Sélection d'une édition

    Cueillette de livres

    L’opération « cueillette de livres » est bien amorcée ! Toutes les catégories de livres sont acceptées.

    Les livres neufs et usagés en bon état stimulent les ventes et contribuent ainsi au financement de la SHLM. Parlez-en à vos parents et amis.

    L’opération « cueillette de livres » est bien amorcée ! Toutes les catégories de livres sont acceptées. Les livres neufs et usagés en bon état stimulent les ventes et contribuent ainsi au financement de la SHLM. Parlez-en à vos parents et amis....

    Henry Livingston à La Prairie (suite)

    Le meilleur de ces moulins appartient aux Indiens de Caghuawaga (sic) et est situé à 6 milles de Laprairie. Ils n’utilisent aucun blutoir [grand moule dans lequel la farine et le son sont tamisés pour être triés au sortir de la meule] dans leurs moulins. Les gens se servant plutôt de tamis.

    Comme dans ce pays on ne cultive pas de blé d’hiver, leur pain étant fait de blé d’été n’est pas aussi blanc que le nôtre, mais il est aussi soutenant et de bon goût. Les terres étant trop basses et trop froides on n’y cultive pas le maïs indien. Même à Caghnawaga on en plante très peu. Les Canadiens possèdent en général de bons potagers; comme la soupe est leur met principal ils doivent prendre bien soin de ces derniers. Leurs oignons et leurs choux sont particulièrement de bon goût, surtout dans les potagers situés sur les rives du Saint-Laurent où le sol est plus riche que dans l’arrière-pays.

    Les fermiers autour de Laprairie cultivent des quantités appréciables de pois, de pommes de terre et de navets. Tard à l’automne ils labourent leurs champs une fois pour le blé d’été, soulevant la terre en arêtes qu’ils laissent reposer tout l’hiver, aussitôt qu’au printemps la température le permet ils sèment le blé et le hersent. Ils obtiennent en général de bonnes récoltes.

    Leurs clôtures sont petites et frêles. À un mille et demi autour de Laprairie ils n’ont aucune clôture et sur tout l’est et le sud de la ville la terre appartient au couvent [les Soeurs de la Congrégation de Notre-Dame ? Où les Jésuites ?] sur pas moins de 2 à 3 000 acres et il s’y trouve un immense pâturage sans qu’un seul buisson n’y pousse. En général le sol semble mieux convenir pour le pâturage et le pré que pour la culture.

     Je n’ai jamais vu une aussi belle herbe de prairie de ma vie, la chaume du blé constitue un meilleur pâturage que nos meilleurs prés en enclos et en conséquence de cette abondance d’herbe leur lait est le meilleur que j’aie bu. Leurs bêtes à cornes sont petites. Leurs vaches à lait ne dépas -sent pas nos génisses âgées de 2 ans et leurs cornes sont courtes. Leurs boeufs sont de petites proportions et tirent avec leurs cornes.

    L’accueil des paysans est unique. Que le moins affable de nos soldats entre dans leurs maisons et on le régale aussitôt d’un grand bol de pain et de lait ou de d’autres aliments disponibles dans la maison ; et bien que nos soldats leur consentent rarement quelque faveur leur gentillesse n’en est pas diminuée pour autant.

    Bien qu’ils aient bon coeur, l’entretien de leur intérieur laisse à désirer. Dès que la maison du paysan est construite et à l’abri des intempéries plus une seule goutte d’eau ne va toucher le plancher mises à part quelques gouttes d’eau bénite le matin suivies d’un balayage sommaire. Une grosse houe tient lieu de brosse à plancher. Aucune maison n’a plus d’un âtre qu’on utilise uniquement pour la cuisson. Au centre de la salle familiale, un poêle les garde au chaud même par les températures les plus froides.

    Dans chaque maison un crucifix de plus ou moins un pied de haut est installé près du lit du chef de famille. Les lits sont courts [on dormait souvent presqu’assis pour faciliter la digestion], certains sont d’une facture grossière et mal construits, d’autres sont peints et de belle apparence. Je n’ai jamais vu un mauvais lit au Canada.  C’est comme si, bien qu’ils vivent pauvrement, ils s’étaient résolus à dormir confortablement. Plusieurs d’entre eux dorment entre deux lits de plume. Le reste du mobilier est à l’avenant, tout ce qui les entoure est en effet de facture grossière et maladroite. Leurs menuisiers sont loin de travailler comme Sir Christopher Wren. [Comparaison ridicule. Christopher Wren : grand architecte anglais du 17e s. célèbre pour son rôle dans reconstruction de Londres après le grand incendie de 1666.] Chez eux l’artisanat occupe peu de place, à peine une femme sur 20 maîtrise l’art du tricot. En général j’ai trouvé les hommes et les femmes beaucoup plus indolents et oisifs que les gens de chez nous; réussir à simplement subsister semble satisfaire toutes leurs aspirations. Une contrée d’esclaves [allusion au gouvernement tyrannique des Britanniques] sera toujours une terre de pauvreté, d’ignorance et d’oisiveté.

    Le meilleur de ces moulins appartient aux Indiens de Caghuawaga (sic) et est situé à 6 milles de Laprairie. Ils n’utilisent aucun blutoir [grand moule dans lequel la farine et le son sont tamisés pour être triés au sortir de la meule] dans leurs moulins. Les gens se servant plutôt de tamis. Comme dans ce pays on ne cultive pas de blé d’hiver, leur pain étant fait de blé d’été n’est pas aussi blanc que le nôtre, mais il est aussi soutenant et de bon goût. Les terres étant trop basses et trop froides on n’y cultive pas le maïs indien. Même à Caghnawaga on en plante très peu. Les Canadiens possèdent en général de bons potagers; comme la soupe est leur met principal ils doivent prendre bien soin de ces derniers. Leurs oignons et leurs choux sont particulièrement de bon goût, surtout dans les potagers situés sur les rives du Saint-Laurent où le sol est plus riche que dans l’arrière-pays. Les fermiers autour de Laprairie cultivent des quantités appréciables de pois, de pommes de terre et de navets. Tard à l’automne ils labourent leurs champs une fois pour le blé d’été, soulevant la terre en arêtes qu’ils laissent reposer tout l’hiver, aussitôt qu’au printemps la température le permet ils sèment le blé et le hersent. Ils obtiennent en général de bonnes récoltes. Leurs clôtures sont petites et frêles. À un mille et demi autour de Laprairie ils n’ont aucune clôture et sur tout l’est et le sud de la ville la terre appartient au couvent [les Soeurs de la Congrégation de Notre-Dame ? Où les Jésuites ?] sur pas moins de 2 à 3 000 acres et il s’y trouve un immense pâturage sans qu’un seul buisson n’y pousse. En général le sol semble mieux convenir pour le pâturage et le pré que pour la culture.  Je n’ai jamais vu une aussi belle herbe de prairie de ma vie, la chaume du blé constitue un meilleur pâturage que nos meilleurs prés en enclos et en conséquence de cette abondance d’herbe leur lait est le meilleur que j’aie bu. Leurs bêtes à cornes sont petites. Leurs vaches à lait ne dépas -sent pas nos génisses âgées de 2 ans et leurs cornes sont courtes. Leurs boeufs sont de petites proportions et tirent avec leurs cornes. L’accueil des paysans est unique. Que le moins affable de nos soldats entre dans leurs maisons et on le régale aussitôt d’un grand bol de pain et de lait ou de d’autres aliments disponibles dans la maison ; et bien que nos soldats leur consentent rarement quelque faveur leur gentillesse n’en est pas diminuée pour autant. Bien qu’ils aient bon coeur, l’entretien de leur intérieur laisse à désirer. Dès que la maison du paysan est construite et à l’abri des intempéries plus une seule goutte d’eau ne va toucher le plancher mises à part quelques gouttes d’eau bénite le matin suivies d’un balayage sommaire. Une grosse houe tient lieu de brosse à plancher. Aucune maison n’a plus d’un âtre qu’on utilise uniquement pour la cuisson. Au centre de la salle familiale, un poêle les garde au chaud même par les températures les plus froides. Dans chaque maison un crucifix de plus ou moins un pied de haut est installé près du lit du chef de famille. Les lits sont courts [on dormait souvent presqu’assis pour faciliter la digestion], certains sont d’une facture grossière et mal construits, d’autres sont peints et de belle apparence. Je n’ai jamais vu un mauvais lit au Canada.  C’est comme si, bien qu’ils vivent pauvrement, ils s’étaient résolus à dormir confortablement. Plusieurs d’entre eux dorment entre deux lits de plume. Le reste du mobilier est à l’avenant, tout ce qui les entoure est en effet de facture grossière et maladroite. Leurs menuisiers sont loin de travailler comme Sir Christopher Wren. [Comparaison ridicule. Christopher Wren : grand architecte anglais du 17e s. célèbre pour son rôle dans reconstruction de Londres après le grand incendie de 1666.] Chez eux l’artisanat occupe peu de place, à peine une femme sur 20 maîtrise l’art du tricot. En général j’ai trouvé les hommes et les femmes beaucoup plus indolents et oisifs que les gens de chez nous; réussir à simplement subsister semble satisfaire toutes leurs aspirations. Une contrée d’esclaves [allusion au gouvernement tyrannique des Britanniques] sera toujours une terre de pauvreté, d’ignorance et d’oisiveté. ...

    Henry Livingston à La Prairie

    Henry Livingston Jr (1748-1828) est né à Poughkeepsie près de New York. Bien que son arrière grand-père Livingtson ait été un pur Écossais, ses ancêtres étaient principalement des Hollandais. D’ailleurs, sa ville natale était fortement hollandaise et on y parlait encore la langue au moment de sa naissance.

    Doté d’une bonne éducation, Henry était un dur travailleur et un homme de famille sans plus d’ambition que le désir de rendre sa famille heureuse. Il croyait fermement à l’égalité des femmes et à leur droit à l’éducation.

    Respectueux envers les Amérindiens il se montrait toujours tolérant par rapport aux croyances des autres. À sa naissance les familles Livingston et Schuyler, les mêmes qui avaient attaqué La Prairie en 1690 et 1691, étaient unies depuis au moins trois générations. Bien qu’il pratiquait le métier d’arpenteur et d’agent des terres, il montra une préférence marquée pour l’agriculture sa vie durant.

    En 1775 les rebelles américains envahissent les alentours de Québec et de Montréal afin de convaincre les Canadiens de se joindre à leur révolte en vue de se libérer du tyran britannique. Henry s’enrôle dans l’un des premiers régiments formés pour cette guerre. Il profite des temps libres de la vie militaire pour jouer au touriste et tenir, du 25 août au 22 décembre 1775, un journal de ses observations. Bien que son journal soit qualifié de journal militaire on y trouve peu de chose sur l’action militaire, Henry s’y montre davantage intéressé par la culture des populations qu’il observe et surtout par la façon dont les Canadiens se comportent face aux mêmes tyrans britanniques que les Américains combattent. Nous vous proposons ici un extrait de ce journal aux opinions étonnantes. La traduction de l’anglais et les commentaires entre […] sont de nous.
     

    LAPRAIRIE, LE 19 OCTOBRE 1775

    La Prairie en juillet 1776

    Le village de Laprairie contient une trentaine de maisons petites et grandes [ce chiffre est sans doute erroné]. Les petites étant de loin les plus nombreuses, et ici comme dans les autres endroits au Canada que j’ai visités (même à Montréal) chaque maison est blanche, étant grossièrement faite d’un mélange de calcaire et de sable [?] plutôt que construite de bois ou de pierre. Laprairie est situé sur les rives du fleuve Saint-Laurent et c’est l’endroit le plus boueux que j’ai pu voir près de Montréal. L’église est relativement grande quoique loin d’être jolie. Le choeur est d’un bel aspect. L’architecture franchement imposante; chaque élément ayant été importé en pièces de France [l’église de 1705 est plutôt l’oeuvre d’artisans d’ici] il y a plusieurs années. On y trouve à l’intérieur deux beaux tableaux, l’un de la Vierge Marie offrant un rosaire à Saint-François [Xavier] et l’autre représentant le même Saint-François prêchant aux Japonais. Le corps principal de l’église occupé par les fidèles est achevé sans raffinement un peu comme le souhaiterait tout rude Canadien.

    La ville est mal pourvue en combustible. Le bois de chauffage y est ici aussi cher qu’à New York, et ils disposent surtout de peuplier de mauvaise qualité. Les moulins sont rares dans ce coin de pays. Mis à part ici un vieux moulin d’aspect ridicule [sic], on n’en trouve que 2 à 10 milles à la ronde.

    Henry Livingston Jr (1748-1828) est né à Poughkeepsie près de New York. Bien que son arrière grand-père Livingtson ait été un pur Écossais, ses ancêtres étaient principalement des Hollandais. D’ailleurs, sa ville natale était fortement hollandaise et on y parlait encore la langue au moment de sa naissance. Doté d’une bonne éducation, Henry était un dur travailleur et un homme de famille sans plus d’ambition que le désir de rendre sa famille heureuse. Il croyait fermement à l’égalité des femmes et à leur droit à l’éducation. Respectueux envers les Amérindiens il se montrait toujours tolérant par rapport aux croyances des autres. À sa naissance les familles Livingston et Schuyler, les mêmes qui avaient attaqué La Prairie en 1690 et 1691, étaient unies depuis au moins trois générations. Bien qu’il pratiquait le métier d’arpenteur et d’agent des terres, il montra une préférence marquée pour l’agriculture sa vie durant. En 1775 les rebelles américains envahissent les alentours de Québec et de Montréal afin de convaincre les Canadiens de se joindre à leur révolte en vue de se libérer du tyran britannique. Henry s’enrôle dans l’un des premiers régiments formés pour cette guerre. Il profite des temps libres de la vie militaire pour jouer au touriste et tenir, du 25 août au 22 décembre 1775, un journal de ses observations. Bien que son journal soit qualifié de journal militaire on y trouve peu de chose sur l’action militaire, Henry s’y montre davantage intéressé par la culture des populations qu’il observe et surtout par la façon dont les Canadiens se comportent face aux mêmes tyrans britanniques que les Américains combattent. Nous vous proposons ici un extrait de ce journal aux opinions étonnantes. La traduction de l’anglais et les commentaires entre […] sont de nous.   LAPRAIRIE, LE 19 OCTOBRE 1775 La Prairie en juillet 1776 Le village de Laprairie contient une trentaine de maisons petites et grandes [ce chiffre est sans doute erroné]. Les petites étant de loin les plus nombreuses, et ici comme dans les autres endroits au Canada que j’ai visités (même à Montréal) chaque maison est blanche, étant grossièrement faite d’un mélange de calcaire et de sable [?] plutôt que construite de bois ou de pierre. Laprairie est situé sur les rives du fleuve Saint-Laurent et c’est l’endroit le plus boueux que j’ai pu voir près de Montréal. L’église est relativement grande quoique loin d’être jolie. Le choeur est d’un bel aspect. L’architecture franchement imposante; chaque élément ayant été importé en pièces de France [l’église de 1705 est plutôt l’oeuvre d’artisans d’ici] il y a plusieurs années. On y trouve à l’intérieur deux beaux tableaux, l’un de la Vierge Marie offrant un rosaire à Saint-François [Xavier] et l’autre représentant le même Saint-François prêchant aux Japonais. Le corps principal de l’église occupé par les fidèles est achevé sans raffinement un peu comme le souhaiterait tout rude Canadien. La ville est mal pourvue en combustible. Le bois de chauffage y est ici aussi cher qu’à New York, et ils disposent surtout de peuplier de mauvaise qualité. Les moulins sont rares dans ce coin de pays. Mis à part ici un vieux moulin d’aspect ridicule [sic], on n’en trouve que 2 à 10 milles à la ronde....

    Notre prochaine conférence: François NAU

    Vêtu d’un costume d’époque, Serge Nault nous entretiendra de son ancêtre François NAU.

    On y apprendra beaucoup sur son habillement, son alimentation (civile et militaire), la monnaie de l’époque (vers 1760) et sur son rôle de capitaine de milice.

    Invitez vos parents et amis ; entrée 3 $ pour les non membres.

    Vêtu d’un costume d’époque, Serge Nault nous entretiendra de son ancêtre François NAU. On y apprendra beaucoup sur son habillement, son alimentation (civile et militaire), la monnaie de l’époque (vers 1760) et sur son rôle de capitaine de milice. Invitez vos parents et amis ; entrée 3 $ pour les non membres....

    À propos du bulletin

    Éditeur

    Société d’histoire de

    La Prairie-de-la-Magdeleine

    Dépôt légal 2002

    Bibliothèque nationale du Québec

    Bibliothèque nationale du Canada

    ISSN 1499-7312

    COLLABORATEURS :

    Coordination

    Gaétan Bourdages

    Rédaction

    Gaétan Bourdages

    Révision

    Jean-Pierre Yelle

    Design graphique

    François-Bernard Tremblay

    www.bonmelon.com

    Impression

    SHLM

    Siège social

    249, rue Sainte-Marie

    La Prairie (Québec) J5R 1G1

    Téléphone

    450-659-1393

    Courriel

    [email protected]

    Site Web

    www.laprairie-shlm.com

    Les auteurs assument l’entière responsabilité du contenu de leurs articles et ce, à la complète exonération de l’éditeur.


    La Caisse populaire de La Prairie commandite l’impression du bulletin Au jour le jour.

    Éditeur Société d’histoire de La Prairie-de-la-Magdeleine Dépôt légal 2002 Bibliothèque nationale du Québec Bibliothèque nationale du Canada ISSN 1499-7312 COLLABORATEURS : Coordination Gaétan Bourdages Rédaction Gaétan Bourdages Révision Jean-Pierre Yelle Design graphique François-Bernard Tremblay www.bonmelon.com Impression SHLM Siège social 249, rue Sainte-Marie La Prairie (Québec) J5R 1G1 Téléphone 450-659-1393 Courriel [email protected] Site Web www.laprairie-shlm.com Les auteurs assument l’entière responsabilité du contenu de leurs articles et ce, à la complète exonération de l’éditeur. La Caisse populaire de La Prairie commandite l’impression du bulletin Au jour le jour....

    Nouvelles de la SHLM

    Don de Réal Houde

    M. Houde a fait don à la SHLM d’un exemplaire de son livre intitulé : « Un parcours de 400 ans » Essai généalogique. Un outil indispensable pour ceux qui s’intéressent à la recherche en généalogie.
     

    Comité Informatique

    Dans le précédent numéro du Au jour le jour nous faisions en page 3 un résumé des activités des différents comités de la SHLM. Dans le paragraphe consacré au comité informatique nous avons omis la photo de M. Robert Mailhot. Il nous fait donc plaisir de corriger cette erreur.
     

    Nouveaux membres

    La SHLM est toujours heureuse d’accueillir de nouveaux membres :

    340 Christiane Gouin

    341 Suzanne Denault

    342 Nicole Surprenant

    343 Réjean Girard

    Thérèse Girard (82)

    344 Marc Tétreault

    345 Lisette Tétreault

    346 Gille Robidoux

    347 Laura Rodeau-Maier

    348 Michel Lambert

    Josette Mercier (286)

    349 Gilles Rossignol
     

    Décès d’un membre de la SHLM

    Nous apprenions récemment le décès de M. Léopold Perron âgé de 80 ans. M. Perron fut pendant longtemps le chef de police de La Prairie. Il était le père de Mme Suzanne Perron conseillère du district de la Briqueterie. Toutes nos condoléances à la famille.

    Don de Réal Houde M. Houde a fait don à la SHLM d’un exemplaire de son livre intitulé : « Un parcours de 400 ans » Essai généalogique. Un outil indispensable pour ceux qui s’intéressent à la recherche en généalogie.   Comité Informatique Dans le précédent numéro du Au jour le jour nous faisions en page 3 un résumé des activités des différents comités de la SHLM. Dans le paragraphe consacré au comité informatique nous avons omis la photo de M. Robert Mailhot. Il nous fait donc plaisir de corriger cette erreur.   Nouveaux membres La SHLM est toujours heureuse d’accueillir de nouveaux membres : 340 Christiane Gouin 341 Suzanne Denault 342 Nicole Surprenant 343 Réjean Girard Thérèse Girard (82) 344 Marc Tétreault 345 Lisette Tétreault 346 Gille Robidoux 347 Laura Rodeau-Maier 348 Michel Lambert Josette Mercier (286) 349 Gilles Rossignol   Décès d’un membre de la SHLM Nous apprenions récemment le décès de M. Léopold Perron âgé de 80 ans. M. Perron fut pendant longtemps le chef de police de La Prairie. Il était le père de Mme Suzanne Perron conseillère du district de la Briqueterie. Toutes nos condoléances à la famille....

    Mot du président

    Bonjour chers membres, je vous souhaite une bonne année 2009 remplie de joie et surtout de santé.

    Déjà février, voilà que l’année est bien amorcée. Le comité de vente de livres est déjà au travail et le nouveau serveur informatique sera bientôt fonctionnel. Le comité de généalogie a repris ses soirées de recherche le lundi soir. Ça fourmille de partout.

    La campagne de financement pour l’année 2009 s’est amorcée lentement, mais se poursuit. Je vous invite à soutenir financièrement votre société pour la réalisation des nombreux projets prévus cette année.

    Si vous désirez participer à l’assemblée générale qui aura lieu le 17 mars dans nos locaux, n’oubliez pas que vous avez jusqu’au 28 février prochain pour renouveler votre carte de membre. Donc, il n’y aura pas de conférence en mars.

    Le travail ne manque pas à la société ; un dossier à traiter ou des photographies à classer etc., donc si vous disposez d’un peu de temps, contacter Édith.

    Au plaisir de vous rencontrer à l’assemblée générale.

    Bonjour chers membres, je vous souhaite une bonne année 2009 remplie de joie et surtout de santé. Déjà février, voilà que l’année est bien amorcée. Le comité de vente de livres est déjà au travail et le nouveau serveur informatique sera bientôt fonctionnel. Le comité de généalogie a repris ses soirées de recherche le lundi soir. Ça fourmille de partout. La campagne de financement pour l’année 2009 s’est amorcée lentement, mais se poursuit. Je vous invite à soutenir financièrement votre société pour la réalisation des nombreux projets prévus cette année. Si vous désirez participer à l’assemblée générale qui aura lieu le 17 mars dans nos locaux, n’oubliez pas que vous avez jusqu’au 28 février prochain pour renouveler votre carte de membre. Donc, il n’y aura pas de conférence en mars. Le travail ne manque pas à la société ; un dossier à traiter ou des photographies à classer etc., donc si vous disposez d’un peu de temps, contacter Édith. Au plaisir de vous rencontrer à l’assemblée générale. ...

    À propos du bulletin

    Éditeur

    Société d’histoire de

    La Prairie-de-la-Magdeleine

    Dépôt légal 2002

    Bibliothèque nationale du Québec

    Bibliothèque nationale du Canada

    ISSN 1499-7312

    COLLABORATEURS :

    Coordination

    Jean-Pierre Yelle

    Rédaction

    Gaétan Bourdages et Laurent Houde

    Révision

    Jean-Pierre Yelle

    Design graphique

    François-Bernard Tremblay

    www.bonmelon.com

    Impression

    SHLM

    Siège social

    249, rue Sainte-Marie

    La Prairie (Québec) J5R 1G1

    Téléphone

    450-659-1393

    Courriel

    [email protected]

    Site Web

    www.laprairie-shlm.com

    Les auteurs assument l’entière responsabilité du contenu de leurs articles et ce, à la complète exonération de l’éditeur.
     

    La Caisse populaire de La Prairie commandite l’impression du bulletin Au jour le jour.

     

    Éditeur Société d’histoire de La Prairie-de-la-Magdeleine Dépôt légal 2002 Bibliothèque nationale du Québec Bibliothèque nationale du Canada ISSN 1499-7312 COLLABORATEURS : Coordination Jean-Pierre Yelle Rédaction Gaétan Bourdages et Laurent Houde Révision Jean-Pierre Yelle Design graphique François-Bernard Tremblay www.bonmelon.com Impression SHLM Siège social 249, rue Sainte-Marie La Prairie (Québec) J5R 1G1 Téléphone 450-659-1393 Courriel [email protected] Site Web www.laprairie-shlm.com Les auteurs assument l’entière responsabilité du contenu de leurs articles et ce, à la complète exonération de l’éditeur.   La Caisse populaire de La Prairie commandite l’impression du bulletin Au jour le jour.  ...

    Laprairie ou La Prairie ?

    La circonscription électorale de Laprairie a été remaniée à plusieurs reprises depuis que ce toponyme a été implanté en 1829. Cette circonscription est identifiée par La Prairie (en deux mots) depuis 1972. Cependant l’usage actuel demeure confus car plusieurs continuent encore d’utiliser Laprairie (en un mot) pour désigner la circonscription électorale alors qu’il faudrait lui préférer La Prairie.

    En ce qui concerne la désignation de la municipalité de La Prairie, la graphie Laprairie (en un mot) quoique encore en usage chez certains, se révèle moins courante aujourd’hui. Laprairie avait été retenue pour le bureau de poste en 1821, mais était déjà en usage depuis les origines de l’endroit. Selon la Commission de toponymie du Québec l’attestation la plus ancienne du nom de La Prairie (en 2 mots) pour la municipalité date de 1935. Cette graphie est conforme à l’usage actuel.

    La circonscription électorale de Laprairie a été remaniée à plusieurs reprises depuis que ce toponyme a été implanté en 1829. Cette circonscription est identifiée par La Prairie (en deux mots) depuis 1972. Cependant l’usage actuel demeure confus car plusieurs continuent encore d’utiliser Laprairie (en un mot) pour désigner la circonscription électorale alors qu’il faudrait lui préférer La Prairie. En ce qui concerne la désignation de la municipalité de La Prairie, la graphie Laprairie (en un mot) quoique encore en usage chez certains, se révèle moins courante aujourd’hui. Laprairie avait été retenue pour le bureau de poste en 1821, mais était déjà en usage depuis les origines de l’endroit. Selon la Commission de toponymie du Québec l’attestation la plus ancienne du nom de La Prairie (en 2 mots) pour la municipalité date de 1935. Cette graphie est conforme à l’usage actuel. ...

    Plaque disparue : mise au point

    Selon M. Albert Lebeau la plaque de bronze commémorant la seconde bataille du 11 août 1691 n’aurait pas été volée comme nous l’annoncions dans le numéro précédent. Elle a simplement été enlevée par les employés de Parcs Canada afin de lui refaire une beauté et devrait être remise en place au printemps prochain. Toutes nos excuses à nos lecteurs.

    Selon M. Albert Lebeau la plaque de bronze commémorant la seconde bataille du 11 août 1691 n’aurait pas été volée comme nous l’annoncions dans le numéro précédent. Elle a simplement été enlevée par les employés de Parcs Canada afin de lui refaire une beauté et devrait être remise en place au printemps prochain. Toutes nos excuses à nos lecteurs. ...