Sélection d'une édition

    SHLM – 25e anniversaire

    -L’arrondissement historique

    – Les publications

    Lorsqu'en 1975, le Ministre de la Culture a déclaré le Vieux-La Prairie arrondissement historique, il a proposé aux visiteurs un ensemble bâti "Témoin de la vie quotidienne de nos ancêtres dans un village québécois, fin XIXe s." La SHLM a donc préparé des guides pour que les visiteurs puissent apprécier la valeur patrimoniale des maisons et du quartier et en apprendre davantage sur la vie des habitants qui se sont succédés depuis des siècles. Pour des groupes, on demande que réservation soit faite et nous recevons des visiteurs de tous âges représentant toute une gamme d'intérêts. Le dépliant Parcours historique s'avère un outil très éloquent pour expliquer l’essentiel de notre histoire et des maisons que renferme le Vieux-La Prairie. Grâce à une subvention gouvernementale, nous disposons de trois étudiants pendant les mois d'été. Ils sont à la disposition des visiteurs qui se présentent tous les jours et le dimanche après-midi.

    Avec les années des supports écrits ou autres sont venus s'ajouter dans le but d'intéresser plus particulièrement des clientèles scolaires. Notre objectif étant toujours de favoriser la connaissance de notre histoire et des maisons de l'arrondissement historique.

    Des jeux ont été créés, dédiés aux jeunes des écoles primaires.

    1. Ensemble de casse-tête, de large dimension, qui se veut une initiation à l'archéologie. A être utilisé en équipes.

    2. Papier-construction, à colorier et découper pour construire une maquette, réplique du fort de 1705.

    De nombreux cahiers proposent des textes et illustrations et présentent un questionnaire avec choix de réponses.

    3. Le patrimoine, 8 pages, 1982

    4. Ta ville aujourd’hui, 17 pages, 1982

    5. Ton quartier, 12 pages, 1982

    6. Le site historique, 11 pages, 1982

    -L’arrondissement historique - Les publications Lorsqu'en 1975, le Ministre de la Culture a déclaré le Vieux-La Prairie arrondissement historique, il a proposé aux visiteurs un ensemble bâti "Témoin de la vie quotidienne de nos ancêtres dans un village québécois, fin XIXe s." La SHLM a donc préparé des guides pour que les visiteurs puissent apprécier la valeur patrimoniale des maisons et du quartier et en apprendre davantage sur la vie des habitants qui se sont succédés depuis des siècles. Pour des groupes, on demande que réservation soit faite et nous recevons des visiteurs de tous âges représentant toute une gamme d'intérêts. Le dépliant Parcours historique s'avère un outil très éloquent pour expliquer l’essentiel de notre histoire et des maisons que renferme le Vieux-La Prairie. Grâce à une subvention gouvernementale, nous disposons de trois étudiants pendant les mois d'été. Ils sont à la disposition des visiteurs qui se présentent tous les jours et le dimanche après-midi. Avec les années des supports écrits ou autres sont venus s'ajouter dans le but d'intéresser plus particulièrement des clientèles scolaires. Notre objectif étant toujours de favoriser la connaissance de notre histoire et des maisons de l'arrondissement historique. Des jeux ont été créés, dédiés aux jeunes des écoles primaires. 1. Ensemble de casse-tête, de large dimension, qui se veut une initiation à l'archéologie. A être utilisé en équipes. 2. Papier-construction, à colorier et découper pour construire une maquette, réplique du fort de 1705. De nombreux cahiers proposent des textes et illustrations et présentent un questionnaire avec choix de réponses. 3. Le patrimoine, 8 pages, 1982 4. Ta ville aujourd’hui, 17 pages, 1982 5. Ton quartier, 12 pages, 1982 6. Le site historique, 11 pages, 1982...

    Généalogie de Martine Bourdages

    Bourdages

    Martine Bourdages

    Charles Trudel

    La Nativité de La Prairie

    10 août 1996

    Jean Trudel

    Lise Roberge

    Gaétan Bourdages

    Louise Péloquin

    Saint-Clément de Viauville de Montréal

    15 août 1970

    Bernard Péloquin

    Germaine Lacharité

    Léopold Bourdages

    Pauline Gagnon

    Notre-Dame-de-Lourdes de Montréal

    02 décembre 1944

    Télesphore Gagnon

    Marie-Anne Houde

    Nicolas-Bénélas Bourdages

    Geneviève Gauthier

    Bonaventure

    27 novembre 1888

    Ambroise Gauthier

    Zoé Bujold

    Eugène Bourdages

    Marie-Louise Cavanagh

    Bonaventure

    18 janvier 1858

    Nicolas Cavanagh

    Marie-Olive Arbour

    Antoine Bourdages veuf de Charlotte Bourg

    Vénérande Bernard

    Bonaventure

    08 février 1825

    Jean-Marie Bernard

    Marie-Osite Babin

    Raymond Bourdages

    Esther Leblanc

    Rivière Saint-Jean

    Nouveau-Brunswick

    1755 ou 1756

    René Leblanc

    Marguerite Tibeau

    Pierre Bourdages

    Marie-Anne Chevalier

    Port La Joye, île Saint-Jean

    Acadie

    11 août 1721

    Guillaume Chevalier

    Jeanne Ménard

    Jean Bourdages

    Marie Duseau

    De Saint-Jean d’Angoulême

    (Charente-Maritime) France.

     

    Bourdages Martine Bourdages Charles Trudel La Nativité de La Prairie 10 août 1996 Jean Trudel Lise Roberge Gaétan Bourdages Louise Péloquin Saint-Clément de Viauville de Montréal 15 août 1970 Bernard Péloquin Germaine Lacharité Léopold Bourdages Pauline Gagnon Notre-Dame-de-Lourdes de Montréal 02 décembre 1944 Télesphore Gagnon Marie-Anne Houde Nicolas-Bénélas Bourdages Geneviève Gauthier Bonaventure 27 novembre 1888 Ambroise Gauthier Zoé Bujold Eugène Bourdages Marie-Louise Cavanagh Bonaventure 18 janvier 1858 Nicolas Cavanagh Marie-Olive Arbour Antoine Bourdages veuf de Charlotte Bourg Vénérande Bernard Bonaventure 08 février 1825 Jean-Marie Bernard Marie-Osite Babin Raymond Bourdages Esther Leblanc Rivière Saint-Jean Nouveau-Brunswick 1755 ou 1756 René Leblanc Marguerite Tibeau Pierre Bourdages Marie-Anne Chevalier Port La Joye, île Saint-Jean Acadie 11 août 1721 Guillaume Chevalier Jeanne Ménard Jean Bourdages Marie Duseau De Saint-Jean d’Angoulême (Charente-Maritime) France.   ...

    Quelques-unes des publications de nos membres

    Bourdages, Gaétan, Yelle, Jean-Pierre, Battershill, Natalie, La Prairie, images d’hier, 160 pages, 1992. Souligne le 325e anniversaire de la fondation de La Prairie.
     

    Bourdages, Gaétan, Létrouneau, Michel, Racine, Paul, la Nativité de La Prairie, 140 pages, 1991. Souligne le 150e anniversaire de l’église actuelle.
     

    Sirois, Elaine, Moulin à vent et meuniers à La Prairie, 1647, 1988, 460 pages.
     

    Robert, Viateur, Généalogie de la famille de Jean-Louis Robert et Albertine Bisaillon 1605-1981, 1981, 510 pages.

    Bourdages, Gaétan, Yelle, Jean-Pierre, Battershill, Natalie, La Prairie, images d’hier, 160 pages, 1992. Souligne le 325e anniversaire de la fondation de La Prairie.   Bourdages, Gaétan, Létrouneau, Michel, Racine, Paul, la Nativité de La Prairie, 140 pages, 1991. Souligne le 150e anniversaire de l’église actuelle.   Sirois, Elaine, Moulin à vent et meuniers à La Prairie, 1647, 1988, 460 pages.   Robert, Viateur, Généalogie de la famille de Jean-Louis Robert et Albertine Bisaillon 1605-1981, 1981, 510 pages....

    Histoire populaire du Québec (Tome II – Partie 2)

    Page 123 : Lors des élections de 1810 Mgr Plessis invite le clergé catholique à plonger indirectement dans la campagne électorale en demandant aux curés de favoriser les candidats qui plaident en faveur de la soumission au gouvernement britannique. « Le curé de Laprairie, Joseph Boucher, craint que l’attitude du clergé dans le conflit actuel ne tourne à son désavantage. « Mais, monseigneur, écrit-il à son évêque le 28 mars, après l’éclat que vient de faire le clergé, nous ne devons plus nous attendre qu’à une haine implacable de la part du parti Révolutionnaire et si, malheureusement, le même choix avait lieu [que pour l’élection précédente], nous nous trouverions exposés à toute sorte de persécutions de la part des mauvais membres et de la Chambre même, s’ils en composaient la majorité, nous serions probablement traduits à leur barre pour recevoir leur sentence. »»

    Page 146 et 147 : Lors de la guerre de 1812 contre les Américains les Voltigeurs canadiens s’organisent et établissement leurs quartiers généraux au fort Chambly. « Au début du mois d’août, les Voltigeurs aménagent à Saint-Philippe de Laprairie, «le plus maudit endroit du monde connu», selon Viger.» En mai 1812 il y a conscription de 2 000 hommes devant former quatre bataillons. «Le point de rencontre du premier bataillon est Pointe-aux-Trembles, près de Portneuf; celui du deuxième, Laprairie […]» «Le recrutement s’effectue parfois plus difficilement. Certains préfèrent la désertion au camp militaire. La division de Pointe-Claire, sur l’île de Montréal, doit fournir 59 miliciens. Vingt-huit seulement se présentent au camp de Laprairie […]»

    Page 152 : Au cours de la même guerre, «le 28 novembre, Prevost, qui est à Laprairie […]»

    Page 401 et 402 : Au cours du soulèvement de 1838 les Frères Chasseurs préparaient une attaque générale fixée au 3 novembre. Un groupe devait attaquer Beauharnois et Laprairie.

    « Des patriotes, réunis à Saint-Constant le 3, reçoivent l’ordre de se rendre à Laprairie. En chemin, ils s’emparent des armes des loyaux sujets de Sa Majesté. Rendus à Rivière-à-la-Tortue, non loin de Laprairie, ils veulent forcer la porte de la maison d’un nommé Vitty où sont réfugiés plusieurs bureaucrates. Au cours d’un échange de coups de feu, l’un des occupants de la maison, Aaron Walker, est tué. Il devient, avec Weir et Chartrand, un autre martyr de la rébellion. Le lendemain, une vingtaine de familles de Laprairie cherchent refuge à Montréal, «parce qu’on s’attendait d’un moment à l’autre que ce village serait attaqué par les rebelles dont il y avait un immense rassemblement à L’Acadie.»»

    Page 406 : En représaille aux mouvements de révolte, des volontaires anglophones, aidés de soldats réguliers et de miliciens, incendient fermes isolées et villages où habitaient les supposés rebelles. «Dimanche au soir [le 11 novembre], tout le pays en arrière de Laprairie présentait l’affreux spectacle d’une vaste nappe d flamme vivide, et l’on rapporte que pas une seule maison rebelle n’a été laissée debout.»

    Page 123 : Lors des élections de 1810 Mgr Plessis invite le clergé catholique à plonger indirectement dans la campagne électorale en demandant aux curés de favoriser les candidats qui plaident en faveur de la soumission au gouvernement britannique. « Le curé de Laprairie, Joseph Boucher, craint que l’attitude du clergé dans le conflit actuel ne tourne à son désavantage. « Mais, monseigneur, écrit-il à son évêque le 28 mars, après l’éclat que vient de faire le clergé, nous ne devons plus nous attendre qu’à une haine implacable de la part du parti Révolutionnaire et si, malheureusement, le même choix avait lieu [que pour l’élection précédente], nous nous trouverions exposés à toute sorte de persécutions de la part des mauvais membres et de la Chambre même, s’ils en composaient la majorité, nous serions probablement traduits à leur barre pour recevoir leur sentence. »» Page 146 et 147 : Lors de la guerre de 1812 contre les Américains les Voltigeurs canadiens s’organisent et établissement leurs quartiers généraux au fort Chambly. « Au début du mois d’août, les Voltigeurs aménagent à Saint-Philippe de Laprairie, «le plus maudit endroit du monde connu», selon Viger.» En mai 1812 il y a conscription de 2 000 hommes devant former quatre bataillons. «Le point de rencontre du premier bataillon est Pointe-aux-Trembles, près de Portneuf; celui du deuxième, Laprairie […]» «Le recrutement s’effectue parfois plus difficilement. Certains préfèrent la désertion au camp militaire. La division de Pointe-Claire, sur l’île de Montréal, doit fournir 59 miliciens. Vingt-huit seulement se présentent au camp de Laprairie […]» Page 152 : Au cours de la même guerre, «le 28 novembre, Prevost, qui est à Laprairie […]» Page 401 et 402 : Au cours du soulèvement de 1838 les Frères Chasseurs préparaient une attaque générale fixée au 3 novembre. Un groupe devait attaquer Beauharnois et Laprairie. « Des patriotes, réunis à Saint-Constant le 3, reçoivent l’ordre de se rendre à Laprairie. En chemin, ils s’emparent des armes des loyaux sujets de Sa Majesté. Rendus à Rivière-à-la-Tortue, non loin de Laprairie, ils veulent forcer la porte de la maison d’un nommé Vitty où sont réfugiés plusieurs bureaucrates. Au cours d’un échange de coups de feu, l’un des occupants de la maison, Aaron Walker, est tué. Il devient, avec Weir et Chartrand, un autre martyr de la rébellion. Le lendemain, une vingtaine de familles de Laprairie cherchent refuge à Montréal, «parce qu’on s’attendait d’un moment à l’autre que ce village serait attaqué par les rebelles dont il y avait un immense rassemblement à L’Acadie.»» Page 406 : En représaille aux mouvements de révolte, des volontaires anglophones, aidés de soldats réguliers et de miliciens, incendient fermes isolées et villages où habitaient les supposés rebelles. «Dimanche au soir [le 11 novembre], tout le pays en arrière de Laprairie présentait l’affreux spectacle d’une vaste nappe d flamme vivide, et l’on rapporte que pas une seule maison rebelle n’a été laissée debout.»...

    Histoire populaire du Québec (Tome II)

    Dans un numéro antérieur de « Au jour le jour » je vous avais déjà présenté des passages susceptibles de jeter quelque lumière sur l’histoire de La Prairie. Ces extraits étaient tirés du tome premier de l’Histoire populaire du Québec de Jacques Lacoursière publié aux Éditions du Septentrion. Voici donc maintenant les extraits du tome second où il est question de La Prairie.

    Tome deux :

    Page 24 : A propos des circonscriptions électorales lors de la première élection de 1792; « Le dernier comté sur la rive sud se nomme Huntingdon et comprend sept paroisses : La Prairie, Saint-Philippe, Saint-Pierre, Sault-Saint-Louis, Châteauguay, Saint-Régis et Saint-Constant, avec comme représentants, Le Comte Dupré et Lorimier. »                

    Page 249 : « (en 1829) Les députés adoptent une projet de loi faisant passer de 27 à 44 les circonscriptions électorales. On profite de la circonstance pour franciser les noms de plusieurs comtés. […] Ainsi Huntingdon devient L’Acadie, Beauharnois et Laprairie. »

    Page 54 : En 1796 les autorités anglaises craignent la désaffection la population canadienne face à la couronne britannique. « Les craintes et les appréhensions des autorités civiles ne sont pas sans fondement. Un citoyen de Laprairie, probablement Jean-Baptiste Norau, écrit au consul de la république française à New York :

    Recevez les vœux de la plus grande partie des Canadiens. Ils aiment tous la France, détestent l’Anglais et désirent ardemment de se voir réunis à la mère patrie dont ils ont été séparés depuis trop longtemps. Ils voient avec peine que la Convention paraît les oublier depuis qu’ils gémissent sous le joug anglais. […] Les citoyens ci-après nommés entraînent avec eux le suffrage de tous nos habitants, bons patriotes et bons guerriers, ils se réuniront avec les Français qui viendront les arracher au jour anglais au premier signal. Ils seront suivis de tous ceux qu’il est impossible de nommer ici mais qui ont tous le même courage et le même amour pour la France et pour les Français. J’ajouterais que tous m’ont chargé d’offrir aux Français leurs cœurs et leurs bras et que, s’ils eussent pu le faire sans risques, je serais muni de la signature de tous. Papineau à Montréal, Delisle et fils, Perreau à Québec Dorion Roy, la paroisse entière de Laprairie dont je suis membre.

    Dans un numéro antérieur de « Au jour le jour » je vous avais déjà présenté des passages susceptibles de jeter quelque lumière sur l’histoire de La Prairie. Ces extraits étaient tirés du tome premier de l’Histoire populaire du Québec de Jacques Lacoursière publié aux Éditions du Septentrion. Voici donc maintenant les extraits du tome second où il est question de La Prairie. Tome deux : Page 24 : A propos des circonscriptions électorales lors de la première élection de 1792; « Le dernier comté sur la rive sud se nomme Huntingdon et comprend sept paroisses : La Prairie, Saint-Philippe, Saint-Pierre, Sault-Saint-Louis, Châteauguay, Saint-Régis et Saint-Constant, avec comme représentants, Le Comte Dupré et Lorimier. »                 Page 249 : « (en 1829) Les députés adoptent une projet de loi faisant passer de 27 à 44 les circonscriptions électorales. On profite de la circonstance pour franciser les noms de plusieurs comtés. […] Ainsi Huntingdon devient L’Acadie, Beauharnois et Laprairie. » Page 54 : En 1796 les autorités anglaises craignent la désaffection la population canadienne face à la couronne britannique. « Les craintes et les appréhensions des autorités civiles ne sont pas sans fondement. Un citoyen de Laprairie, probablement Jean-Baptiste Norau, écrit au consul de la république française à New York : Recevez les vœux de la plus grande partie des Canadiens. Ils aiment tous la France, détestent l’Anglais et désirent ardemment de se voir réunis à la mère patrie dont ils ont été séparés depuis trop longtemps. Ils voient avec peine que la Convention paraît les oublier depuis qu’ils gémissent sous le joug anglais. […] Les citoyens ci-après nommés entraînent avec eux le suffrage de tous nos habitants, bons patriotes et bons guerriers, ils se réuniront avec les Français qui viendront les arracher au jour anglais au premier signal. Ils seront suivis de tous ceux qu’il est impossible de nommer ici mais qui ont tous le même courage et le même amour pour la France et pour les Français. J’ajouterais que tous m’ont chargé d’offrir aux Français leurs cœurs et leurs bras et que, s’ils eussent pu le faire sans risques, je serais muni de la signature de tous. Papineau à Montréal, Delisle et fils, Perreau à Québec Dorion Roy, la paroisse entière de Laprairie dont je suis membre....

    Dons

    Monette, Robert. Les ancêtres Monet, de la France à l’Amérique, 150 pages, 1995. don de M. Raymond Monette
     

    Deux photographies couleur originales : vue panoramique de l’intérieur de l’église de la Nativité par Denis Tremblay, photographe à Saint-Jean. don de Gaétan Bourdages
     

    M. André Taillon, ex-président de la SHLM a fait don de plusieurs volumes sur l’histoire de La Prairie. Cette collection comprend des Bastions, des livres sur l’orfèvrerie et l’art ancien ainsi que de nombreux documents reliés à l’histoire locale. Le tout peut être consulté à notre centre d’archives.

    Monette, Robert. Les ancêtres Monet, de la France à l’Amérique, 150 pages, 1995. don de M. Raymond Monette   Deux photographies couleur originales : vue panoramique de l’intérieur de l’église de la Nativité par Denis Tremblay, photographe à Saint-Jean. don de Gaétan Bourdages   M. André Taillon, ex-président de la SHLM a fait don de plusieurs volumes sur l’histoire de La Prairie. Cette collection comprend des Bastions, des livres sur l’orfèvrerie et l’art ancien ainsi que de nombreux documents reliés à l’histoire locale. Le tout peut être consulté à notre centre d’archives....

    L’histoire de la SHLM (suite de janvier 1997 – partie 2)

                L’histoire se raconte par d’autres témoins et les cartes et plans anciens éclairent éloquemment les renseignements écrits.

                Avec le XXe siècle, la photographie ajoute un support visuel très parlant pour qui veut mieux connaître ses ancêtres. Notre collection prend graduellement de l’importance grâce aux dons reçus. Qui, mieux qu’une société d’histoire, peut conserver ces photographies qui se dissipent trop souvent lors de décès?

                De par notre constitution, la SHLM s’est donné comme mandat de DIFFUSER la richesse de ses archives. Pour ce faire, celles-ci doivent être accessibles et il faut surtout que l’on sache qu’elles existent. Ce rôle. La SHLM ne le perd jamais de vue. Aussi, depuis 1990, l’informatique nous est apparu un moyen efficace de diffusion.

                Les documents suivants ont été lus et inventoriés. Us nous Livrent une banque de noms, d’actes et la situation géographique d’habitation de nos ancêtres à travers toute la Seigneurie de La Prairie.

    • Le Fonds des Jésuites presqu’en entier
    • Inventaire cartographique et photographique
    • Cartographie informatisée des lots et des habitants de la Seigneurie La Prairie depuis les origines d’après un plan de Jos Riel en 1861
      • Plan Gipoulou 1788
      • Cadastre abrégé 1836-1840
      • Plans superposés du Village de La Prairie, depuis 1978, remontant aux origines, dont le Fort en 1705, d’un plan de Gédéon de Catalogne
      • Baptêmes et Sépultures, paroisse de la Nativité, l670-1990
      • Une partie des recensements.

     

                L’informatisation de nos archives marquait le premier pas vers l’entrée sur l’autoroute informatique. L’étape suivante constitue la création d’un logiciel: ARCHILOG. Ce fut une première au Québec.

                Pour comprendre l’organisation des Archives, pour s’y retrouver. ARCHI-LOG devient un outil informatique de gestion et de description des documents d’archives. Afin d’asseoir le logiciel ARCHI-LOG sur des bases solides, non-contestables, la SHLM a pris modèle sur certains éléments fondamentaux des Archives nationales du Québec. Notre logiciel est rigoureusement conforme aux normes internationales des règles de descriptions des documents d’archives (RDDA): fonctions diverses, index, vocabulaire contrôlé et universel, etc. Un guide d’utilisation en facilite l’usage. A date, 5 centres d’archives en ont fait l’acquisition.

                Pour élargir le rayonnement de la SHLM, d’autres projets sont en cours. Durant l’hiver 1977, nous oeuvrons à la réalisation d’outils de connaissance et de diffusion sur l’arrondissement historique. L’appui financier nous est fourni par le Ministère de la Culture, bureau régional de Saint-Jean-sur-Richelieu. Bénévoles et personnel rémunéré travaillent de concert pour réaliser une brochure et un site WEB.

                Cette brochure se veut un instrument d’information et une invitation lancée à tous les résidents de La Prairie pour une visite de l’arrondissement historique. La brochure sera distribuée par la poste, moyen jugé efficace pour rejoindre tout le monde.

                Dans le but d’atteindre un public plus élargi, dans un deuxième volet du projet, la SHLM lancera son site Web dans un avenir prochain.

                Notre entrée sur l’autoroute informatique, INTERNET sera devenu réalité. Voilà donc un autre sujet de fierté pour tous les membres de la SHLM !

                Que de chemin parcouru en 25 ans !

                L'histoire se raconte par d'autres témoins et les cartes et plans anciens éclairent éloquemment les renseignements écrits.             Avec le XXe siècle, la photographie ajoute un support visuel très parlant pour qui veut mieux connaître ses ancêtres. Notre collection prend graduellement de l'importance grâce aux dons reçus. Qui, mieux qu'une société d’histoire, peut conserver ces photographies qui se dissipent trop souvent lors de décès?             De par notre constitution, la SHLM s'est donné comme mandat de DIFFUSER la richesse de ses archives. Pour ce faire, celles-ci doivent être accessibles et il faut surtout que l'on sache qu’elles existent. Ce rôle. La SHLM ne le perd jamais de vue. Aussi, depuis 1990, l'informatique nous est apparu un moyen efficace de diffusion.             Les documents suivants ont été lus et inventoriés. Us nous Livrent une banque de noms, d'actes et la situation géographique d'habitation de nos ancêtres à travers toute la Seigneurie de La Prairie. Le Fonds des Jésuites presqu'en entier Inventaire cartographique et photographique Cartographie informatisée des lots et des habitants de la Seigneurie La Prairie depuis les origines d’après un plan de Jos Riel en 1861 Plan Gipoulou 1788 Cadastre abrégé 1836-1840 Plans superposés du Village de La Prairie, depuis 1978, remontant aux origines, dont le Fort en 1705, d’un plan de Gédéon de Catalogne Baptêmes et Sépultures, paroisse de la Nativité, l670-1990 Une partie des recensements.               L’informatisation de nos archives marquait le premier pas vers l'entrée sur l'autoroute informatique. L’étape suivante constitue la création d'un logiciel: ARCHILOG. Ce fut une première au Québec.             Pour comprendre l’organisation des Archives, pour s'y retrouver. ARCHI-LOG devient un outil informatique de gestion et de description des documents d'archives. Afin d'asseoir le logiciel ARCHI-LOG sur des bases solides, non-contestables, la SHLM a pris modèle sur certains éléments fondamentaux des Archives nationales du Québec. Notre logiciel est rigoureusement conforme aux normes internationales des règles de descriptions des documents d’archives (RDDA): fonctions diverses, index, vocabulaire contrôlé et universel, etc. Un guide d'utilisation en facilite l’usage. A date, 5 centres d'archives en ont fait l'acquisition.             Pour élargir le rayonnement de la SHLM, d’autres projets sont en cours. Durant l’hiver 1977, nous oeuvrons à la réalisation d'outils de connaissance et de diffusion sur l’arrondissement historique. L’appui financier nous est fourni par le Ministère de la Culture, bureau régional de Saint-Jean-sur-Richelieu. Bénévoles et personnel rémunéré travaillent de concert pour réaliser une brochure et un site WEB.             Cette brochure se veut un instrument d’information et une invitation lancée à tous les résidents de La Prairie pour une visite de l’arrondissement historique. La brochure sera distribuée par la poste, moyen jugé efficace pour rejoindre tout le monde.             Dans le but d'atteindre un public plus élargi, dans un deuxième volet du projet, la SHLM lancera son site Web dans un avenir prochain.             Notre entrée sur l’autoroute informatique, INTERNET sera devenu réalité. Voilà donc un autre sujet de fierté pour tous les membres de la SHLM !             Que de chemin parcouru en 25 ans !...

    Desrosiers dit Du Tremble

    Desrosiers dit Du Tremble

    Claire Desrosiers

    Jérôme Leroux

    Saint-Alphonse-d’Youville de Montréal

    30 août 1952

    Émile Leroux

    Béatrice Leduc

    Emmanuel Desrosiers

    Jeannette Brosseau

    Sacré-Cœur de Montréal

    Octobre 1927

    Isidore Brosseau

    Ernestine Racine

    Arthur Desrosiers

    Pacifique de Montigny

    Montréal

    30 octobre 1895

    François de Montigny

    Claire Marotte dit Labonté

    Élie Desrosiers

    Praxède Caron

    Matane

    14 juin 1860

    Caron

    Joseph Desrosiers dit Du Tremble

    Maxellande Lepage de Molais

    Saint-Germain de Rimouski

    16 janvier 1816

    Charles Lepage de Molais

    Marie-Anne Hion

    Louis-Gabriel Desrosiers dit Du Tremble

    Geneviève Lepage de Molais

    Baie Saint-Paul

    27 avril 1775

    Antoine Lepage de Molais

    Marie Côté

    Louis Desrosiers dit Du Tremble

    Marie-Judith Guyon dit Després

    Saint-Germain de Rimouski

    1754

    Guy-Joseph Guyon dis Després

    Marie-Geneviève Gagné

    Michel Desrosiers dit Du Tremble

    Marie-Jeanne Moreau

    Saint-Germain de Rimouski

    29 mai 1716

    Jean-Baptiste Moreau

    Marie-Anne Rodrigue

    Jean Desrosiers dit Du Tremble

    Françoise Dandonneau dit Dandons

    Notre-Dame-de-la-Visitation de Champlain

    20 janvier 1682

    Pierre Dandonneau dit Dansons

    Françoise Jobin

    Antoine Desrosiers

    Anne Le Neuf du Hérisson

    Immaculée-Conception des Trois-Rivières

    24 novembre 1647

    Michel Le Neuf du Hérrison

    Deux origines sont possibles, selon Ferland il est de Renaison, arrondissement de Roanne, Forez (Loire) France.

    ou de Vernaison (selon Sulte) arrondissement et archevêché de Lyon, Lyonnais (Rhône) France

     

    Desrosiers dit Du Tremble Claire Desrosiers Jérôme Leroux Saint-Alphonse-d’Youville de Montréal 30 août 1952 Émile Leroux Béatrice Leduc Emmanuel Desrosiers Jeannette Brosseau Sacré-Cœur de Montréal Octobre 1927 Isidore Brosseau Ernestine Racine Arthur Desrosiers Pacifique de Montigny Montréal 30 octobre 1895 François de Montigny Claire Marotte dit Labonté Élie Desrosiers Praxède Caron Matane 14 juin 1860 Caron Joseph Desrosiers dit Du Tremble Maxellande Lepage de Molais Saint-Germain de Rimouski 16 janvier 1816 Charles Lepage de Molais Marie-Anne Hion Louis-Gabriel Desrosiers dit Du Tremble Geneviève Lepage de Molais Baie Saint-Paul 27 avril 1775 Antoine Lepage de Molais Marie Côté Louis Desrosiers dit Du Tremble Marie-Judith Guyon dit Després Saint-Germain de Rimouski 1754 Guy-Joseph Guyon dis Després Marie-Geneviève Gagné Michel Desrosiers dit Du Tremble Marie-Jeanne Moreau Saint-Germain de Rimouski 29 mai 1716 Jean-Baptiste Moreau Marie-Anne Rodrigue Jean Desrosiers dit Du Tremble Françoise Dandonneau dit Dandons Notre-Dame-de-la-Visitation de Champlain 20 janvier 1682 Pierre Dandonneau dit Dansons Françoise Jobin Antoine Desrosiers Anne Le Neuf du Hérisson Immaculée-Conception des Trois-Rivières 24 novembre 1647 Michel Le Neuf du Hérrison Deux origines sont possibles, selon Ferland il est de Renaison, arrondissement de Roanne, Forez (Loire) France. ou de Vernaison (selon Sulte) arrondissement et archevêché de Lyon, Lyonnais (Rhône) France   ...

    L’histoire de la SHLM (suite de janvier 1997)

                Au local de la SHLM de multiples activités sont en marche, et les membres qui y travaillent développent des projets qui rencontrent leurs goûts. Aujourd'hui, nous décrirons plus particulièrement le secteur des ARCHIVES.

                Parlons d’abord des ARCHIVES ÉCRITES. Les Biens des Jésuites, 1647-1798, constituent la pièce maîtresse de toutes nos sources sur l’histoire de la Seigneurie de La Prairie. Patiemment et minutieusement, certains de nos membres en ont fait la lecture des photocopies et microfilms. Ils se sont initiés à la paléographie, déchiffrage d'une écriture et d'un vocabulaire datant de deux ou trois siècles. Comme résultat, nous avons des renseignements de première main sur les actes de concessions des terres: situation, superficie, noms des colons, etc. Le Fonds des Jésuites totalise 20,000 documents.

     

                Le Fonds Élisée Choquet apporte une suite et un complément aux Biens administratifs des Jésuites : histoire sociale, généalogique, politique, économique, culturelle etc. jusqu’au milieu du XXe siècle. Le Fonds La Prairie, d’hier à aujourd’hui est un instrument de connaissances qui se veut l’histoire telle que vécue plus près de nous. Nous continuons systématiquement la collecte d’articles de journaux et autres qui marquent la généalogie et l’histoire de La Prairie d’aujourd’hui et de la région. S’ajoutent à cette documentation les Fonds privés donnés à la SHLM; celle-ci apparaissant l’organisme tout désigné pour assumer la garde de ces histoires de famille ou d’institutions.

     

                Les archives généalogiques méritent une place particulière à la SHLM. Pendant plus de 6 années, 12 membres-bénévoles et 35 employés ont travaillé à ces recherches. En effet, il est fréquent que le motif de la première rencontre avec nos visiteurs s’avère être une recherche de leurs ancêtres. Les renseignements généalogiques se trouvent dans tous nos Fonds d’Archives, cependant, nous en avons rassemblé un grand nombre dans des dossiers spécifiques, de manière à faciliter la recherche. Un travail d’importance a été effectué également dans les microfilms et les registres et la paroisse de la Nativité de La Prairie; différents centres d’archives ont été consultés pour colliger toutes les informations sur les Baptêmes et Sépultures de la Seigneurie de La Prairie, 1660-1990. Cette documentation informatisée de 50,000 noms fera l’objet d’une publication en 1997.

                Au local de la SHLM de multiples activités sont en marche, et les membres qui y travaillent développent des projets qui rencontrent leurs goûts. Aujourd'hui, nous décrirons plus particulièrement le secteur des ARCHIVES.             Parlons d’abord des ARCHIVES ÉCRITES. Les Biens des Jésuites, 1647-1798, constituent la pièce maîtresse de toutes nos sources sur l’histoire de la Seigneurie de La Prairie. Patiemment et minutieusement, certains de nos membres en ont fait la lecture des photocopies et microfilms. Ils se sont initiés à la paléographie, déchiffrage d'une écriture et d'un vocabulaire datant de deux ou trois siècles. Comme résultat, nous avons des renseignements de première main sur les actes de concessions des terres: situation, superficie, noms des colons, etc. Le Fonds des Jésuites totalise 20,000 documents.               Le Fonds Élisée Choquet apporte une suite et un complément aux Biens administratifs des Jésuites : histoire sociale, généalogique, politique, économique, culturelle etc. jusqu’au milieu du XXe siècle. Le Fonds La Prairie, d’hier à aujourd’hui est un instrument de connaissances qui se veut l’histoire telle que vécue plus près de nous. Nous continuons systématiquement la collecte d’articles de journaux et autres qui marquent la généalogie et l’histoire de La Prairie d’aujourd’hui et de la région. S’ajoutent à cette documentation les Fonds privés donnés à la SHLM; celle-ci apparaissant l’organisme tout désigné pour assumer la garde de ces histoires de famille ou d’institutions.               Les archives généalogiques méritent une place particulière à la SHLM. Pendant plus de 6 années, 12 membres-bénévoles et 35 employés ont travaillé à ces recherches. En effet, il est fréquent que le motif de la première rencontre avec nos visiteurs s’avère être une recherche de leurs ancêtres. Les renseignements généalogiques se trouvent dans tous nos Fonds d’Archives, cependant, nous en avons rassemblé un grand nombre dans des dossiers spécifiques, de manière à faciliter la recherche. Un travail d’importance a été effectué également dans les microfilms et les registres et la paroisse de la Nativité de La Prairie; différents centres d’archives ont été consultés pour colliger toutes les informations sur les Baptêmes et Sépultures de la Seigneurie de La Prairie, 1660-1990. Cette documentation informatisée de 50,000 noms fera l’objet d’une publication en 1997....