigala, adjoint au maire de Bordeaux et délégué pour l’instruction publique et les archives. Ville de Bordeaux, archives municipales, série GG, paroisse Saint-Seurin, registre 751, acte numéro 47.

     

     

     

     

     

    «Le peintre Beaucourt, après avoir étudié en France, embellit les églises canadiennes de peintures dans le genre de Watteau»Dupré et Noville, «Le Canada illustré», Paris 1919, citation de Gérard Morisset. C’est à La Prairie, le 25 février 1740, que naquit le peintre renommé François Malepart dit Beaucourt. Son père Paul Malepart de Grandmaison dit Beaucourt, originaire de Saint-Eustache de Paris, y était en garnison en tant que sergent dans les troupes de la marine. Ce militaire qui était peintre amateur s’était marié à Montréal, le 25 juin 1737,Âgé de 37 ans à Marguerite HaguenierÂgée de 24 ans. Baptisée à Montréal, le 7 mai 1716.fille de Louis Haguenier et de Marie-Anne Besset.Louis Haguenier et Marie-Anne Besset firent baptiser, à La Prairie, 3 de leurs enfants, de 1719 à 1722. De plus, 2 de leurs filles et un de leurs garçons se marièrent à La Prairie, entre 1736 et 1743. Acte de baptême La Prairie : «L’an mil sept cens quarante, le vingtcinquième jour de février, je soussigné prêtre ai baptisé François, né led. Jour, fils de Paul Beaucourt, sergent des troupes et Marguerite Haguenier sa femme. Le parrain François Haguenier a déclaré ne savoir signer et la marraine Charlotte Longuetain a signé Charlotte Lontin, Jacques Desligneris, ptre» Cette famille aurait quitté La Prairie vers 1745, quand Paul Malepart a été réformé. Ce dernier a été inhumé à Québec, le 16 juin 1756. Aucun document n’a été retracé concernant les premières années de François Beaucourt. Il semble qu’il aurait, tout au moins, acquis le goût des arts avec son père. Madeleine Major-Frégeau écrit à propos de François Beaucourt : « En 1757, moins d’un an après la mort de celui-ci (Paul Malepart, père de François), sa mère se remarie avec Romain Lasselain,Dit Bellefleur. Québec, le 7 février 1757caporal dans le régiment de Guyenne. D’après le contrat de mariage, François, seul enfant vivant issu du précédent mariage de Marguerite Haguenier, devait être “nourry et entretenu au dépens delad. Communauté… jusques a l’age de Vint Cinq ans”. Il est possible qu’après la Conquête son beau-père, le caporal Lasselain, ait décidé de retourner en France avec sa famille». Cette hypothèse concernant le retour en France de Jean-Romain Lasselain et de sa famille, semble peu vraisemblable. Ce soldat de la Compagnie de Chassignol s’est remarié à Saint-Constant de La Prairie, en 1770, avec Marie-Anne Bétournay et ce couple a laissé une nombreuse descendance au Canada, portant le patronyme de Bellefleur. On retrouve François Malepart dit Beaucourt lors de son mariage avec Benoîte Camagne, à Saint-Seurin de Bordeaux, le 12 juillet 1773. Elle était la fille du peintre Joseph Camagne avec qui, peut-être, François Beaucourt perfectionna son art.   Acte de mariage « Le même jour (12 juillet 1773) après la publication d’un ban dans cette église sans opposition au futur mariage entre sieur François Malepart, peintre, natif de Québec en Canada, habitant de cette paroisse, fils majeur et légitime de feux Paul Malepart et de demoiselle Marie-Marguerite Agrenier, d’une part, et de demoiselle Benoite Camagne, native de cette ville, paroisse Saint-Michel, habitante de celle-cy, fille mineure et légitime de sieur Joseph Camagne, d’autre part, vue la dispense du second et troisième banc ensemble la permission de célébrer leurs fiançailles immédiatement avant leur mariage, en date du six du courant, (Signé) : Debar vicaire général; Delondres secrétaire Je, soussigné, curé de Saint Seurin, sacriste et chanoine du chapitre de la même église, ai leur ai imparti la bénédiction nuptiale en la présence de Mr Me Joseph Narbonne, vicaire de la paroisse de sieur Joseph Gaetan Camagne, père de l’épouse, de sieur Candide Frédéric, Antoine Degrassy, et de sieur Jean Laclotte qui ont signé avec moi. (Signé) : Marlepart de Beaucour (sic) époux; Camagne épouse; J. Gajetan-Camagne; Degrassi fils; Degrassy père; j. Laclotte; Nones; Camagne; Narbonne vicaire; Camagne fils Lagardère sacriste chanoine et curé».Acte copié en 1921, par Desigala, adjoint au maire de Bordeaux et délégué pour l’instruction publique et les archives. Ville de Bordeaux, archives municipales, série GG, paroisse Saint-Seurin, registre 751, acte numéro 47.          ...

    François Beaucourt (Partie 2)

    C’est le 14 février 1784 que ce fils de La Prairie fut élu membre de l’Académie de peinture, de sculpture et d’architecture de Bordeaux. Puis il part pour l’Amérique, vers la fin de décembre ou au début de 1785.

    En 1786, on le dit à la Guadeloupe. Cette même année, il revint au Canada et peint «Jeune négresse portant un plateau de fruits», toile datée à Montréal.D’après Gérard Morisset, son modèle aurait été son esclave noire.Aussi, c’est en 1786 que l’église de Varennes s’enrichit de la peinture «La Madone» signée par Beaucourt et en 1792-1793, cette paroisse acquit d’autres de ses oeuvres dont le « Portrait de l’Abbé Duburon » constructeur de la troisième église de Varennes (1780). Les églises de Yamachiche, de l’île Perrot et de Saint-Martin de l’île Jésus, firent aussi l’acquisition de certains de ses tableaux.

    Il signait F. Beaucourt, ajoutant à son nom les 3 points en triangle des membres du Grand Orient.Il était « frère » de la loge maçonnique de Montréal.

    Après un retour en France et quelque temps passé en Allemagne et à Saint-Pétersbourg, il pratiqua comme portraitiste et décorateur à Philadelphie. Il se fixa définitivement au Bas-Canada en 1792, année où il réalisa les portraits de l’abbé Poncin et des Mères d’Youville et Despins.

    François Malepart dit Beaucourt est décédé subitement à Montréal, le 22 juin 1794. Sa veuve lui survécut jusqu’au 13 janvier 1843. Sous le nom de Benoîte Gaetan, elle s’était remariée à Montréal, avec Gabriel Franchère, le 5 juillet 1810.
     

    Testament de Benoîte Gaetan-Camagne

    veuve de François Beaucourt et de Gabriel FranchèreGreffe Patrice Lacombe, Montréal, 5 juillet 1832, Résumé de E.Z. Massicotte«Léguant à son frère Auguste Gaetan, chirurgien-dentiste à New-York, environ 900 dollars, à ses belles- filles et beaux- fils tous mariés, une grande partie de ses vêtements et effets mobiliers, à la négresse Catherine Cora, qui avait dû être sa servante,Marcel Trudel (1990) mentionne deux esclaves ayant appartenus à Benoîte Gaetan veuve de François Beaucourt : Jean-Baptiste François, nègre baptisé le 14 avril 1791 à 14 ans environ (parrain : le notaire Jean-Baptiste Desève; marraine : la propriétaire). Aussi : Marie-Thérèse-Zemire, négresse inhumée le 16 décembre 1800, à l’Hôpital Général. Le nom de la négresse Catherine Cora apparaissant dans son testament n’y est pas mentionné. une somme de 30 dollars, plus “des hardes”. Quant aux tableaux qui lui restaient et autres biens, elle en faisait don à Gabriel Franchère fils».

    Collections

    On retrouve au Musée du Québec, plusieurs oeuvres de François Beaucourt : « Marguerite-Alexis Mailhot » (1793) épouse d’Eustache-Ignace Trottier dit Desrivières-Beaubien; « Portrait de femme âgée » (1792); « L’Abbé Antoine-Marie Morand » (1760- 1770); des fragments de « Marie secours des chrétiens » (1793); « La résurrection d’un mort par Saint-Antoine-de-Padoue » aussi nommé « Le Miracle de Saint-Antoine » (1794); portrait de « Fleury Mesplet » (1794) premier imprimeur à Montréal et fondateur de « La Gazette Littéraire » ancêtre de la « Gazette» de Montréal ».

    Le Musée des beaux-arts du Canada est aussi propriétaire de quelques-uns de ses tableaux, dont : « Portrait de jeune fille » (1787); « Autoportrait » (vers 1773-1786); portrait de « Eustache-Ignace Trottier dit Desrivières Beaubien » (1792); cinq fragments de « Marie, secours des chrétiens » (1793).

    Le Musée des beaux-arts de Montréal ne possède aucune oeuvre de François Malepart dit Beaucourt.  

    C’est le 14 février 1784 que ce fils de La Prairie fut élu membre de l’Académie de peinture, de sculpture et d’architecture de Bordeaux. Puis il part pour l’Amérique, vers la fin de décembre ou au début de 1785. En 1786, on le dit à la Guadeloupe. Cette même année, il revint au Canada et peint «Jeune négresse portant un plateau de fruits», toile datée à Montréal.D’après Gérard Morisset, son modèle aurait été son esclave noire.Aussi, c’est en 1786 que l’église de Varennes s’enrichit de la peinture «La Madone» signée par Beaucourt et en 1792-1793, cette paroisse acquit d’autres de ses oeuvres dont le « Portrait de l’Abbé Duburon » constructeur de la troisième église de Varennes (1780). Les églises de Yamachiche, de l’île Perrot et de Saint-Martin de l’île Jésus, firent aussi l’acquisition de certains de ses tableaux. Il signait F. Beaucourt, ajoutant à son nom les 3 points en triangle des membres du Grand Orient.Il était « frère » de la loge maçonnique de Montréal. Après un retour en France et quelque temps passé en Allemagne et à Saint-Pétersbourg, il pratiqua comme portraitiste et décorateur à Philadelphie. Il se fixa définitivement au Bas-Canada en 1792, année où il réalisa les portraits de l’abbé Poncin et des Mères d’Youville et Despins. François Malepart dit Beaucourt est décédé subitement à Montréal, le 22 juin 1794. Sa veuve lui survécut jusqu’au 13 janvier 1843. Sous le nom de Benoîte Gaetan, elle s’était remariée à Montréal, avec Gabriel Franchère, le 5 juillet 1810.   Testament de Benoîte Gaetan-Camagne veuve de François Beaucourt et de Gabriel FranchèreGreffe Patrice Lacombe, Montréal, 5 juillet 1832, Résumé de E.Z. Massicotte«Léguant à son frère Auguste Gaetan, chirurgien-dentiste à New-York, environ 900 dollars, à ses belles- filles et beaux- fils tous mariés, une grande partie de ses vêtements et effets mobiliers, à la négresse Catherine Cora, qui avait dû être sa servante,Marcel Trudel (1990) mentionne deux esclaves ayant appartenus à Benoîte Gaetan veuve de François Beaucourt : Jean-Baptiste François, nègre baptisé le 14 avril 1791 à 14 ans environ (parrain : le notaire Jean-Baptiste Desève; marraine : la propriétaire). Aussi : Marie-Thérèse-Zemire, négresse inhumée le 16 décembre 1800, à l’Hôpital Général. Le nom de la négresse Catherine Cora apparaissant dans son testament n’y est pas mentionné. une somme de 30 dollars, plus “des hardes”. Quant aux tableaux qui lui restaient et autres biens, elle en faisait don à Gabriel Franchère fils». Collections On retrouve au Musée du Québec, plusieurs oeuvres de François Beaucourt : « Marguerite-Alexis Mailhot » (1793) épouse d’Eustache-Ignace Trottier dit Desrivières-Beaubien; « Portrait de femme âgée » (1792); « L’Abbé Antoine-Marie Morand » (1760- 1770); des fragments de « Marie secours des chrétiens » (1793); « La résurrection d’un mort par Saint-Antoine-de-Padoue » aussi nommé « Le Miracle de Saint-Antoine » (1794); portrait de « Fleury Mesplet » (1794) premier imprimeur à Montréal et fondateur de « La Gazette Littéraire » ancêtre de la « Gazette» de Montréal ». Le Musée des beaux-arts du Canada est aussi propriétaire de quelques-uns de ses tableaux, dont : « Portrait de jeune fille » (1787); « Autoportrait » (vers 1773-1786); portrait de « Eustache-Ignace Trottier dit Desrivières Beaubien » (1792); cinq fragments de « Marie, secours des chrétiens » (1793). Le Musée des beaux-arts de Montréal ne possède aucune oeuvre de François Malepart dit Beaucourt.  ...

    François Beaucourt (Partie 3)

    Le Musée McCord d’histoire canadienne possède le « Portrait de Catherine Wurtele » (1750; « Portrait d’une jeune négresse portant un plateau de fruits » aussi nommé « Esclave noire » (1786).

    Le département de collection des Soeurs Grises de Montréal conserve trois oeuvres de François Beaucourt datées de 1792 : le portrait de « Claude Poncin, p.s.s. », ainsi que ceux de « Mère d’Youville » et de « Mère Despins » de la congrégation des Soeurs Grises.
     

     

    Références

    — Auger, Roland, Généalogie de Paul Malepart. Mémoires de la Société généalogique canadienne-française, XVI, no 4, p. 199.

    — Lacoursière, Jacques, Histoire du Québec. Texte de Kerel, David concernant François de Beaucourt, page 16, Henri Rivard, éd., 2001.

    — Major-Frégeau, Madeleine,La vie et l’oeuvre de François Malépart de Beaucourt (1740-1794). Québec, Ministère des affaires culturelles, éd., (Collection Civilisation du Québec n° 24), 1979, 196 pages.

    — Major-Frégeau, Madeleine : Dictionnaire biographique du Canada, vol. IV, p. 548-549. Les Presses de l’Université Laval, , éd., 1980.

    — Massicotte, E.Z.,Le peintre Malepart de Beaucours». Bull. Rech. Hist., XXVII, 1921, p. 187.

    Le Musée McCord d’histoire canadienne possède le « Portrait de Catherine Wurtele » (1750; « Portrait d’une jeune négresse portant un plateau de fruits » aussi nommé « Esclave noire » (1786). Le département de collection des Soeurs Grises de Montréal conserve trois oeuvres de François Beaucourt datées de 1792 : le portrait de « Claude Poncin, p.s.s. », ainsi que ceux de « Mère d’Youville » et de « Mère Despins » de la congrégation des Soeurs Grises.     Références — Auger, Roland, Généalogie de Paul Malepart. Mémoires de la Société généalogique canadienne-française, XVI, no 4, p. 199. — Lacoursière, Jacques, Histoire du Québec. Texte de Kerel, David concernant François de Beaucourt, page 16, Henri Rivard, éd., 2001. — Major-Frégeau, Madeleine,La vie et l’oeuvre de François Malépart de Beaucourt (1740-1794). Québec, Ministère des affaires culturelles, éd., (Collection Civilisation du Québec n° 24), 1979, 196 pages. — Major-Frégeau, Madeleine : Dictionnaire biographique du Canada, vol. IV, p. 548-549. Les Presses de l’Université Laval, , éd., 1980. — Massicotte, E.Z.,Le peintre Malepart de Beaucours». Bull. Rech. Hist., XXVII, 1921, p. 187. ...