Sélection d'une édition

    Des nouvelles du comité de généalogie

    La responsabilité du comité de généalogie a été confiée à M. Jean L’Heureux, chercheur chevronné depuis plus de vingt ans et à M. Stéphane Tremblay, enseignant en histoire dans une école secondaire. Ces deux personnes-ressources ont beaucoup à offrir aux chercheurs; M. L’Heureux connaissant à fond l’univers des répertoires généalogiques et M. Tremblay sachant comment utiliser plusieurs récentes ressources sur internet.

    Le comité de généalogie vous rappelle qu’il anime un club de généalogie tous les lundis soir entre 19 h et 21 h sauf durant la saison estivale où le club de généalogie fait relâche. Vous pouvez aussi vous présenter en semaine durant les heures d’ouverture, soit les mardis, mercredis et jeudis de 10 h à 17 h. Durant la saison estivale, la SHLM accueille les visiteurs aux mêmes heures du mardi au dimanche.

    Depuis l’automne 2008, la SHLM est abonnée au site www.ancestry.ca. En devenant membre de la SHLM vous pouvez utiliser gratuitement les ressources de ce site internet à partir de nos locaux. Trois postes informatiques sont réservés aux chercheurs en généalogie. Grâce à l’intervention de M. Robert Mailhot, notre spécialiste en informatique, nous avons pu résoudre quelques problèmes techniques en utilisant le moteur de recherche Mozilla.

    Plusieurs membres utilisent maintenant cette ressource à la SHLM et leurs travaux de recherche avancent à grands pas. Nous vous rappelons que le site www.ancestry.ca est surtout utile pour trouver des baptêmes, des mariages ou des sépultures au Québec ; sur une période s’échelonnant des débuts de la Nouvelle-France jusqu’en 1940. Des recensements américains et canadiens des 19e et 20e siècles sont également accessibles.

    Nos sources imprimées sont également très nombreuses. Nous possédons toute la collection Drouin sur les mariages du Québec et notre collection de répertoires généalogiques par paroisse s’enrichit peu à peu au fil des ans; elle atteindra bientôt les 3000 titres. Il est d’ailleurs possible de consulter l’index de nos répertoires paroissiaux sur le site www.laprairie-shlm.com. Vos suggestions d’achats seront prises en compte, car elles nous permettront de mieux répondre à vos besoins.

    En mars nous avons fait l’acquisition de deux nouveaux répertoires : « Les mariages de la paroisse de la Présentation-de- la-Sainte-Vierge (Dorval) 1895-1975 » de Maurice Legault et « Mariages et nécrologie de Notre-Dame-Auxiliatrice (Buckland, comté de Bellechasse) 1863-1974 » de J. Napoléon Goulet.

    Enfin, nous consacrons de nombreuses heures à répondre aux multiples demandes qui nous parviennent par courriel. La plupart des chercheurs deviennent membres de la SHLM afin de nous permettre de faire des recherches à distance. Par exemple, nous avons pu aider Mme Eileen Pizza des États-Unis, à retrouver ses ancêtres de Saint-Philippe, Napierville et Sherrington. D’autres recherches ont permis à la famille Dupré d’en apprendre davantage sur un de leurs ancêtres rapprochés qui avait quitté La Prairie après la Première Guerre mondiale pour s’établir à Parent près de La Tuque. Nous avons même collaboré, à la fin de l’été 2008, avec l’auteur Kenn Harper, un spécialiste de la culture inuite canadienne, pour ses recherches sur Jean-Baptiste Racine, un pêcheur de baleine né à La Prairie en 1832.

    La responsabilité du comité de généalogie a été confiée à M. Jean L’Heureux, chercheur chevronné depuis plus de vingt ans et à M. Stéphane Tremblay, enseignant en histoire dans une école secondaire. Ces deux personnes-ressources ont beaucoup à offrir aux chercheurs; M. L’Heureux connaissant à fond l’univers des répertoires généalogiques et M. Tremblay sachant comment utiliser plusieurs récentes ressources sur internet. Le comité de généalogie vous rappelle qu’il anime un club de généalogie tous les lundis soir entre 19 h et 21 h sauf durant la saison estivale où le club de généalogie fait relâche. Vous pouvez aussi vous présenter en semaine durant les heures d’ouverture, soit les mardis, mercredis et jeudis de 10 h à 17 h. Durant la saison estivale, la SHLM accueille les visiteurs aux mêmes heures du mardi au dimanche. Depuis l’automne 2008, la SHLM est abonnée au site www.ancestry.ca. En devenant membre de la SHLM vous pouvez utiliser gratuitement les ressources de ce site internet à partir de nos locaux. Trois postes informatiques sont réservés aux chercheurs en généalogie. Grâce à l’intervention de M. Robert Mailhot, notre spécialiste en informatique, nous avons pu résoudre quelques problèmes techniques en utilisant le moteur de recherche Mozilla. Plusieurs membres utilisent maintenant cette ressource à la SHLM et leurs travaux de recherche avancent à grands pas. Nous vous rappelons que le site www.ancestry.ca est surtout utile pour trouver des baptêmes, des mariages ou des sépultures au Québec ; sur une période s’échelonnant des débuts de la Nouvelle-France jusqu’en 1940. Des recensements américains et canadiens des 19e et 20e siècles sont également accessibles. Nos sources imprimées sont également très nombreuses. Nous possédons toute la collection Drouin sur les mariages du Québec et notre collection de répertoires généalogiques par paroisse s’enrichit peu à peu au fil des ans; elle atteindra bientôt les 3000 titres. Il est d’ailleurs possible de consulter l’index de nos répertoires paroissiaux sur le site www.laprairie-shlm.com. Vos suggestions d’achats seront prises en compte, car elles nous permettront de mieux répondre à vos besoins. En mars nous avons fait l’acquisition de deux nouveaux répertoires : « Les mariages de la paroisse de la Présentation-de- la-Sainte-Vierge (Dorval) 1895-1975 » de Maurice Legault et « Mariages et nécrologie de Notre-Dame-Auxiliatrice (Buckland, comté de Bellechasse) 1863-1974 » de J. Napoléon Goulet. Enfin, nous consacrons de nombreuses heures à répondre aux multiples demandes qui nous parviennent par courriel. La plupart des chercheurs deviennent membres de la SHLM afin de nous permettre de faire des recherches à distance. Par exemple, nous avons pu aider Mme Eileen Pizza des États-Unis, à retrouver ses ancêtres de Saint-Philippe, Napierville et Sherrington. D’autres recherches ont permis à la famille Dupré d’en apprendre davantage sur un de leurs ancêtres rapprochés qui avait quitté La Prairie après la Première Guerre mondiale pour s’établir à Parent près de La Tuque. Nous avons même collaboré, à la fin de l’été 2008, avec l’auteur Kenn Harper, un spécialiste de la culture inuite canadienne, pour ses recherches sur Jean-Baptiste Racine, un pêcheur de baleine né à La Prairie en 1832. ...

    Nouvelle organisation de la bibliothèque

    Notre bibliothèque a beaucoup changé depuis deux ans. L’emplacement des livres a été chambardé et nombreux sont ceux qui ne trouvent plus leur ouvrage de référence là où ils avaient l’habitude de le consulter. C’est que l’organisation de la collection a été refaite suivant le système de classification décimale Dewey.
     

    LA CLASSIFICATION

    Le système Dewey, que l’on retrouve dans la plupart des bibliothèques publiques, répartit l’ensemble du savoir humain en 10 grandes classes, de 000 à 900. Comme la classe 900 est consacrée à l’histoire et la géographie, on ne sera pas surpris d’y retrouver la majorité des ouvrages de notre bibliothèque. Trois autres classes comportent aussi un assez grand nombre d’ouvrages. Il s’agit de la classe 200 attribuée aux sciences religieuses où l’on trouve l’histoire de l’Église au Québec et des communautés religieuses. La classe 300 concerne toutes les sciences sociales, de la politique aux transports en passant par l’immigration, le droit et l’économie. C’est là qu’on pourra consulter les inventaires de notaires, les livres sur l’agriculture, les tribunaux ou les immigrants. La classe 700, enfin, est réservée aux arts et la séquence 720-729 à l’architecture. On y trouvera les ouvrages sur les maisons et les églises anciennes ainsi que sur le patrimoine bâti et artistique.

    Venons-en maintenant à la classe 900 qui constitue l’essentiel de notre bibliothèque. Les récits de voyages et d’exploration sont regroupés pour la plupart en 917. La séquence 920-929 concerne les biographies et la généalogie. La cote 929 est réservée à la généalogie et comme les ouvrages sont nombreux je l’ai divisée en 2 parties : la cote 929.2 est attribuée aux ouvrages généraux comme le dictionnaire Tanguay tandis que la cote 929.209 est attribuée aux généalogies d’une famille en particulier. Les familles sont en ordre alphabétique grâce à la lettre suivie de 3 chiffres placée en dessous de la cote. Par exemple : 929.209 B752 : famille Bouchard.

    Les livres d’histoire proprement dite se retrouvent presque tous à la cote 971 qui est celle de l’histoire du Canada. La cote 971 sans décimale indique les histoires générales du Canada. La cote 971 suivie d’une séquence décimale qui commence par 0 indique une subdivision chrono – logique, par exemple : 971.01 pour les livres sur la Nouvelle-France; 971.038, pour ceux sur les rébellions de 1837-38. Cette cote 971 a aussi des subdivisions géographiques : l’histoire du Québec est à 971.4. Le Québec est à son tour subdivisé géographiquement d’ouest en est : 971.41 : l’Abitibi; 971.428 : l’île de Montréal ; 971.43 : la Rive-Sud du Saint-Laurent à l’ouest de la rivière Richelieu et l’ancienne seigneurie de La Prairie : 971.434.


     

    LA DISPOSITION

    Le reclassement de la bibliothèque a amené son réaménagement pour que la collection se retrouve en une seule séquence. Sur le mur du fond, la collection Drouin est restée à sa place, suivie de la collection de répertoires des registres de paroisses. La collection classifiée en Dewey commence sur le mur face aux fenêtres, juste après la collection des répertoires. Elle se continue jusqu’à la porte. Cette section se termine à la cote 929.2. La collection reprend ensuite juste après la porte du bureau pour se terminer dans l’étagère entre les deux fenêtres.
     

    LE CATALOGUE

    Le catalogue de la bibliothèque peut être consulté sur n’importe quel ordinateur de la société. On y accède par l’icône représentant des livres. Le compte « PUBLIC » ne nécessite pas de mot de passe. Il suffit de cliquer sur « continuer » puis sur « Gestion biblio graphique ». Une notice apparait. Pour faire une recherche, cliquer sur « Rechercher » au bas de la notice. Une fenêtre s’ouvre avec des cases pour les critères de recherche et d’autres pour les termes à chercher. Il est préférable d’utiliser le critère « tous les champs » à moins qu’on ne veuille chercher par cote. Il est IMPORTANT de n’utiliser qu’un seul terme par case, car le système ne reconnait que les chaînes de caractères. Ainsi, si vous cherchez des ouvrages de Lionel Groulx et que vous entrez dans la case « Lionel Groulx » vous ne trouverez que les ouvrages ou apparait la séquence « Lionel Groulx ». Or les auteurs sont entrés sous la forme « Groulx, Lionel ». Il faut donc entrer Groulx et Lionel dans 2 cases différentes : vous obtiendrez alors tous les ouvrages de Lionel Groulx et ceux sur Lionel Groulx. Pour ratisser plus large, n’entrez qu’un seul terme. Si vous cherchez des ouvrages sur la construction des moulins et que vous entrez « moulins » et « construction », vous ne trouverez peut-être rien. Si vous cherchez seulement « moulins », vous aurez tous les ouvrages sur les moulins. Si votre recherche a été fructueuse, une notice apparaîtra à l’écran. Sinon, vous obtiendrez un écran blanc. Pour connaître toutes les notices récupérées par votre recherche, vous avez 2 choix. Vous pouvez consulter les notices une à une en cliquant sur « suivant » au bas de la notice. Vous pouvez aussi obtenir une liste en cliquant sur « consulter » au coin supérieur droit de la notice. Vous verrez alors apparaître une liste indiquant le titre, l’auteur et la cote des ouvrages repérés. Pour afficher une notice de la liste, placer le curseur sur la notice et appuyer sur la touche « Esc ». On ne peut pas fermer la liste, il faut la quitter en affichant une notice.

    Il est aussi impossible de fermer le catalogue, il faut obligatoirement le « quitter ».
     

    DÉMONSTRATION

    Pour ceux et celles qui seraient intéressés, nous pourrions organiser de courtes séances de démonstration du catalogue à l’occasion d’une rencontre du club de généalogie le lundi en soirée. Sur ce, je vous souhaite bonne consultation et demeure à votre disposition.

    Notre bibliothèque a beaucoup changé depuis deux ans. L’emplacement des livres a été chambardé et nombreux sont ceux qui ne trouvent plus leur ouvrage de référence là où ils avaient l’habitude de le consulter. C’est que l’organisation de la collection a été refaite suivant le système de classification décimale Dewey.   LA CLASSIFICATION Le système Dewey, que l’on retrouve dans la plupart des bibliothèques publiques, répartit l’ensemble du savoir humain en 10 grandes classes, de 000 à 900. Comme la classe 900 est consacrée à l’histoire et la géographie, on ne sera pas surpris d’y retrouver la majorité des ouvrages de notre bibliothèque. Trois autres classes comportent aussi un assez grand nombre d’ouvrages. Il s’agit de la classe 200 attribuée aux sciences religieuses où l’on trouve l’histoire de l’Église au Québec et des communautés religieuses. La classe 300 concerne toutes les sciences sociales, de la politique aux transports en passant par l’immigration, le droit et l’économie. C’est là qu’on pourra consulter les inventaires de notaires, les livres sur l’agriculture, les tribunaux ou les immigrants. La classe 700, enfin, est réservée aux arts et la séquence 720-729 à l’architecture. On y trouvera les ouvrages sur les maisons et les églises anciennes ainsi que sur le patrimoine bâti et artistique. Venons-en maintenant à la classe 900 qui constitue l’essentiel de notre bibliothèque. Les récits de voyages et d’exploration sont regroupés pour la plupart en 917. La séquence 920-929 concerne les biographies et la généalogie. La cote 929 est réservée à la généalogie et comme les ouvrages sont nombreux je l’ai divisée en 2 parties : la cote 929.2 est attribuée aux ouvrages généraux comme le dictionnaire Tanguay tandis que la cote 929.209 est attribuée aux généalogies d’une famille en particulier. Les familles sont en ordre alphabétique grâce à la lettre suivie de 3 chiffres placée en dessous de la cote. Par exemple : 929.209 B752 : famille Bouchard. Les livres d’histoire proprement dite se retrouvent presque tous à la cote 971 qui est celle de l’histoire du Canada. La cote 971 sans décimale indique les histoires générales du Canada. La cote 971 suivie d’une séquence décimale qui commence par 0 indique une subdivision chrono - logique, par exemple : 971.01 pour les livres sur la Nouvelle-France; 971.038, pour ceux sur les rébellions de 1837-38. Cette cote 971 a aussi des subdivisions géographiques : l’histoire du Québec est à 971.4. Le Québec est à son tour subdivisé géographiquement d’ouest en est : 971.41 : l’Abitibi; 971.428 : l’île de Montréal ; 971.43 : la Rive-Sud du Saint-Laurent à l’ouest de la rivière Richelieu et l’ancienne seigneurie de La Prairie : 971.434.   LA DISPOSITION Le reclassement de la bibliothèque a amené son réaménagement pour que la collection se retrouve en une seule séquence. Sur le mur du fond, la collection Drouin est restée à sa place, suivie de la collection de répertoires des registres de paroisses. La collection classifiée en Dewey commence sur le mur face aux fenêtres, juste après la collection des répertoires. Elle se continue jusqu’à la porte. Cette section se termine à la cote 929.2. La collection reprend ensuite juste après la porte du bureau pour se terminer dans l’étagère entre les deux fenêtres.   LE CATALOGUE Le catalogue de la bibliothèque peut être consulté sur n’importe quel ordinateur de la société. On y accède par l’icône représentant des livres. Le compte « PUBLIC » ne nécessite pas de mot de passe. Il suffit de cliquer sur « continuer » puis sur « Gestion biblio graphique ». Une notice apparait. Pour faire une recherche, cliquer sur « Rechercher » au bas de la notice. Une fenêtre s’ouvre avec des cases pour les critères de recherche et d’autres pour les termes à chercher. Il est préférable d’utiliser le critère « tous les champs » à moins qu’on ne veuille chercher par cote. Il est IMPORTANT de n’utiliser qu’un seul terme par case, car le système ne reconnait que les chaînes de caractères. Ainsi, si vous cherchez des ouvrages de Lionel Groulx et que vous entrez dans la case « Lionel Groulx » vous ne trouverez que les ouvrages ou apparait la séquence « Lionel Groulx ». Or les auteurs sont entrés sous la forme « Groulx, Lionel ». Il faut donc entrer Groulx et Lionel dans 2 cases différentes : vous obtiendrez alors tous les ouvrages de Lionel Groulx et ceux sur Lionel Groulx. Pour ratisser plus large, n’entrez qu’un seul terme. Si vous cherchez des ouvrages sur la construction des moulins et que vous entrez « moulins » et « construction », vous ne trouverez peut-être rien. Si vous cherchez seulement « moulins », vous aurez tous les ouvrages sur les moulins. Si votre recherche a été fructueuse, une notice apparaîtra à l’écran. Sinon, vous obtiendrez un écran blanc. Pour connaître toutes les notices récupérées par votre recherche, vous avez 2 choix. Vous pouvez consulter les notices une à une en cliquant sur « suivant » au bas de la notice. Vous pouvez aussi obtenir une liste en cliquant sur « consulter » au coin supérieur droit de la notice. Vous verrez alors apparaître une liste indiquant le titre, l’auteur et la cote des ouvrages repérés. Pour afficher une notice de la liste, placer le curseur sur la notice et appuyer sur la touche « Esc ». On ne peut pas fermer la liste, il faut la quitter en affichant une notice. Il est aussi impossible de fermer le catalogue, il faut obligatoirement le « quitter ».   DÉMONSTRATION Pour ceux et celles qui seraient intéressés, nous pourrions organiser de courtes séances de démonstration du catalogue à l’occasion d’une rencontre du club de généalogie le lundi en soirée. Sur ce, je vous souhaite bonne consultation et demeure à votre disposition. ...

    Fondation Liette-Turner

    La Fondation Liette-Turner, dont le siège social est à La Prairie, a été créée dans le but de soutenir financièrement le chant choral au Québec. Pour l’année 2009, la Fondation organise un concert bénéfice le 9 mai prochain à l’église de la Nativité de La Prairie. Le prix des billets a été fixé à 100 $ et à 30 $. Les billets ainsi que le programme de la soirée sont disponibles au local de la SHLM.

    Information : 450-659-1393

    La Fondation Liette-Turner, dont le siège social est à La Prairie, a été créée dans le but de soutenir financièrement le chant choral au Québec. Pour l’année 2009, la Fondation organise un concert bénéfice le 9 mai prochain à l’église de la Nativité de La Prairie. Le prix des billets a été fixé à 100 $ et à 30 $. Les billets ainsi que le programme de la soirée sont disponibles au local de la SHLM. Information : 450-659-1393 ...

    Cueillette et vente de livres

    La cueillette de livres neufs et usagés en bon état bat son plein ! Veuillez noter à votre agenda que la « prévente » réservée aux membres de la SHLM se tiendra le dimanche 31 mai de 11 h à 16 h. Vous pourrez bouquiner à votre rythme ! Le grand public est invité à participer à cette vente du 2 au 5 juin entre 10 h et 20 h et les 6 et 7 juin entre 9 h et 16 h. Dites-le à vos amis !

    La cueillette de livres neufs et usagés en bon état bat son plein ! Veuillez noter à votre agenda que la « prévente » réservée aux membres de la SHLM se tiendra le dimanche 31 mai de 11 h à 16 h. Vous pourrez bouquiner à votre rythme ! Le grand public est invité à participer à cette vente du 2 au 5 juin entre 10 h et 20 h et les 6 et 7 juin entre 9 h et 16 h. Dites-le à vos amis ! ...

    À propos du bulletin

    Éditeur

    Société d’histoire de

    La Prairie-de-la-Magdeleine

    Dépôt légal 2002

    Bibliothèque nationale du Québec

    Bibliothèque nationale du Canada

    ISSN 1499-7312

    COLLABORATEURS :

    Coordination

    Gaétan Bourdages

    Rédaction

    Gaétan Bourdages

    Laurent Houde

    Patricia McGee Fontaine

    Révision

    Jean-Pierre Yelle

    Design graphique

    François-Bernard Tremblay

    www.bonmelon.com

    Impression

    SHLM

    Siège social

    249, rue Sainte-Marie

    La Prairie (Québec) J5R 1G1

    Téléphone

    450-659-1393

    Courriel

    [email protected]

    Site Web

    www.laprairie-shlm.com

    Les auteurs assument l’entière responsabilité du contenu de leurs articles et ce, à la complète exonération de l’éditeur.

    La Caisse populaire de La Prairie commandite l’impression du bulletin Au jour le jour.

    Éditeur Société d’histoire de La Prairie-de-la-Magdeleine Dépôt légal 2002 Bibliothèque nationale du Québec Bibliothèque nationale du Canada ISSN 1499-7312 COLLABORATEURS : Coordination Gaétan Bourdages Rédaction Gaétan Bourdages Laurent Houde Patricia McGee Fontaine Révision Jean-Pierre Yelle Design graphique François-Bernard Tremblay www.bonmelon.com Impression SHLM Siège social 249, rue Sainte-Marie La Prairie (Québec) J5R 1G1 Téléphone 450-659-1393 Courriel [email protected] Site Web www.laprairie-shlm.com Les auteurs assument l’entière responsabilité du contenu de leurs articles et ce, à la complète exonération de l’éditeur. La Caisse populaire de La Prairie commandite l’impression du bulletin Au jour le jour....

    Toponymie: rue Patrick-McGee

    N.D.L.R. Dans le cadre de ce bulletin, nous vous proposons une nouvelle chronique sur l’origine des noms des rues de La Prairie. Ce premier volet est consacré à la rue Patrick-McGee située en bordure du terrain de golf de La Prairie.

    Patrick McGee est né à La Prairie le 1er novembre 1901 du mariage de Lawrence McGee et de Irène Paradis, fille de François-Xavier Paradis ancien député de Napierville. Il fit ses études à l’Académie St-Joseph de La Prairie et les compléta en comptabilité à l’université d’Ottawa de 1914 à 1917.

    Ses études terminées, Patrick McGee travaille au magasin «Demers et McGee», dont les propriétaires sont David Demers, son oncle et Lawrence McGee, son père. Il épouse en 1924 Jeannette Brisson fille de Joseph-Auguste Brisson, frère du docteur Thomas-Auguste Brisson, et d’Hermine Dumouchel. David Demers meurt accidentellement à La Prairie alors que les nouveaux époux sont en voyage de noces. Dès son retour Patrick le remplace au magasin, tant à la comptabilité, qu’aux achats et aux services à la clientèle. Il devient le propriétaire du magasin en 1939. Son père Lawrence McGee décède en 1941.
     

    Patrick McGee est un homme sociable. Il aime le public et collabore activement à plusieurs organismes sociaux; président de l’amicale des Anciens de l’Académie Saint-Joseph, membre des Chevaliers de Colomb 4e degré et membre de la Chambre de commerce de La Prairie.

    Il s’est aussi occupé activement d’affaires municipales. Élu échevin (conseiller municipal) de la ville de La Prairie en 1944, ses concitoyens l’élisent par acclamation à la mairie en 1947. Réélu en février 1950, il abandonne son poste de maire en septembre de la même année. C’est durant son mandat que se développera le quartier sud de La Prairie, appelé dans le temps « la Commune » (endroit commun où les animaux du secteur sont mis en enclos), qui deviendra la paroisse Christ-Roi.

    Patrick McGee vend son commerce en 1953. Il devient greffier de la municipalité de La Prairie jusqu’à son décès survenu après une courte maladie en octobre 1956. Il est alors âgé de 54 ans.

    N.D.L.R. Dans le cadre de ce bulletin, nous vous proposons une nouvelle chronique sur l’origine des noms des rues de La Prairie. Ce premier volet est consacré à la rue Patrick-McGee située en bordure du terrain de golf de La Prairie. Patrick McGee est né à La Prairie le 1er novembre 1901 du mariage de Lawrence McGee et de Irène Paradis, fille de François-Xavier Paradis ancien député de Napierville. Il fit ses études à l’Académie St-Joseph de La Prairie et les compléta en comptabilité à l’université d’Ottawa de 1914 à 1917. Ses études terminées, Patrick McGee travaille au magasin «Demers et McGee», dont les propriétaires sont David Demers, son oncle et Lawrence McGee, son père. Il épouse en 1924 Jeannette Brisson fille de Joseph-Auguste Brisson, frère du docteur Thomas-Auguste Brisson, et d’Hermine Dumouchel. David Demers meurt accidentellement à La Prairie alors que les nouveaux époux sont en voyage de noces. Dès son retour Patrick le remplace au magasin, tant à la comptabilité, qu’aux achats et aux services à la clientèle. Il devient le propriétaire du magasin en 1939. Son père Lawrence McGee décède en 1941.   Patrick McGee est un homme sociable. Il aime le public et collabore activement à plusieurs organismes sociaux; président de l’amicale des Anciens de l’Académie Saint-Joseph, membre des Chevaliers de Colomb 4e degré et membre de la Chambre de commerce de La Prairie. Il s’est aussi occupé activement d’affaires municipales. Élu échevin (conseiller municipal) de la ville de La Prairie en 1944, ses concitoyens l’élisent par acclamation à la mairie en 1947. Réélu en février 1950, il abandonne son poste de maire en septembre de la même année. C’est durant son mandat que se développera le quartier sud de La Prairie, appelé dans le temps « la Commune » (endroit commun où les animaux du secteur sont mis en enclos), qui deviendra la paroisse Christ-Roi. Patrick McGee vend son commerce en 1953. Il devient greffier de la municipalité de La Prairie jusqu’à son décès survenu après une courte maladie en octobre 1956. Il est alors âgé de 54 ans....

    Nouvelles SHLM

    Le véritable trésor de Clément Kirouac

    Don de M. Clément Kirouac, ce livre de plus de 400 pages paru en août 2008 est l’oeuvre de Mme Patricia Dagier.

    Il aura fallu dix années de travail à l’auteure pour dresser cette fresque historique qui met en évidence des quantités de documents historiques conservés tant au Québec qu’en France.

    Un trésor pour les généalogistes.
     

    Montreal Railway Terminals

    Don de l’auteur Michael Leduc, ce livret de 100 pages jette un rapide coup d’oeil sur les différentes gares de chemin de fer ayant existées à Montréal et aux environs.

    On y trouve trois courtes pages sur la première gare de La Prairie construite en 1836.
     

    Nouveaux membres

    La SHLM est toujours heureuse d’accueillir de nouveaux membres :

    351 Sylvie Lord

    352 Gaston Giroux

    353 Marcelle Dupré

    354 Andrée

    Papineau-Galipeau

    355 Richard Desourdy

    356 Louise Gauthier
     

    Décès de madame Thérèse Girard

    C’est avec regrets que nous apprenions récemment le décès de madame Thérèse Girard de Candiac. Membre de longue date de la SHLM, Mme Girard fit des visites guidées dans le Vieux La Prairie au début des années 1980. Passionnée d’histoire, elle avait trouvé la carte du tracé original du Chemin Du Roy entre la rivière La Tortue et le village de La Prairie. Nous conservons d’elle le souvenir d’une dame charmante et dynamique.

    Le véritable trésor de Clément Kirouac Don de M. Clément Kirouac, ce livre de plus de 400 pages paru en août 2008 est l’oeuvre de Mme Patricia Dagier. Il aura fallu dix années de travail à l’auteure pour dresser cette fresque historique qui met en évidence des quantités de documents historiques conservés tant au Québec qu’en France. Un trésor pour les généalogistes.   Montreal Railway Terminals Don de l’auteur Michael Leduc, ce livret de 100 pages jette un rapide coup d’oeil sur les différentes gares de chemin de fer ayant existées à Montréal et aux environs. On y trouve trois courtes pages sur la première gare de La Prairie construite en 1836.   Nouveaux membres La SHLM est toujours heureuse d’accueillir de nouveaux membres : 351 Sylvie Lord 352 Gaston Giroux 353 Marcelle Dupré 354 Andrée Papineau-Galipeau 355 Richard Desourdy 356 Louise Gauthier   Décès de madame Thérèse Girard C’est avec regrets que nous apprenions récemment le décès de madame Thérèse Girard de Candiac. Membre de longue date de la SHLM, Mme Girard fit des visites guidées dans le Vieux La Prairie au début des années 1980. Passionnée d’histoire, elle avait trouvé la carte du tracé original du Chemin Du Roy entre la rivière La Tortue et le village de La Prairie. Nous conservons d’elle le souvenir d’une dame charmante et dynamique....

    Quand elle avait dix ans

    On est en 1920, au couvent des Soeurs de la Congrégation de Notre- Dame, près de l’église. Une jeune écolière externe demeure trop loin du couvent pour aller prendre son repas du midi chez elle. Les quatre ou cinq fillettes qui sont dans cette condition ne sont pas autorisées à manger au réfectoire avec leurs consoeurs pensionnaires. On leur assigne un coin, dans la salle de lavage du couvent, où il y a une grande table.

    Avec le sandwich préparé par sa mère, chacune a apporté son verre pour boire de l’eau. Pour compléter le menu, elles peuvent se procurer un bol de soupe à la cuisine pour la somme de 3 cents. La religieuse de la cuisine rappelle chaque fois de bien rapporter bol et cuillère après le repas.

    Maman prépare de bons sandwichs, mais, parfois, elle n’a pas le temps d’en faire ou n’a pas ce qu’il faut sous la main. Elle donne alors la monnaie qu’il faut à sa fille et lui dit : «Passe chez Demers & McGee et achète-toi pour 10 cents de biscuits Village. » Pour notre écolière, il s’agit là d’un régal particulier.

    Si tel était le cas, un certain jour, elle serait de meilleure humeur quand elle retourne en classe après la récréation du midi. En effet, une tâche qui lui déplait l’y attend. C’est à son tour d’indiquer dans son Cahier de mémoire celles de ses consoeurs qui auront parlé dans des moments où c’est défendu de le faire.

    Dans ce petit carnet de 3 par 5 pouces elle a écrit le nom de ses compagnes de classe sous la rubrique intitulée Parleuse. Chaque fois que l’une d’elles enfreint la règle, elle doit cocher la présence de l’infraction à la suite de son nom. Cela devient embêtant lorsqu’il s’agit d’une amie ! Sur la page conservée du cahier sont identifiées trois élèves ayant transgressé la règle du silence.

    La journée pourrait se bien terminer quand, le jour du recensement des parleuses, la mère de notre écolière est venue au village et accompagne sa fille pour le retour à la maison. En effet, une fois par semaine, maman marche son mille, à pied, sur le chemin de terre du bord de l’eau. Elle va alors causer avec la femme de son frère, tenancier d’un hôtel de la rue Sainte-Marie.

    Certes, retourner à la maison avec maman est plaisant. Ce qui l’est davantage, c’est l’arrêt au petit magasin de M. Mailloux, situé du côté est de la rue Saint-Ignace, un peu avant d’arriver à la rue Saint-Louis, aujourd’hui disparue.

    Que maman est gentille lorsqu’elle ne se fait pas prier et achète pour sa fille un petit sac de papier brun rempli de bâtonnets de bonbon, si délicieux à sucer ! Cela a dû faciliter l’oubli d’un sentiment peu agréable ressenti quand on tient à conserver la considération tant de l’autorité que celle de ses camarades. Plus de quatre-vingts ans plus tard, quand l’écolière d’autrefois nous a fait part de l’usage du cahier de mémoire à propos des parleuses, elle a mis l’accent sur les faits. Pour elle, ce fait et bien d’autres situations d’alors, « c’était comme ça dans le temps ».

    On est en 1920, au couvent des Soeurs de la Congrégation de Notre- Dame, près de l’église. Une jeune écolière externe demeure trop loin du couvent pour aller prendre son repas du midi chez elle. Les quatre ou cinq fillettes qui sont dans cette condition ne sont pas autorisées à manger au réfectoire avec leurs consoeurs pensionnaires. On leur assigne un coin, dans la salle de lavage du couvent, où il y a une grande table. Avec le sandwich préparé par sa mère, chacune a apporté son verre pour boire de l’eau. Pour compléter le menu, elles peuvent se procurer un bol de soupe à la cuisine pour la somme de 3 cents. La religieuse de la cuisine rappelle chaque fois de bien rapporter bol et cuillère après le repas. Maman prépare de bons sandwichs, mais, parfois, elle n’a pas le temps d’en faire ou n’a pas ce qu’il faut sous la main. Elle donne alors la monnaie qu’il faut à sa fille et lui dit : «Passe chez Demers & McGee et achète-toi pour 10 cents de biscuits Village. » Pour notre écolière, il s’agit là d’un régal particulier. Si tel était le cas, un certain jour, elle serait de meilleure humeur quand elle retourne en classe après la récréation du midi. En effet, une tâche qui lui déplait l’y attend. C’est à son tour d’indiquer dans son Cahier de mémoire celles de ses consoeurs qui auront parlé dans des moments où c’est défendu de le faire. Dans ce petit carnet de 3 par 5 pouces elle a écrit le nom de ses compagnes de classe sous la rubrique intitulée Parleuse. Chaque fois que l’une d’elles enfreint la règle, elle doit cocher la présence de l’infraction à la suite de son nom. Cela devient embêtant lorsqu’il s’agit d’une amie ! Sur la page conservée du cahier sont identifiées trois élèves ayant transgressé la règle du silence. La journée pourrait se bien terminer quand, le jour du recensement des parleuses, la mère de notre écolière est venue au village et accompagne sa fille pour le retour à la maison. En effet, une fois par semaine, maman marche son mille, à pied, sur le chemin de terre du bord de l’eau. Elle va alors causer avec la femme de son frère, tenancier d’un hôtel de la rue Sainte-Marie. Certes, retourner à la maison avec maman est plaisant. Ce qui l’est davantage, c’est l’arrêt au petit magasin de M. Mailloux, situé du côté est de la rue Saint-Ignace, un peu avant d’arriver à la rue Saint-Louis, aujourd’hui disparue. Que maman est gentille lorsqu’elle ne se fait pas prier et achète pour sa fille un petit sac de papier brun rempli de bâtonnets de bonbon, si délicieux à sucer ! Cela a dû faciliter l’oubli d’un sentiment peu agréable ressenti quand on tient à conserver la considération tant de l’autorité que celle de ses camarades. Plus de quatre-vingts ans plus tard, quand l’écolière d’autrefois nous a fait part de l’usage du cahier de mémoire à propos des parleuses, elle a mis l’accent sur les faits. Pour elle, ce fait et bien d’autres situations d’alors, « c’était comme ça dans le temps ». ...

    Exposition été 2009

    L’exposition de l’été 2009 à la Société d’histoire sera consacrée à l’oeuvre des Frères de l’Instruction chrétienne à La Prairie (1888-2008).

    La mise en place des éléments de l’exposition (plus de soixante photographies et une trentaine d’artefacts) se fera entre le 10 et le 15 juin 2009. Nous sommes à la recherche de bénévoles disponibles pour aider à disposer ces éléments afin d’en faire une exposition de grande qualité.

    Si l’aventure vous intéresse prière de contacter Mme Édith Gagnon au 450-659-1393.

    L’exposition de l’été 2009 à la Société d’histoire sera consacrée à l’oeuvre des Frères de l’Instruction chrétienne à La Prairie (1888-2008). La mise en place des éléments de l’exposition (plus de soixante photographies et une trentaine d’artefacts) se fera entre le 10 et le 15 juin 2009. Nous sommes à la recherche de bénévoles disponibles pour aider à disposer ces éléments afin d’en faire une exposition de grande qualité. Si l’aventure vous intéresse prière de contacter Mme Édith Gagnon au 450-659-1393. ...