
- Au jour le jour, mars 2016
Vente de livres usagés de la SHLM
Notre vente de livre usagés approche à grand pas. Cette année, elle aura lieu du jeudi 28 avril au dimanche 1e mai. Nous sommes actuellement dans la phase préparatoire de cet événement et nous aimerions vous rappeler qu’il es ttoujours possible d’apporter des livres usagés à la SHLM du lundi au jeudi durant les heures d’ouverture ou de les déposer dans la boîte prévue à cet effet à la bibliothèque Léo-Lecavalier, située dans la complexe culturel Saint-Laurent.

- Au jour le jour, février 2016
Décès de Madame Denise Lussier
Le 9 janvier dernier est décédée à l’âge de 68 ans Madame Denise Lussier. Elle laisse dans le deuil son conjoint, ses quatre enfants (et leurs conjoints), neuf petits-enfants, sa sœur (et son conjoint) et de nombreux amis. Madame Lussier avait suivi le cours d’introduction à la généalogie à la SHLM durant l’automne 2014. Elle était devenue membre de notre organisme en janvier 2015. Nous offrons nos plus sincères condoléances à toute sa famille et à ses amis.

- Au jour le jour, février 2016
Décès de Monsieur Guy Dupré
Monsieur Guy Dupré est décédé le 23 janvier dernier à l’âge de 81 ans. Né à La Prairie, après des études à l’Académie Saint-Joseph et une formation en comptabilité, il a consacré la majeure partie de sa vie active au service de la municipalité de La Prairie. Employé d’abord comme trésorier adjoint à partir de 1965, il occupa plusieurs fonctions à l’hôtel de ville avant de prendre sa retraite en 1989. Élu maire de La Prairie en 1991, il occupa cette fonction jusqu’en 2005.
Monsieur Dupré était membre de la Société d’histoire depuis de nombreuses années. Il fut le premier maire à accorder une aide financière annuelle à la SHLM et, par la fondation qui portait son nom, il se montra toujours généreux envers notre organisme.
Nous offrons nos plus sincères condoléances à sa famille et à ses amis.

- Au jour le jour, février 2016
Conférence | L’Expo 67
Conférencier: Monsieur Michel Pratt
Cette conférence multimédia sur l’Expo 67 fera revivre cette expérience inoubliable de l’histoire du Québec. Elle soulignera comment elle fut un tournant culturel marquant de notre histoire. La soumission de la candidature de Montréal, la création de l’île Notre-Dame, l’ouverture de la ligne jaune, les pavillons, les invités et les visiteurs de marque, les spectacles, la création de La Ronde et un bilan de l’Expo 67 seront aussi présentés.
Les conférences de la Société d’histoire de La Prairie-de-la-Magdeleine ont lieu à l’étage du 249, rue Sainte-Marie à La Prairie. Elles débutent à 19 h 30. Entrée libre pour les membres, 5 $ pour les non-membres. Renseignements au 450-659-1393.

- Au jour le jour, février 2016
L’étendard des Compagnies franches de la Marine au fort de La Prairie
Le 10 décembre dernier, Monsieur Yves Bellefeur, président de la Société d’histoire et de patrimoine de Lignery, remettait un étendard des Compagnies franches de la Marine à Monsieur Stéphane Tremblay, président de la Société d’histoire de La Prairie-de-la-Magdeleine, lors de son passage au local de cette dernière société.
Rappelons que les Compagnies franches de la Marine constituaient la garnison française présente au fort de La Prairie de 1687 à 1760. À cette époque, ayant en très haute estime Jacques Le Marchand de Lignery, prêtre-curé de la paroisse de La Nativité de La Prairie, les autorités ecclésiastiques, les seigneurs jésuites et la population tinrent à commémorer son défunt père Constant Le Marchand de Lignery, commandant de 1715 à 1728 au fort Michillimakinac (lieu historique situé de nos jours dans l’état du Michigan). Ainsi, le prénom de cet officier des Compagnies franches de la Marine fut choisi pour la nouvelle dénomination de la paroisse de Saint-Constant en 1752.
En présentant l’étendard, les deux présidents s’exclamèrent : « Per mare et terras (par mer et terre) : Vive le Roy ! ».

- Au jour le jour, février 2016
Une captive heureuse chez les Iroquois
Surprise par ma découverte indiquant qu’une de mes ancêtres avait été prise par les « Sauvages Loups » en Nouvelle-Angleterre, j’ai été très heureuse de trouver sur mon chemin ce bouquin fort instructif sur le sujet.
Il relate les déboires de la famille du révérend John Williams, pasteur puritain anglais à Deerfield en Nouvelle-Angleterre, dont le village a été attaqué par des soldats français et des guerriers indiens de la Nouvelle-France.
Il faut savoir qu’à l’époque, soit au début du 18e siècle, la guerre entre les vieux pays est en cours et les colonies font nécessairement partie de leurs conflits.
Les envahisseurs mettent le feu à des maisons, tirent sur des habitants, font des prisonniers et repartent au travers les bois, amenant avec eux hommes, femmes et enfants en état de marcher.
À leur arrivée, les prisonniers sont pris en charge à Ville-Marie, ou encore adoptés par certaines tribus indiennes faisant partie des assaillants, ce qui est admis dans le contexte de l’époque.
L’accent est mis sur les démarches entreprises par le pasteur et ses proches pour tenter de sauver sa fille Eunice gardée par des autochtones « sauvages ». Après des années de tractations douloureuses, leur incompréhension est totale lorsqu’ils font face au choix de la jeune fille de vivre dans sa tribu d’adoption et même d’y fonder une famille.
Ce récit nous plonge dans des univers si différents en raison de leur culture, leurs croyances et leurs valeurs qu’ils semblent s’opposer et paraissent irréconciliables, ce qui nous permet une réflexion sur nos perceptions de l’histoire du Nouveau Monde.
J’ai été fascinée par cette histoire vraie superbement documentée. J’y ai trouvé réponse à certaines questions alors que de nouvelles questions se sont soulevées sur le sens de la vérité historique.

- Au jour le jour, février 2016
Bénévole de l’année 2015
Il y a de cela six ou sept ans, la Société d’histoire de La Prairie-de-la-Magdeleine, forte de son ancienneté et de son vaste savoir, voguait paisiblement sur les eaux calmes de sa réputation. Il faut en convenir, le navire avait fière allure.
Les aînés, qui composaient l’essentiel, sinon la totalité de la troupe des béné-voles, étaient loin de se douter que leur sereine certitude allait bientôt être ébranlée par l’arrivée d’un jeune entrepreneur qui, sous des allures modestes et une innocence feinte, venait généreusement nous proposer ses services.
Nous avions affaire à un personnage narquois, effacé, intelligent, créateur et de qui nous allions vite apprendre qu’il est téméraire de se frotter à un épiderme sensible sans quelques précautions élémentaires. Travailleur infatigable, notre candidat est un adepte du plein air qui préfère nettement l’ombre de l’anonymat à la lumière des projecteurs.
Pris au piège, le président de l’époque, craignant d’être accusé d’immobilisme et d’atrophie et, il faut bien l’admettre, visiblement impressionné par la feuille de route du candidat et par sa ferme intention d’aider notre savante institution, dut se résigner à l’admettre dans nos rangs. Une décision qu’il n’eut jamais à regretter. Ce qui prouve qu’il avait un excellent jugement.
Sachez que recruter de jeunes aspirants n’est pas de tout repos. Ils comprennent difficilement qu’il n’est pas facile pour les aînés d’accepter de confronter leurs idées et éventuellement de remettre en question de vieilles façons de procéder. Il faut aussi faire comprendre à ces jeunes, eux qui croient tout savoir, que, bien que les vieux aient toujours raison, ils peuvent également, avec une dose de bonne volonté, s’ouvrir aux initiatives des nouveaux venus.
Heureusement, le conflit des générations fut de courte durée et la nouvelle recrue sut vite s’intégrer et subtilement nous contaminer avec ses propositions d’ouverture aux innovations. C’est ainsi qu’étant designer graphique de profession, il prit rapidement en charge la mise en page de notre bulletin mensuel, lui imprégnant une allure toute moderne et très professionnelle.
Voilà pourquoi :
• Pour son indéfectible fidélité envers les intérêts de la Société d’histoire ;
• Pour la mise en page, à ce jour, de soixante-quatorze numéros du Au jour le jour, ce qui représente un apport considérable à notre organisme et a largement contribué à son image de marque ;
• Pour sa participation à titre de membre du conseil d’administration et de vice-président ;
• Pour sa constante contribution à l’avancement de la Société d’histoire,
C’est avec grand plaisir que nous désignons Monsieur François-Bernard Tremblay bénévole de l’année 2015.

- Au jour le jour, février 2016
De la grande visite à la SHLM
Le 18 janvier dernier, une délégation de la SHLM a accueilli Monsieur Jean-Claude Poissant, député de la circonscription fédérale de La Prairie, pour une visite de nos locaux. Pendant deux heures, nous avons pu échanger avec lui sur l’histoire locale et sur la mission de la SHLM. Enchanté de sa visite, Monsieur Poissant s’est empressé de devenir membre de la SHLM et il a fait l’acquisition de plusieurs de nos ouvrages historiques. Rappelons que Monsieur Poissant est le premier député de la nouvelle circonscription de La Prairie (détachée de Brossard depuis l’élection fédérale de 2015) et qu’il est le descendant de Jacques Poissant dit Lasaline, un soldat des Compagnies franches de la Marine qui s’est établi dans la seigneurie de La Prairie à la fin du XVIIe siècle.

- Au jour le jour, février 2016
Rappels importants aux membres
L’assemblée générale des membres de la SHLM aura lieu au Théâtre du Vieux-Marché situé au 247, rue Sainte-Marie, à La Prairie, le mardi 15 mars 2016 à 19 h 30. Trois postes au conseil d’administration sont en élection cette année. Seuls les membres en règle ayant renouvelé leur cotisation pour l’année 2016 pourront assister à la réunion.
La période de renouvellement achève. En plus de vous permettre d’assister à l’assemblée générale annuelle, votre adhésion à la SHLM vous donne gratuitement accès à notre centre de recherche ainsi qu’à nos conférences régulières. Votre soutien nous permettra aussi de réaliser plusieurs projets à caractères généalogiques, historiques ou patrimoniaux conformément aux objectifs de notre mission.
Stéphane Tremblay, président de la SHLM

- Au jour le jour, janvier 2016
Le gagnant du concours jeunesse de la Semaine nationale de la généalogie
Dans le cadre de la Semaine nationale de la généalogie (du 20 au 29 novembre 2015), la Fédération québécoise des sociétés de généalogie (FQSG), en collaboration avec la chaîne de restaurants Normandin, invitait les jeunes de 17 ans et moins à compléter leur arbre généalogique avec l’aide de leurs parents et, par la même occasion, à s’inscrire au concours Voici ma famille pour courir la chance de gagner un iPod ou des chèques-cadeaux Normandin.
Toutes nos félicitations à Roméo Thouin, petit-fils de Monsieur Gilles Thouin et de Madame Solange Lamarche, membres de la SHLM, qui a remporté le iPod en participant au volet jeunesse du concours. Depuis la première édition du concours en 2012, Madame Lamarche, membre du comité de généalogie de la SHLM, se fait un point d’honneur de diffuser toutes les informations de cette semaine thématique dans son milieu familial, et c’est cette année que le tirage au sort a récompensé le travail de son petit-fils Roméo.