
- Au jour le jour, novembre 2015
Soirée de l’Halloween dans le Vieux-La Prairie
Le 31 octobre dernier, la SHLM faisait partie de l’itinéraire de la soirée de l’Halloween organisée par la ville de La Prairie dans le Vieux-La Prairie. Durant cette soirée thématique du “Seigneur des anneaux”, nos bénévoles ont distribué nos cartons publicitaires aux adultes et des friandises aux enfants. Plusieurs milliers de visiteurs ont ainsi pu voir notre local et en apprendre plus sur notre mission.

- Au jour le jour, novembre 2015
Antoine Adhémar et ses épouses – Parcours généalogique et historique
UN PERSONNAGE AU COEUR DE LA RECHERCHE GÉNÉALOGIQUE
Qui a fait de la recherche généalogique est tombé sur un texte du notaire Antoine Adhémar… et a eu une certaine difficulté à lire celui-ci. Mais, trêve de plaisanteries, car Antoine Adhémar fait partie de ces clercs importants de la Nouvelle-France, de ces gens qui ont su conserver des traces de cette présence francophone en Amérique et qui ont été le ciment entre des communautés.
En épousant en troisièmes noces Michelle Cusson, « fille du sieur Jean Cusson notaire royal et Marie Foubert sa femme », le 20 janvier 1687 au Cap-de-la-Madeleine BAnQ : acte de mariage entre Antoine Adhémard et Michelle Cusson. , Antoine Adhémar devient le beau-frère d’une pionnière de la région de La Prairie, soit Jeanne Cusson, dont l’histoire a été racontée dans le cadre d’un article publié en 2015 par la Société d’histoire de La Prairie de la Magdeleine HOUDE, Réal. « Jeanne Cusson et ses hommes. Parcours généalogique et historique », dans le bulletin Au jour le jour de la Société d’histoire de La Prairie de la Magdeleine, volume XXVII, numéro 1, janvier 2015, p. 2-4. .
Enfin, d’après le généalogiste Michel Langlois, Antoine Adhémar arrive en Nouvelle-France avec le régiment de Carignan-Salières en qualité de soldat de la compagnie de « Saurel »LANGLOIS, Michel. Carignan-Salière 1665-1668. Drummondville, La Maison des ancêtres inc., 2004, p. 202-203. ; fait qui avait été mentionné par le généalogiste René Jetté : « soldat de la compagnie de Sorel au régiment de Carignan »JETTÉ, René et le PRDH. Dictionnaire généalogique des familles du Québec, des origines à 1730. Montréal, Les Presses de l’Université de Montréal, 1983, p. 3..
MÉTHODOLOGIE ET LIMITES DE LA RECHERCHE
Dans cet article, je présenterai des extraits d’actes originaux et des documents historiques complémentaires qui permettent de cerner le cercle des relations du personnage à partir de ses unions. Cet article n’a pas pour but de démontrer la portée de l’implication d’Antoine Adhémar en sa qualité de notaire et d’homme public dans la société d’alors, mais de vous présenter l’homme dans ce qu’il a de plus intime, soit sa famille. Pour cet article, j’utilise le présent historique.
L’AMPLEUR DU PERSONNAGE
Reprenons la brève biographie d’Antoine Adhémar écrite par le généalogiste René Jetté :
« Notaire seigneurial de Sorel, Cap-dela- Madeleine, Batiscan, etc., 1668- 1687, notaire et greffier de la seigneurie de Montréal 02-05-1687 au 17-11-1693, greffier de la Prévôté de Montréal 17-11-1693 à sa mort »JETTÉ, René et le PRDH. Dictionnaire généalogique des familles du Québec, des origines à 1730. Montréal, Les Presses de l’Université de Montréal, 1983, p. 3..
Cet extrait est éloquent et il nous apprend que ce personnage a dû exercer une influence immense compte tenu de l’étendue de son territoire professionnel et des fonctions exercées au cours de sa vie en Nouvelle-France.
Voyons maintenant ce qu’en a dit le généalogiste Michel Langlois :
« Dès après son premier mariage, on le retrouve à Sorel où il suit ses compagnons d’armes : à cet endroit commence sa carrière de notaire par la rédaction d’un premier acte le 3 juillet 1668. Il demeure à Sorel mais pratique dans les seigneuries de Batiscan, de Cap-de-la-Madeleine, de Chambly, de Champlain et de Sainte-Anne-de-la-Pérade »LANGLOIS, Michel. Carignan-Salière 1665-1668. Drummondville, La Maison des ancêtres inc., 2004, p. 203..
SES UNIONS
1 – GENEVIÈVE SAGEOT
Le 10 octobre 1667 à Québec, Antoine Adhémar, « fils de Michel, et de Cecile Gache de la ParoiSSe de St Salvy Evesché d’Alby », épouse « Geneviefve Sageot » (Anthoine + Marguerite Ruffel), de la « ParroiSSe de St André des Arts à Pâris »BAnQ : acte de mariage entre Antoine Adémar et Geneviefve Sageot..
Le généalogiste Yves Landry rapporte que Geneviève Sageot est une « Fille du roi » qui est arrivée en 1667 « après avoir participé à un acte de protestation rédigé à Dieppe le 17-06-1667 »LANDRY, Yves. Orphelines en France pionnières au Canada Les filles du roi au XVIIe siècle. Montréal, Leméac, 1992, p. 369..
Le couple Adhémar-Sageot met au monde quatre enfants, mais seules deux filles auront une descendance. L’une d’elles, Jeanne Adhémar, « fille d’antoine adhemar Greffier et de defunte Genevieve Sageot », se marie le 18 avril 1690 à Montréal avec Joseph Deneau (Marin + Louise « du breüil »), dans le cadre d’une double cérémonie (l’autre couple : Jacque Deneau et Marie Rivé, « fille de Maurice Rivé et de Marie Cusson de la paroisse de laprairie [mot brouillé] de la magdeleine »)Ancestry.ca : acte de mariage entre Joseph Deneau et Jeanne Adhemar.. Marie Cusson est la soeur de Jeanne et de Michelle Cusson. La famille Deneau-Rivé s’enracine à La Prairie. Il est intéressant de noter que Joseph signe « deno » alors que Jacques écrit « denio ». Enfin, sur cet acte, nous retrouvons la fameuse signature d’Antoine Adhémar suivie d’un hiéroglyphe bizarre (sa marque de commerce).
Plusieurs enfants naissent de l’union Deneau-Adhémar dont Jeanne, baptisée à La Prairie le 7 février 1691, fille de « Joseph Destaillis et de Jeanne adhemar ses pere et mere de cette paroisse » (d’après le généalogiste René Jetté et les actes originaux consultés, le surnom « Destaillis » est associé à certains descendants de Marin Deniau et de son épouseJETTÉ, René et le PRDH. Dictionnaire généalogique des familles du Québec, des origines à 1730. Montréal, Les Presses de l’Université de Montréal, 1983, p. 330-332.). Le parrain de la petite Jeanne : « Mr Adhemar, greffier ».
Geneviève Sageot, épouse du « Sr anthoine adhemars notaire royal du dit lieu » meurt le 30 août 1683 et « a esté le jour suivant enterrée en léglise de cette paroisse en présence de nicolas toutant, de Jean la tour, de Jacques dandonneau qui ont signé et de rené auré qui a déclaré de sçavoir écrire ni signer de ce interpellé Suivant l’ordonnance »BAnQ : acte de sépulture de Geneviefve Sageot. Paroisse La Visitation de Champlain..
2 – MARIE SÉDILOT
Le 8 février 1684, soit quelques mois après le décès de sa première épouse, Antoine Adhémar, « veuf de Geneviefve Sageot, notaire royal de la paroisse de Champlain », se marie au Cap-de-la-Madeleine avec Marie Sédilot, « veuve de Sieur Blanchet de cette paroisse »BAnQ : acte de mariage entre Anthoine Adhemar et Marie Sedilot.. De cette union, seule une fille naît. Elle se prénomme Cécile. Son acte de mariage est très révélateur du cercle des relations de la famille Adhémar. Cécile, « fille de Monsieur Anthoine Adhemar Notaire Royal et Greffier de cette Isle et de Marie Sedilot Sa femme défunte de cette paroisse » (le nom écrit au-dessus de l’identité de la troisième épouse du notaire, Michelle Cusson) épouse André Archambault (Laurent + Catherine Marchand) le 3 novembre 1702 à Montréal, en présence de « Mre Laurent Archambault pere dudit Epoux, de Mre Nicolas Senet Marchand… de Mre Anthoine Adhemar père de ladite Epouse, de Mre Jean Cusson Notaire, de Joseph deno beaufrere deladite Epouse, de Jaques Texier aussi beaufrere et aussi Soussignés »BAnQ : acte de mariage entre André Archambault et Cécile Adhémar..
En épousant André Archambault, Cécile Adhémar s’allie à une ancienne famille de Montréal, petit-fils de Jacques Archambault, pionnier de Ville-Marie.
3 – MICHELLE CUSSON
Comme mentionné au début de cet article, Antoine Adhémar se marie une troisième fois. Michelle Cusson est la fille de son collègue « Jean Cusson notaire royal ». Un enfant naît de cette union – un fils – Jean- Baptiste. Ce dernier, « Notaire Royal et Greffier en la juridiction royalle de Montréal fils de deffunt maitre Antoine Adhemar vivant Notaire royal et Greffier en Laditte juridiction et de Damoiselle Michelle Cusson ses pere et mere » épouse Catherine Le Pallieur, « fille de maitre Michel Le Pallieur Notaire royal et Procureur du Roy commis en ladite juridiction et de Damoiselle Gertrude Jeremie ses pere et mere » le 20 mai 1715 à MontréalAncestry.ca : acte de mariage entre Jean Batiste Adhemar et Caterine Le Pallieur..
Parmi les personnes présentes : « Pierre Raimbault Procureur du Roy en cette juridiction ». À noter que le fils Adhémar adopte le hiéroglyphe paternel à la suite de la signature de son nom.
Antoine Adhémar avait été inhumé le 16 avril 1714 à Montréal, « agé d’environ quatre vingt ans greffier de Cette Juridiction », soit un peu plus d’un an avant le mariage de son fils à qui il avait montré les rudiments du métier de notaire.
Nous constatons que le parcours du notaire Antoine Adhémar est complexe – du point de vue géographique autant qu’humain – et que des liens constants semblent l’unir à la famille Cusson et ses apparentés. Dans ses nombreux déplacements et par son union avec Michelle Cusson, il est probable qu’Antoine Adhémar a pu séjourner à l’occasion à La Prairie.

- Au jour le jour, novembre 2015
Le souper annuel se transforme en brunch
Habituellement, nous organisons chaque année, au complexe Saint-Laurent, un souper au mois de novembre où membres, parents et amis de la SHLM se retrouvent pour échanger et socialiser devant un bon repas. Durant la soirée, les invités peuvent regarder la rétrospective de l’année grâce à un diaporama numérique et, à la fin de la soirée, nous dévoilons le nom du membre bénévole de l’année.
Cependant, la municipalité vient d’annoncer des plans d’agrandissement pour le complexe Saint-Laurent et à partir de février 2016 celui-ci connaîtra plusieurs phases de rénovations. La plupart des organismes qui tenaient des activités au complexe durant l’hiver 2016 ont dû déplacer la date de leur événement.
C’est ainsi qu’au mois d’août dernier, nous avons réalisé que le complexe Saint-Laurent n’était pas libre cet automne pour la tenue de notre souper annuel. En conclusion, nous avons décidé de modifier la formule afin de pouvoir offrir un événement annuel à nos membres et amis. Nous vous invitons donc à notre brunch de la nouvelle année, le dimanche 17 janvier 2016 à 10 h 30 au complexe Saint-Laurent. Les billets seront disponibles à la SHLM dès décembre 2015, au coût de 20$. Réservations au 450-659-1393.

- Au jour le jour, octobre 2015
Comité de la politique culturelle
Depuis quelques années, les municipalités du Québec sont invitées à établir ou à préciser leurs propres objectifs en matière de culture. C’est dans ce contexte que les élus municipaux décidaient récemment de doter notre municipalité d’une politique culturelle. Réuni en séance ordinaire le 24 août dernier, le conseil municipal adoptait une résolution créant le comité de la politique culturelle dont la mission est d’élaborer une politique culturelle distinctive à La Prairie. Le comité est composé de huit membres, dont Monsieur Gaétan Bourdages (représentant la SHLM), et dispose d’une période d’une année pour achever ses travaux.

- Au jour le jour, octobre 2015
Conférence | 350e anniversaire de l’arrivée du régiment de Carignan-Salières
Conférencier: Monsieur Michel Langlois
Dans un premier temps nous prendrons connaissance des ouvrages publiés sur Carignan-Salière. Il sera ensuite question de la formation du régiment, de son déplacement de Marsal en Lorraine jusqu’à La Rochelle, de sa traversée en Nouvelle-France, de ses activités au pays et en particulier des expéditions menées contre les Iroquois et enfin de l’établissement de certains officiers et soldats au pays.
Cette conférence de la SHLM aura lieu exceptionnellement à la salle Saint-Laurent du Complexe Saint-Laurent, situé au 500, rue Saint-Laurent à La Prairie. Elle débute à 19 h 30. Entrée libre pour les membres, 5 $ pour les non-membres.
Renseignements au 450-659-1393.

- Au jour le jour, octobre 2015
La crise économique des années 30
La crise économique des années 1930 a lourdement frappé des millions de familles en Europe et en Amérique du Nord. Alors que les milieux ruraux étaient moins touchés, les grandes villes et les petites municipalités ont dû redoubler d’efforts pour venir en aide à un trop grand nombre de chômeurs. À La Prairie, comme ailleurs, les élus multiplièrent les demandes d’aide financière auprès des gouvernements de la province et du pays.
Ici, le conseil municipal fit de nombreuses démarches pour attirer de nouvelles industries en leur proposant des conditions avantageuses : eau gratuite, électricité au prix coûtant et octroi d’une somme d’argent pour faciliter leur établissement. On chercha également à faire réduire certains tarifs pour les citoyens.
Parallèlement, le gouvernement provincial allouait des fonds aux municipalités pour les aider à mettre en marche des travaux publics (amélioration de la plage publique, pavage des rues Saint-Philippe et Sainte-Rose) et ainsi enrayer le chômage. À cela s’ajoutaient les secours directs. À partir de 1932, les gouvernements mirent sur pied un système de coupons échangeables contre de la nourriture, du combustible et des vêtements. À partir de décembre 1933, ces secours furent distribués sous forme de chèques par un organisme nouvellement créé: la Commission du chômage. L’objectif était d’assurer le minimum vital aux familles. À La Prairie, en avril 1936, les secours directs s’élevaient à 2 600,00 $.
Étonnamment, durant la crise, les autorités municipales et provinciales adoptèrent des mesures susceptibles de rendre la vie plus difficile à certaines personnes, sans doute dans le but d’éviter que des profiteurs n’abusent de la situation :
• Février 1934 : résolution à l’effet de priver les chômeurs de leur droit de vote.
• Avril 1934 : autorisation à l’électricien d’enlever le courant à ceux qui sont en arrérages de deux trimestres en électricité.
• Septembre 1934 : avis de la Commission municipale que le conseil ne peut accorder un escompte sur les taxes ni faire remise des intérêts.
• Avril 1936 : lettre du Département du service provincial d’hygiène informant le conseil qu’il n’interviendra pas au cas où le conseil déciderait de fermer l’eau pour faciliter le paiement.
La guerre mit fin à la crise, et l’industrie de guerre permit à une grande majorité de citadins de renouer avec une certaine prospérité.

- Au jour le jour, octobre 2015
Un grave accident
L’édition du 18 décembre 1908 du journal La Patrie rapportait l’événement suivant : « À 10 heures ce matin, Émile Barbeau, âgé de 22 ans, fils de M. Victor Barbeau, conseiller de Laprairie et l’un des principaux citoyens de cette paroisse, a été victime d’un grave accident. Il charroyait du bois avec son oncle, M. Alexis Moquin, lorsqu’il tomba de sa charge et roula sous les roues de la voiture de son oncle, qui le suivait.
L’infortuné a été meurtri par la voiture et il souffre de lésions graves. Les Dre Siméon et Joseph Longtin prodiguent leurs soins au blessé dont tout le monde ici souhaite le prompt rétablissement. »

- Au jour le jour, octobre 2015
Encore une noyade
Avant l’ouverture de la voie maritime du Saint-Laurent, les citoyens de La Prairie jouissaient d’un accès direct aux eaux du fleuve. Les nombreuses activités aquatiques (les baignades à la plage, les randonnées en canot, la chasse à la sauvagine, la pêche et les traversées vers Montréal sur les bateaux à vapeur) n’étaient pas sans comporter leur lot de dangers. Chaque année, on comptait donc quelques noyades.
La Minerve du 10 juillet 1872 relatait que « mardi après-midi, un jeune homme de 13 ans, du nom de J.C. Harpers, droguiste de Montréal, s’est noyé en se baignant près de l’ancien quai [sans doute l’ancien quai du chemin de fer qui était situé vis-à-vis de la rue Saint-Henri]. », que « son corps n’a été retrouvé qu’hier vers dix heures, et déposé sur la plage, où le député-coroner A. Beauvais, a tenu l’enquête » et « [qu’on] doit l’inhumer à Montréal. »

- Au jour le jour, octobre 2015
Le premier col bleu
Le 4 avril 1893, le conseil municipal de La Prairie décide « d’engager un homme à l’année qui fera tous les ouvrages de la corporation avec un salaire de vingt-deux piastres par mois sans logement et vingt piastres par mois en le logeant et il s’oblige à faire tous les ouvrages de la corporation qui lui sera commandé de faire par qui de droit et d’avoir soin de la station de pompier [sise à l’actuel 249, rue Sainte-Marie], de veiller aux cours d’eau [quelques ruisseaux traversent le village], trottoirs [en bois], propriétés de la corporation et en même temps d’être constable, veiller au bon ordre et à la tranquilité publique et même aller travailler sur le chemin d’hiver [c’est-à-dire le pont de glace sur le fleuve] s’il le peut pour les bénéfices de la corporation et le dit sieur Couture [Joseph Couture] accepte ces conditions et l’engagement est conclu. »

- Au jour le jour, octobre 2015
Remise des lauréats du concours des maisons fleuries de La Prairie
Le 15 septembre dernier, la municipalité de La Prairie remettait vingt prix honorifiques aux lauréats du concours des maisons fleuries lors d’une cérémonie tenue au complexe Saint-Laurent.
Depuis maintenant cinq ans, le comité d’embellissement de La Prairie, présidé cette année par Monsieur Christian Caron, conseiller municipal du district du Christ-Roi, récompense les efforts des citoyens, des commerçants et des industries qui embellissent la municipalité par des arrangements floraux sur leur propriété.
Toutes nos félicitations à Monsieur Frédéric Laemlin, voisin d’en face et membre de la SHLM (copropriétaire du Bistro L’Alsacien situé au 240, rue Sainte-Marie), pour l’obtention d’un des prix dans la catégorie « façades commerciales ».
Dans la catégorie « façades résidentielles », deux propriétés par district se sont mérité un lauréat. Nous tenons à féliciter les gagnants dans le district du Vieux-La Prairie, soit les propriétés situées au 246, rue Saint-Jacques et au 331, rue Saint-Georges.
Lors de la cérémonie, le maire et les conseillers ont remis aux lauréats une reproduction d’une toile de la collection privée de la Ville intitulée Lac La Citière fleuri, réalisée par la Laprairienne Carole Dumont.