
- Au jour le jour, mai 2024
Mot du président
Fête de la Saint-Jean-Baptiste dans
le Vieux-La Prairie
Contrairement aux années précédentes, il n’y aura pas d’activités ou de journée thématique dans le Vieux-La Prairie pour souligner la fête nationale de la Saint-Jean-Baptiste.
Cependant, fidèle à notre mission de faire connaître la généalogie et l’histoire locale, la SHLM ouvrira ses locaux la journée du 24 juin et nos guides étudiants offriront trois visites guidées gratuites du site patrimonial déclaré (10 h, 13 h et 15 h).
Venez en apprendre plus sur la SHLM (52 années d’existence), la seigneurie de La Prairie (1647 à 1854), l’histoire du fort et de la bataille de 1691, le premier chemin de fer du Canada (1836), les inondations et les incendies du 19e siècle.
Faites également une visite à pied de l’arrondissement (visite de l’église et de la crypte incluse).
Bonne Saint-Jean-Baptiste!
Stéphane Tremblay, président de la SHLM.

- Au jour le jour, mai 2024
Conférence
Les réfugiés et miliciens acadiens en Nouvelle-France.
1755 – 1763
Saviez-vous que 1 935 réfugiés acadiens sont venus en Nouvelle-France entre 1755 et 1763? Pendant cette période, ils ont été accusés d’avoir transmis la variole aux Canadiens. Est-ce vraiment le cas ?
Dans ses mémoires, le notaire Courville a rapporté que des Acadiens ont été victimes de fraudes de la part de Bigot. Comment ont-ils été touchés ?
Dans le journal de Malartic, nous apprenons que 150 miliciens acadiens se sont battus sur les plaines d’Abraham le fameux 13 septembre 1759. Quel a été leur rôle ?
Originaire de Saint-Fabien-de-Panet, André-Carl Vachon est descendant des premiers Acadiens réfugiés au Québec. Il détient une maîtrise en histoire acadienne (UQTR 2018) et est maître généalogiste agréé.
Auteur et conférencier, André-Carl Vachon a écrit plusieurs ouvrages portant sur les Acadiens publiés aux éditions La Grande Marée.
En 2019, il a reçu le prix Philippe-Aubert-de-Gaspé pour sa contribution exceptionnelle à l’histoire et à son amour de l’Acadie.
Mardi 21 mai 2024 à 19h
Théâtre du Vieux-La Prairie
247, rue Sainte-Marie à La Prairie
Membres SHLM : GRATUIT. Non-membres : 8 $
Pour information : www.shlm.info, 450-659-1393

- Au jour le jour, mai 2024
Stage en archives
En mai et juin, la SHLM bénéficiera de la présence et du travail d’une stagiaire en archivistique, madame Amélia Laramée, de l’École de bibliothéconomie et des sciences de l’information (EBSI) de l’Université de Montréal.
Membre de la SHLM, résidente de La Prairie et déjà initiée à la généalogie, madame Laramée réalisera bénévolement le traitement d’un fonds d’archives.
Mentionnons qu’en mars dernier prenait fin le stage de madame Daphnée Hounzell qui a complété le traitement du fonds P83 de madame Claire Robert.
Un grand merci à ces dames qui donnent un coup de main au traitement des précieuses archives de la SHLM !

- Au jour le jour, mai 2024
Journée nationale des Patriotes
20 mai 2024 de 12h à 16h
À la mémoire des Patriotes, le lundi 20 mai 2024 de 12h à 16h se tiendra une fête familiale dans le Vieux-La Prairie. Jeux gonflables pour les plus petits, discours patriotiques et reconstitution historique par la Garnison de Montréal, danses folkloriques, hot-dogs, kiosques.
Visite guidée GRATUITE, un seul départ : 15h.
Venez célébrer avec nous au 249 rue Sainte-Marie !

- Au jour le jour, mai 2024
Les Îles de la Madeleine sur la rue Sainte-Marie !
La série Temps de chien était de passage le 29 avril à La Prairie. La maison jaune tout juste devant le local de la SHLM, et abritant le restaurant Le Passage, est devenue l’espace d’une journée un coquet café madelinot ! Entendra-t-on le bruit des vagues ?

- Au jour le jour, mai 2024
Hommage à France Pinsonneault
Soirée des bénévoles du député
– Hommage à France Pinsonneault –
Le jeudi 26 avril dernier, la SHLM participait à la soirée hommage aux bénévoles organisée par le Ministre Christian Dubé, député provincial de la circonscription de La Prairie. Il s’agit d’un moment privilégié de mettre en lumière celles et ceux qui ont donné de leur temps et de leur énergie au cours de l’année 2023 dans la circonscription.
Dans le cas de la SHLM, la récipiendaire était madame France Pinsonneault. Elle a reçu cet hommage en compagnie du président de la SHLM, M. Stéphane Tremblay.
Madame Pinsonneault s’adonne à la généalogie et la paléographie à la SHLM depuis plus de 20 ans. En outre, elle donne un coup de main au club de généalogie et a participé au projet des Biens des Jésuites. Dans les derniers mois, Mme Pinsonneault a amorcé un nouveau projet de grande ampleur : la numérisation et la transcription des registres paroissiaux de la paroisse du Christ-Roi de La Prairie. Travail de moine à lequel elle s’est astreinte quasiment à temps plein à l’été 2023.
De plus, belle surprise au cours de la soirée, Mme Pinsonneault a été l’heureuse gagnante d’un tirage d’une bouteille de sirop d’érable produit par M. Dubé à sa cabane à sucre personnelle !
Bravo France !
Clin d’oeil
Le député Dubé, aussi ministre de la Santé, a demandé à Mme Pinsonneault d’expliquer en quoi consistait la paléographie. Suite aux explications, il a mentionné qu’elle serait alors en mesure de déchiffrer sans problème….les prescriptions des médecins !

- Au jour le jour, mai 2024
Le 85e Bataillon … de La Prairie – partie 1
Les causes éloignées
C’est en 1669 que le roi Louis XIV décrète la création de la première milice au niveau du pays. Tous les hommes de 16 à 60 ans sont considérés comme miliciens, peu importe leur classe sociale. […] Les miliciens se trouvaient sous les ordres d’un capitaine de milice qui est généralement un habitant important de la paroisse. Le commandant en chef était le gouverneur de la Nouvelle-France. Les dimanches et les jours fériés, on effectuait des exercices et les miliciens s’entraînaient sans autre rétribution que leur ration quotidienne. […] La milice ne possédait pas d’uniforme et chacun devait fournir son arme.
L’histoire du 85e Bataillon s’inscrit dans la longue tradition de la milice canadienne-française qui du Régime français va se poursuivre sous le Régime anglais même si le rôle des capitaines de milice se voit passablement modifié.
Évidemment, il n’est nullement question ici, comme l’a fait l’auteur Benjamin Sulte[1] à la fin du 19e siècle, de raconter le parcours entier de la milice canadienne-française depuis ses débuts. Nous nous limiterons à souligner les événements qui, à la veille de la Confédération, ont directement mené à la création du 85e Bataillon.
Au début de la guerre de Sécession, bien que favorable aux états sudistes, la Grande-Bretagne proclame sa neutralité pour des raisons économiques. Elle souhaite maintenir ses liens commerciaux avec les deux belligérants et particulièrement avec le Sud qui fournit le coton à ses filatures de textile.
Or, un malheureux incident va venir bouleverser cette fragile neutralité. Le 8 novembre 1861, le capitaine du San Jacinto, frégate de la marine des États-Unis, arraisonne le paquebot britannique Trent et fait prisonniers deux commissaires des états du Sud. Cette arrestation sur un navire neutre irrite grandement les Britanniques qui se préparent à l’envoi d’un corps expéditionnaire contre les États-Unis (c.à.d. les états du Nord).
L’affaire va grandement choquer les habitants du Canada-Uni fidèles à la couronne d’Angleterre. Il fallait armer au plus tôt toutes les milices canadiennes afin de se porter à la défense de la Grande-Bretagne.
En mai 1862, John A. Macdonald, futur premier premier ministre du Canada, présente un projet de loi afin de rendre la milice plus efficace. Le projet de loi est rejeté sous prétexte que les dépenses exigées seraient trop élevées. Ce refus provoque la démission du duo Cartier-Macdonald.
En 1864, une nouvelle loi sur la milice fut enfin adoptée et à l’automne 1865 il y eut un grand camp à La Prairie. Ce camp sera suivi de nombreux autres. On commence déjà à s’organiser en vue du départ du pays des garnisons anglaises. [2]

La Confédération de 1867, en unissant la Nouveau-Brunswick, la Nouvelle-Écosse, l’Ontario et le Québec actuels, apparaissait comme un instrument permettant à ces colonies anglaises d’assurer une défense commune. C’est le départ des garnisons britanniques le 11 novembre 1871, qui marque définitivement les débuts d’une véritable organisation militaire du pays.
Malgré tout, il y eut un peu de l’action des Sudistes dans la genèse du 85e Bataillon.
Le 85e Bataillon d’infanterie
En puisant dans les journaux de l’époque, dans les lignes qui suivent, nous limiterons notre récit aux vingt premières années d’existence du 85e Bataillon. Créé le 4 juin 1880, dans la lignée des événements décrits plus haut, le 85e Bataillon doit son existence au lieutenant-colonel Julien Brosseau qui en assurera le commandement jusqu’en 1892. Capitaine d’un vapeur, maire et commerçant très à l’aise, à l’époque, Brosseau exerçait une grande influence sur la vie sociale et économique de La Prairie. Cependant nous ignorons les motifs personnels qui l’ont amené à créer ce nouveau bataillon de milice rurale.
« Nous voyons avec plaisir par le dernier numéro de la Gazette officielle du Canada, que la formation d’un nouveau bataillon, qui sera canadien-français, vient d’être autorisé. »[3] Le 85e est composé de 6, puis plus tard, de 8 compagnies : no 1 Saint-Jérôme, no 2 village Saint-Jean-Baptiste, no 3 Laprairie, no 4 Laprairie, no 5 Côte Saint-Paul, no 6 Longueuil. Sa devise est : Bon bras et bon cœur.
« Grande fête à Laprairie dimanche prochain. Les citoyens de l’endroit présenteront au 85e Bataillon deux drapeaux qui devront figurer dans leurs différentes parades. Ils sont l’ouvrage des dames des localités où se recrutent les soldats de ce bataillon. Cette idée a été émise lorsqu’après le départ du 65e Bataillon il fut question d’envoyer aussi le 85e de l’avant [c.à.d. aller combattre au Nord-Ouest]. »[4]

Chaque compagnie est composée de 108 hommes volontaires (soit 3 pelotons de 36 hommes), d’un capitaine, d’un lieutenant et d’un sous-lieutenant. Les officiers supérieurs sont : 1 lieutenant-colonel qui est le commandant, 4 majors et 3 capitaines.
À même les effectifs on formera un corps de musique, un corps de tambours et clairons, un corps d’ambulance ainsi qu’un corps de sapeurs. En 1883, le colonel Brosseau organisera une association de tir qui vingt ans plus tard comptera plus de 300 membres. Les meilleurs éléments participent à un concours annuel de tir à la cible. Car, sur le champ de bataille il faut savoir viser juste.
En septembre 1888, le marchand général de La Prairie, Hyacinthe Sylvestre, note dans son journal personnel ; « tir au 85e bataillon à Laprairie. Alphonse gagne la médaille de la puissance[5] 10 $, le prix du colonel 10 $ et un prix de 5 $ en argent. »
Tant l’association de tir que le bataillon procèdent annuellement, l’une à l’élection de ses administrateurs et le second à l’élection des sous-officiers.
Les miliciens, qui sont des volontaires, reçoivent une indemnité pour leur participation aux activités de leur bataillon. En juillet 1883, alors que le colonel Harwood félicitait le lieutenant-colonel Brosseau pour la tenue de son bataillon, ce dernier répliqua qu’il était presqu’impossible de maintenir le bataillon dans son état actuel si l’indemnité des troupes n’était pas augmentée.[6]
La question de l’indemnisation réapparut au feuilleton en 1895 quand un malaise est créé par la nouvelle que les bataillons ne recevraient pas leur paie ordinaire. Le ministre de la Milice à Ottawa crut rassurer tout le monde en promettant de demander un subside à cet effet. Prudent, le 85e Bataillon, lors de sa réunion mensuelle décide que le bataillon ne pourrait prendre part à la fête de la Reine s’il ne recevait pas sa paie ordinaire.[7] L’histoire ne dit pas si la reine Victoria s’était offusquée de cette décision.
Les premiers commandants furent le lieutenant-colonel Julien Brosseau de 1880 au 22 juillet 1892, le lieutenant-colonel A.D. Aubry de 1892 jusqu’en 1897 qui, cédant aux demandes de ses officiers, accepta de diriger le bataillon jusqu’au 22 juillet 1899. C’est le lieutenant-colonel J.P.A. Des Trois-Maisons qui lui succéda. Ce dernier élargit les effectifs en ajoutant 2 nouvelles compagnies :
No. 1 Maisonneuve, no 2 Quartier Saint-Jean-Baptiste, no 3 Saint-Henri Montréal, no 4 Saint-Henri (formée en décembre 1881), no 5 Côte Saint-Paul, no 6 Sainte-Cunégonde, no 7 village de Lorimier, no 8 Côte Saint-Louis du Mile End.
« En 1880, le bataillon avait donc pour officiers : lieutenant-colonel Julien Brosseau, commandant ; Godefroy Laviolette, seigneur de Saint-Jérôme, premier major ; Alfred Charlebois, M. P. P., marchand de Laprairie, deuxième major; A.-J.-A. Roberge, notaire de Laprairie, paie-maître ; P. Dumouchel, comptable de Laprairie, quartier-maître ; Dr T. -A. Brisson, de Laprairie, chirurgien ; J.-A. Ouimet, de Montréal, assistant chirurgien ; A.-A. Laviolette, marchand de Saint-Jérôme, capitaine commandant la compagnie n° 1 ; D. Barry, avocat de Montréal, capitaine commandant la compagnie n° 2 ; A. Sylvestre, marchand de Laprairie, capitaine commandant la compagnie n° 3 ; T. Bourassa, capitaine du vapeur Laprairie, capitaine commandant la compagnie n° 4 ; A.-D. Aubry, de la côte Saint-Paul, capitaine commandant la compagnie n° 5; capitaine F. Jodoin, du vapeur Longueuil, capitaine commandant la compagnie n° 6. » [8]
Afin de faire connaître au grand public le nouveau bataillon, le commandant Brosseau fit préparer, à La Prairie, un grand pique-nique, sur l’ancienne propriété de M. de Lorimier située à environ six milles (9,6 km) du village.
Les camps d’entraînement
La formation des régiments de milice passe obligatoirement par les camps d’entraînement, lesquels ont lieu à chaque été. L’entraînement du 85e Bataillon se tenait surtout à La Prairie, mais il y a eu aussi des camps à Valcartier, Trois-Rivières, Saint-Jean et ailleurs. Car, certaines compagnies venaient de Saint-Jérôme, Trois-Rivières, Sorel, Rivière-du-Loup, Rimouski et le Témiscouata. Les camps durent de 8 à 12 jours.
1881 : fin juin, camp du 85e Bataillon à La Prairie
1883 : le 2 juillet, camp de 1 600 hommes à La Prairie
1884 : 1er juillet début du camp de 8 jours du 85e Bataillon à La Prairie. « À la fin du camp, le colonel Brosseau en tête, la troupe a défilé par les rues hier après-midi au grand complet et musique en tête. Tout le monde a admiré la bonne discipline et la tournure martiale de ces volontaires. »[9]
1885 : le 22 septembre, début du camp de La Prairie. C’est sans doute à cause de l’insurrection du Nord-Ouest que le camp a été déplacé au début de l’automne.
1886 : le camp a lieu à Longueuil.
1887 : fin juin, au-delà de 1200 militaires prennent part aux exercices à La Prairie.
1888 : fin juin, le 85e Bataillon est au camp à Trois-Rivières.
1891 : fin juillet, camp à La Prairie. Début septembre, les exercices réguliers du 6e district militaire sont commencés à La Prairie.
1893 : fin juin, camp à La Prairie. Le 85e est qualifié de plus beau bataillon de la province. On verra à ce que chaque soldat soit habillé proprement dès l’ouverture du camp.
1895 : le camp a lieu au mois de juin à La Prairie. Selon le journaliste de La Presse, il y règne un esprit de discipline qui fait bien augurer de la bonne entente existante entre les officiers et les soldats du 85e Bataillon.
1896 : pour le 85e Bataillon, le camp a lieu à La Prairie à compter du 15 septembre alors que d’autres camperont à Saint-Jean.
1897 : fin juin, camp à Saint-Joseph de Lévis.
1898 : camp à La Prairie le 28 juin.
1899 : le camp de La Prairie sera ouvert du 21 juin au 2 juillet. Il y aura 5 000 hommes sous les armes.
1903 : le 1er juillet, 256 hommes du 85e Bataillon sont partis camper à Trois-Rivières.
Suite et fin dans le numéro de juin.
_____________________________
[1] Sulte Benjamin, Histoire de la milice canadienne-française, 1760-1897. Desbarats & Cie, Imprimeurs et Graveurs, Montréal, 20 juin 1897. 147 pages.
[2] Sulte, œuvre citée, pages 58 et 59.
[3] Le Journal de Trois-Rivières du 10 juin 1880.
[4] L’Étendard, le 24 septembre 1885.
[5] Il s’agit du Dominion du Canada. Alphonse Sylvestre, marchand et frère de Hyacinthe, était capitaine commandant de la compagnie no 3 du 85e Bataillon.
[6] L’Étendard, édition du 7 juillet 1883
[7] La Presse, édition du 9 mai 1895
[8] Benjamin Sulte, œuvre citée, pages 105 et 106
[9] La Minerve, le 8 juillet 1884

- Au jour le jour, mai 2024
Mot du président
La SHLM et les deux fédérations.
Afin de profiter d’une foule de services et d’activités (assurances, formations, conférences…), la SHLM est membre de deux fédérations dont les objectifs cadrent avec ceux de notre mission : La Fédération Histoire Québec (FHQ) et la Fédération québécoise des sociétés de généalogie (FQSG).
Les deux fédérations organisent des activités qui rassemblent la plupart des organismes à caractère culturel et patrimonial de la province.
C’est ainsi que la FHQ tiendra son congrès annuel (et son assemblée générale annuelle) au Château Montebello du 16 au 18 mai prochains. La FQSG, quant à elle, tiendra son Conseil de généalogie annuel (formation et assemblée générale) au centre multifonctionnel Guy-Dupré de La Prairie le 1er juin prochain.
La SHLM participera à ces deux événements en y déléguant un membre de son conseil d’administration ou sa directrice générale.
Stéphane Tremblay, président

- Au jour le jour, avril 2024
Conférence 16 avril 2024
Corsaires et espionnage en Méditerranée au 16e siècle
Le 16e siècle voit trois empires se livrer à un affrontement sanglant en Méditerranée : Venise, l’Espagne et les Ottomans.
Le but de cette conférence est de faire connaître ce conflit qui mêle croisade, guerre commerciale, piraterie et espionnage.
Passionné d’histoire, Philippe Boulanger a complété un baccalauréat ainsi qu’une maîtrise en histoire. Spécialisé en histoire médiévale, il donne depuis des entrevues et des conférences pour démystifier cette période mal connue et parfois malmenée.
Parallèlement, il travaille depuis plus de 15 ans dans le monde muséal et enseigne l’histoire au niveau collégial.
Le mardi 16 avril 2024 à 19h00
Théâtre du Vieux-La Prairie, 247, rue Sainte-Marie à La Prairie
Membres : GRATUIT. Non-membres : 8,00$
Pour information: www.shlm.info 450-659-1393

- Au jour le jour, avril 2024