Surprise par ma découverte indiquant qu’une de mes ancêtres avait été prise par les « Sauvages Loups » en Nouvelle-Angleterre, j’ai été très heureuse de trouver sur mon chemin ce bouquin fort instructif sur le sujet.
Il relate les déboires de la famille du révérend John Williams, pasteur puritain anglais à Deerfield en Nouvelle-Angleterre, dont le village a été attaqué par des soldats français et des guerriers indiens de la Nouvelle-France.
Il faut savoir qu’à l’époque, soit au début du 18e siècle, la guerre entre les vieux pays est en cours et les colonies font nécessairement partie de leurs conflits.
Les envahisseurs mettent le feu à des maisons, tirent sur des habitants, font des prisonniers et repartent au travers les bois, amenant avec eux hommes, femmes et enfants en état de marcher.
À leur arrivée, les prisonniers sont pris en charge à Ville-Marie, ou encore adoptés par certaines tribus indiennes faisant partie des assaillants, ce qui est admis dans le contexte de l’époque.
L’accent est mis sur les démarches entreprises par le pasteur et ses proches pour tenter de sauver sa fille Eunice gardée par des autochtones « sauvages ». Après des années de tractations douloureuses, leur incompréhension est totale lorsqu’ils font face au choix de la jeune fille de vivre dans sa tribu d’adoption et même d’y fonder une famille.
Ce récit nous plonge dans des univers si différents en raison de leur culture, leurs croyances et leurs valeurs qu’ils semblent s’opposer et paraissent irréconciliables, ce qui nous permet une réflexion sur nos perceptions de l’histoire du Nouveau Monde.
J’ai été fascinée par cette histoire vraie superbement documentée. J’y ai trouvé réponse à certaines questions alors que de nouvelles questions se sont soulevées sur le sens de la vérité historique.
Surprise par ma découverte indiquant qu’une de mes ancêtres avait été prise par les « Sauvages Loups » en Nouvelle-Angleterre, j’ai été très heureuse de trouver sur mon chemin ce bouquin fort instructif sur le sujet. Il relate les déboires de la famille du révérend John Williams, pasteur puritain anglais à Deerfield en Nouvelle-Angleterre, dont le village a été attaqué par des soldats français et des guerriers indiens de la Nouvelle-France. Il faut savoir qu’à l’époque, soit au début du 18e siècle, la guerre entre les vieux pays est en cours et les colonies font nécessairement partie de leurs conflits. Les envahisseurs mettent le feu à des maisons, tirent sur des habitants, font des prisonniers et repartent au travers les bois, amenant avec eux hommes, femmes et enfants en état de marcher. À leur arrivée, les prisonniers sont pris en charge à Ville-Marie, ou encore adoptés par certaines tribus indiennes faisant partie des assaillants, ce qui est admis dans le contexte de l’époque. L’accent est mis sur les démarches entreprises par le pasteur et ses proches pour tenter de sauver sa fille Eunice gardée par des autochtones « sauvages ». Après des années de tractations douloureuses, leur incompréhension est totale lorsqu’ils font face au choix de la jeune fille de vivre dans sa tribu d’adoption et même d’y fonder une famille. Ce récit nous plonge dans des univers si différents en raison de leur culture, leurs croyances et leurs valeurs qu’ils semblent s’opposer et paraissent irréconciliables, ce qui nous permet une réflexion sur nos perceptions de l’histoire du Nouveau Monde. J’ai été fascinée par cette histoire vraie superbement documentée. J’y ai trouvé réponse à certaines questions alors que de nouvelles questions se sont soulevées sur le sens de la vérité historique. ...