Sélection d'une édition

    Généalogie de Réjean Girard

    Girard

    Réjean Girard

    Thérèse Nadeau

    Maple Grove, cté de Beauharnois

    18 septembre 1965

    Joseph Nadeau

    Hélène Lamontagne

    Édouard Girard

    Yvonne Alie

    Sainte-Valérie, Trois-Rivières

    06 juin 1922

    Azilda Alie

    Salomée Dionne

    Joseph Girard

    Philomène Garceau

    Pointe-du-Lac, Trois-Rivières

    12 février 1884

    Edphrem Garceau

    Justine Lesieur-Desaulnier

    Pail Girard

    Marie-Dina Girard

    Saint-Grégoire de Nicolet

    30 juillet 1850

    Isidore Prince

    Julie Gagnon

    Michel Girard

    Marie Biron

    Pointe-du-Lac, Trois-Rivières

    22 juin 1801

    Biron

    Modeste Girard

    Marguerite Bellisle dit Lefebvre

    Trois-Rivières

    20 novembre 1769

    Antoine Bellisle dit Lefebvre

    Marie-Josephte Beaudoin

    Joseph Girard

    Marie-Anne Vanasse dit Précourt

    Trois-Rivières

    25 février 1732

    François Vanasse dit Précourt

    Marie-Josephte Le Jetty

    François Girard

    Antoinette Lemay

    Sainte-Croix de Lotbinière

    Mariés vers 1709

    Michel Lemay

    Michelle Oinville

    Pierre Girard

    Suzanne de La Voye

    Notaire Rabusson de La Rochelle

    Contrat passé le 27 mars 1669

    Suzanne était veuve de Jean Tesson décédé sans postérité

    Étienne Girard (laboureur)

    Marguerite Giboulleau

    Pierre est de la ville et arrondissement de Les Sables-D’olonne évêché de Luçon, Poitou, (Vendée) France

     

    Girard Réjean Girard Thérèse Nadeau Maple Grove, cté de Beauharnois 18 septembre 1965 Joseph Nadeau Hélène Lamontagne Édouard Girard Yvonne Alie Sainte-Valérie, Trois-Rivières 06 juin 1922 Azilda Alie Salomée Dionne Joseph Girard Philomène Garceau Pointe-du-Lac, Trois-Rivières 12 février 1884 Edphrem Garceau Justine Lesieur-Desaulnier Pail Girard Marie-Dina Girard Saint-Grégoire de Nicolet 30 juillet 1850 Isidore Prince Julie Gagnon Michel Girard Marie Biron Pointe-du-Lac, Trois-Rivières 22 juin 1801 Biron Modeste Girard Marguerite Bellisle dit Lefebvre Trois-Rivières 20 novembre 1769 Antoine Bellisle dit Lefebvre Marie-Josephte Beaudoin Joseph Girard Marie-Anne Vanasse dit Précourt Trois-Rivières 25 février 1732 François Vanasse dit Précourt Marie-Josephte Le Jetty François Girard Antoinette Lemay Sainte-Croix de Lotbinière Mariés vers 1709 Michel Lemay Michelle Oinville Pierre Girard Suzanne de La Voye Notaire Rabusson de La Rochelle Contrat passé le 27 mars 1669 Suzanne était veuve de Jean Tesson décédé sans postérité Étienne Girard (laboureur) Marguerite Giboulleau Pierre est de la ville et arrondissement de Les Sables-D’olonne évêché de Luçon, Poitou, (Vendée) France   ...

    L’occupation du sol à La Prairie

                Au début du XIXe siècle, le Village étouffe dans ses limites. La Prairie exerce un attrait économique d’importance et nombreux sont ceux qui veulent s’y établi. Lieu de transit vers New York, qui est port de mer ouvert 12 mois par année, situé face à la métropole financière du Bas-Canada, La Prairie offre une voie privilégiée vers le nouveau pays que sont devenus les États-Unis d’Amérique. Après le transport sur terre jusqu’à Saint-Jean, les marchandises sont expédiées ou reçues par voies d’eau : rivière Richelieu, lac Champlain, rivière Hudson, New York.

                Peu de temps après la Conquête de 1760, de nombreux hommes d’affaires anglophones choisissent le Village de La Prairie pour y résider. Bien pourvus financièrement, ils investissent dans les commerces et autres services dont les auberges. Un service de bateau-vapeur assure une navette quotidienne Montréal-La Prairie depuis la première décennie du XIXe s. John Molson, propriétaire des traversiers, rêve déjà de relier La Prairie à Saint-Jean-sur-Richelieu par train. Ce sera réalité en 1836!

                Agrandir le Village ne s’avère pas des plus facile. Il faut empiéter sur la Commune, propriété conjointe des jésuites-seigneurs et des colons-censitaires. À deux occasions déjà, depuis l’établissement de la Seigneurie en 1667, le Village avait été agrandi à même la Commune. En 1697, les jésuites en avaient décidé ainsi avec l’accord des 120 censitaires d’alors.

                Cependant, au début du XIXe siècle la situation est toute différente. Un observateur qui visite le Village peu après après la Conquête signale que celui-ci se classe parmi les 6 plus importants du gouvernement de Montréal. Il remarque sa forme «d’habitats groupés», avec ses «noyaux denses» de maisons.

                À La Prairie est donc établi un assez gros village en 1760, et cela s’explique puisque la Seigneurie a été l’objet d’une colonisation intensive tout au long du régime français. La situation géographique et la proximité de Montréal ont certainement exercé un attrait important auprès des nouveaux colons. On ouvre deux paroisses pour desservir cette population majoritairement rurale : Saint-Constant en 1752 et Saint-Philippe en 1753. Le Village ou Bourg offre les services requis par cette population grandissante.

                À suivre dans le prochain numéro …

                Au début du XIXe siècle, le Village étouffe dans ses limites. La Prairie exerce un attrait économique d’importance et nombreux sont ceux qui veulent s’y établi. Lieu de transit vers New York, qui est port de mer ouvert 12 mois par année, situé face à la métropole financière du Bas-Canada, La Prairie offre une voie privilégiée vers le nouveau pays que sont devenus les États-Unis d’Amérique. Après le transport sur terre jusqu’à Saint-Jean, les marchandises sont expédiées ou reçues par voies d’eau : rivière Richelieu, lac Champlain, rivière Hudson, New York.             Peu de temps après la Conquête de 1760, de nombreux hommes d’affaires anglophones choisissent le Village de La Prairie pour y résider. Bien pourvus financièrement, ils investissent dans les commerces et autres services dont les auberges. Un service de bateau-vapeur assure une navette quotidienne Montréal-La Prairie depuis la première décennie du XIXe s. John Molson, propriétaire des traversiers, rêve déjà de relier La Prairie à Saint-Jean-sur-Richelieu par train. Ce sera réalité en 1836!             Agrandir le Village ne s’avère pas des plus facile. Il faut empiéter sur la Commune, propriété conjointe des jésuites-seigneurs et des colons-censitaires. À deux occasions déjà, depuis l’établissement de la Seigneurie en 1667, le Village avait été agrandi à même la Commune. En 1697, les jésuites en avaient décidé ainsi avec l’accord des 120 censitaires d’alors.             Cependant, au début du XIXe siècle la situation est toute différente. Un observateur qui visite le Village peu après après la Conquête signale que celui-ci se classe parmi les 6 plus importants du gouvernement de Montréal. Il remarque sa forme «d’habitats groupés», avec ses «noyaux denses» de maisons.             À La Prairie est donc établi un assez gros village en 1760, et cela s’explique puisque la Seigneurie a été l’objet d’une colonisation intensive tout au long du régime français. La situation géographique et la proximité de Montréal ont certainement exercé un attrait important auprès des nouveaux colons. On ouvre deux paroisses pour desservir cette population majoritairement rurale : Saint-Constant en 1752 et Saint-Philippe en 1753. Le Village ou Bourg offre les services requis par cette population grandissante.             À suivre dans le prochain numéro …...

    Nouvelles

    La SHLM bientôt sur internet

    Avis à nos membres internautes! D’ici peu le monde entier aura accès à notre site web.

    • Services offerts
    • Album photo
    • Généalogie, archives, etc.
       

    Notre souper annuel

    Une invitation pour vous et tous vos amis. Une date à réserver : Samedi le 10 mai 1997.

    La SHLM bientôt sur internet Avis à nos membres internautes! D’ici peu le monde entier aura accès à notre site web. Services offerts Album photo Généalogie, archives, etc.   Notre souper annuel Une invitation pour vous et tous vos amis. Une date à réserver : Samedi le 10 mai 1997....

    La révolte des Patriotes

    Une conférence de Marcel Tessier, historien et chroniqueur au journal de Montréal et à l’émission télévisée Salut Bonjour!

    La conférence aura lieu à l’école Saint-François-Xavier, 500 blvd Taschereau à La Prairie.

    Vendredi le 21 mars à 19h30

    Coût : 3$

    Billets réservés au 444-1391 ou disponibles à l’entrée.

    Une conférence de Marcel Tessier, historien et chroniqueur au journal de Montréal et à l’émission télévisée Salut Bonjour! La conférence aura lieu à l’école Saint-François-Xavier, 500 blvd Taschereau à La Prairie. Vendredi le 21 mars à 19h30 Coût : 3$ Billets réservés au 444-1391 ou disponibles à l’entrée....

    Le Canadien ou l’Habitant en Nouvelle-France

    Avant 1760, 30 000 Français sont venus en Nouvelle-France dont 10 000 ont fait souche et sont devenus les ancêtres des Canadiens-français.

    Déjà vers 1680 nos ancêtres se disent Canadiens et plusieurs les désignent sous le nom d’Habitants. Cent ans plus tard, vers 1780, des anglophones réclament également de porter le nom de Canadiens. Après 1840, on s’appellera Canadiens-français jusque vers 1960 où nous commencerons à nous présenter comme des Québécois.

    Voici, selon les voyageurs de l’époque, quels étaient les principaux traits de caractère de l’Habitant. Les reconnaissez-vous encore aujourd’hui ?

    • Arrogant et rebelle à l’autorité, il aime braver la loi
    • Doté d’une grande résistance physique, robuste et vigoureux
    • Aime boire un coup et adore fêter et danser
    • A l’esprit de liberté et d’égalité sociale
    • Hospitalier et accueillant envers les étrangers
    • Parfois grivois, légèrement anticlérical
    • Déteste la guerre
    • Mauvais sujet et mauvais maître selon le Père Charlevoix
    • Les femmes sont belles, paresseuses et aiment le luxe
    • Les femmes ont des qualités d’administratrices et s’illustrent en affaires
    Avant 1760, 30 000 Français sont venus en Nouvelle-France dont 10 000 ont fait souche et sont devenus les ancêtres des Canadiens-français. Déjà vers 1680 nos ancêtres se disent Canadiens et plusieurs les désignent sous le nom d’Habitants. Cent ans plus tard, vers 1780, des anglophones réclament également de porter le nom de Canadiens. Après 1840, on s’appellera Canadiens-français jusque vers 1960 où nous commencerons à nous présenter comme des Québécois. Voici, selon les voyageurs de l’époque, quels étaient les principaux traits de caractère de l’Habitant. Les reconnaissez-vous encore aujourd’hui ? Arrogant et rebelle à l’autorité, il aime braver la loi Doté d’une grande résistance physique, robuste et vigoureux Aime boire un coup et adore fêter et danser A l’esprit de liberté et d’égalité sociale Hospitalier et accueillant envers les étrangers Parfois grivois, légèrement anticlérical Déteste la guerre Mauvais sujet et mauvais maître selon le Père Charlevoix Les femmes sont belles, paresseuses et aiment le luxe Les femmes ont des qualités d’administratrices et s’illustrent en affaires ...

    Généalogie de la famille Bourdages

    Raymond Bourdages es1 l'ancêtre désigné des Bourdages et Bordage d'Amérique. Né vraisemblablement en 1728 dans la région de Saint-Jean d'Angoulême en Charente-Maritime, il est le fils de Pierre Bourdages et de Marie-Anne Chevalier mariés en Acadie en 1721. En 1756 Raymond épouse en Acadie Esther LeBlanc, fille du notaire René LeBlanc et de Élisabeth Melançon de Grand-Pré.

    Raymond Bourdages vit en Acadie, à la rivière Saint-Jean, à titre de maître-chirurgien de la garnison du lieutenant Charles de Boishébert. Lors de la déportation, notre ancêtre reçoit l'ordre de ses supérieurs de se rendre à Québec où il habite jusqu'en 1755. En 1760, il effectue un voyage en France, probablement dans le but de régler une succession ou de recevoir sa pan d'héritage de ses parents. On ignore à quel moment il est de retour, mais on sait qu'en 1772 il accompagne à Bonaventure et à Carleton le Père de la Brosse, missionnaire du golfe Saint-Laurent.

    C'est vers cette époque qu'il quitte Lorette et s'installe à Bonaventure (village fondé par des Acadiens ayant dû fuir l'Acadie au moment de la déportation) avec sa famille. Il y fut le premier marchand de l'endroit et y posséda des moulins à farine et à scie. Lors de son décès en 1787, survenu prématurément à l'âge de 59 ans, il y était le propriétaire de vastes domaines

    En 1776, des corsaires américains en état de guerre vinrent à Bonaventure, firent prisonnier Raymond, incendièrent sa maison, son magasin, ses dépendances et les alentours. Le 22 mars 1779, seize Micmacs allèrent piller son établissement à Caraquet, enlevant pour 12 000 livres de marchandises, alléguant aussi le fait de guerre. Bien plus, trois concessionnaires anglais, les sieurs Holland, Collins et Finlay obtinrent de grandes étendues de terrain en Gaspésie, y compris les terres de Raymond Bourdages.

    Raymond Bourdages eut onze enfants dont un fils, Louis, qui siéga à l'Assemblée législative à plusieurs reprises. Pendant plus de deux décennies, il y défendit avec vigueur les intérêts des Canadiens. Établi à Saint-Denis-sur-Richelieu en 1790 où il exerça la profession de notaire jusqu'à sa mort, Louis eut un fils, David, qui prit une part active à la rébellion des Patriotes de 1837.

    Quoique peu nombreux, les descendants de Raymond Bourdages se retrouvent aujourd'hui principalement en Acadie, en Gaspésie et dans les régions de Québec et de Montréal, où partout ils affichent fièrement leur ascendance acadienne.

    Gaétan Bourdages est né à Chandler (Baie des Chaleurs) le 23 décembre 1946. Il enseigne les sciences humaines au niveau secondaire depuis 1968. Membre de la société depuis 20 ans, il exerça de nombreux rôles dont celui de président. Il a collaboré à de nombreuses publications de la Société historique et continue de s'intéresser de près à la recherche et à la diffusion des connaissances en histoire.

    Raymond Bourdages es1 l'ancêtre désigné des Bourdages et Bordage d'Amérique. Né vraisemblablement en 1728 dans la région de Saint-Jean d'Angoulême en Charente-Maritime, il est le fils de Pierre Bourdages et de Marie-Anne Chevalier mariés en Acadie en 1721. En 1756 Raymond épouse en Acadie Esther LeBlanc, fille du notaire René LeBlanc et de Élisabeth Melançon de Grand-Pré. Raymond Bourdages vit en Acadie, à la rivière Saint-Jean, à titre de maître-chirurgien de la garnison du lieutenant Charles de Boishébert. Lors de la déportation, notre ancêtre reçoit l'ordre de ses supérieurs de se rendre à Québec où il habite jusqu'en 1755. En 1760, il effectue un voyage en France, probablement dans le but de régler une succession ou de recevoir sa pan d'héritage de ses parents. On ignore à quel moment il est de retour, mais on sait qu'en 1772 il accompagne à Bonaventure et à Carleton le Père de la Brosse, missionnaire du golfe Saint-Laurent. C'est vers cette époque qu'il quitte Lorette et s'installe à Bonaventure (village fondé par des Acadiens ayant dû fuir l'Acadie au moment de la déportation) avec sa famille. Il y fut le premier marchand de l'endroit et y posséda des moulins à farine et à scie. Lors de son décès en 1787, survenu prématurément à l'âge de 59 ans, il y était le propriétaire de vastes domaines En 1776, des corsaires américains en état de guerre vinrent à Bonaventure, firent prisonnier Raymond, incendièrent sa maison, son magasin, ses dépendances et les alentours. Le 22 mars 1779, seize Micmacs allèrent piller son établissement à Caraquet, enlevant pour 12 000 livres de marchandises, alléguant aussi le fait de guerre. Bien plus, trois concessionnaires anglais, les sieurs Holland, Collins et Finlay obtinrent de grandes étendues de terrain en Gaspésie, y compris les terres de Raymond Bourdages. Raymond Bourdages eut onze enfants dont un fils, Louis, qui siéga à l'Assemblée législative à plusieurs reprises. Pendant plus de deux décennies, il y défendit avec vigueur les intérêts des Canadiens. Établi à Saint-Denis-sur-Richelieu en 1790 où il exerça la profession de notaire jusqu'à sa mort, Louis eut un fils, David, qui prit une part active à la rébellion des Patriotes de 1837. Quoique peu nombreux, les descendants de Raymond Bourdages se retrouvent aujourd'hui principalement en Acadie, en Gaspésie et dans les régions de Québec et de Montréal, où partout ils affichent fièrement leur ascendance acadienne. Gaétan Bourdages est né à Chandler (Baie des Chaleurs) le 23 décembre 1946. Il enseigne les sciences humaines au niveau secondaire depuis 1968. Membre de la société depuis 20 ans, il exerça de nombreux rôles dont celui de président. Il a collaboré à de nombreuses publications de la Société historique et continue de s'intéresser de près à la recherche et à la diffusion des connaissances en histoire....

    SHLM – 25e anniversaire (suite 2)

    20. Inventaire des Actes notariés du village de La Prairie, 1670- 1860. SHLM, direction Michel Aubin, 1975, 350 pages

    Ce volume contient des renseignements de première main sur l'occupation successive des lots dans le Vieux-La Prairie et nous permet d'approfondir nos connaissances concernant l'archéologie, la généalogie et l'histoire de notre patrimoine.

    Bulletin officiel de la SHLM

    21. Le Bastion, 8 numéros, trimestriel, 18 pages, collectif, 1982-1983. Sujets historiques, inédits et variés.

    Depuis quelques années, un bulletin de 8 pages, publié 10 fois l'an "Au jour le jour" se veut un lien entre les membres de la SHLM. On y traite de généalogie, d'évènements, d'activités économiques ou culturelles et de personnages ayant marqué l'histoire de La Prairie. Le Fonds E. Choquet et certains fonds privés en constituent les principales sources de renseignements. Ce bulletin est expédié par la poste à tous nos membres.
     

    Le 249 rue Ste-Marie, accueil et activités.

    Des expositions thématiques annuelles sont présentées dans l'espace réservé au musée. L'objectif se veut un complément visuel à toutes les autres activités. Le choix des thèmes est toujours orienté vers un aspect particulier de l'histoire de La Prairie. Le temps fort des visites se situe de juin à septembre.

    Pour le grand public, des conférences sont offertes à notre local, au rythme de 7 fois l'an.

    Le local est ouvert aux visiteurs et chercheurs tous les jours de la semaine. L'accueil est assuré par des bénévoles qui les reçoivent et leur fournissent les renseignements demandés; nos archives et diverses publications répondent habituellement à leurs attentes. De plus, le local est ouvert tous les mardis soirs de l'année de l9h.30 à 22h., pour les chercheurs en généalogie. Certains membres compétents en cette discipline servent d'aides et de guides.
     

    A voir absolument

    Notre société s'est enrichie d'une maquette intéressante de 7' x 8', reconstituant, aussi fidèlement que possible le Vieux La Prairie des années 1700. On y retrouve l'emplacement du Fort, de pieux ainsi que la localisation des bâtiments du temps. Nous remercions monsieur Serge Beaulieu pour cette belle réalisation qui a nécessité beaucoup de recherches et de patience.

    20. Inventaire des Actes notariés du village de La Prairie, 1670- 1860. SHLM, direction Michel Aubin, 1975, 350 pages Ce volume contient des renseignements de première main sur l'occupation successive des lots dans le Vieux-La Prairie et nous permet d'approfondir nos connaissances concernant l'archéologie, la généalogie et l'histoire de notre patrimoine. Bulletin officiel de la SHLM 21. Le Bastion, 8 numéros, trimestriel, 18 pages, collectif, 1982-1983. Sujets historiques, inédits et variés. Depuis quelques années, un bulletin de 8 pages, publié 10 fois l'an "Au jour le jour" se veut un lien entre les membres de la SHLM. On y traite de généalogie, d'évènements, d'activités économiques ou culturelles et de personnages ayant marqué l'histoire de La Prairie. Le Fonds E. Choquet et certains fonds privés en constituent les principales sources de renseignements. Ce bulletin est expédié par la poste à tous nos membres.   Le 249 rue Ste-Marie, accueil et activités. Des expositions thématiques annuelles sont présentées dans l'espace réservé au musée. L'objectif se veut un complément visuel à toutes les autres activités. Le choix des thèmes est toujours orienté vers un aspect particulier de l'histoire de La Prairie. Le temps fort des visites se situe de juin à septembre. Pour le grand public, des conférences sont offertes à notre local, au rythme de 7 fois l'an. Le local est ouvert aux visiteurs et chercheurs tous les jours de la semaine. L'accueil est assuré par des bénévoles qui les reçoivent et leur fournissent les renseignements demandés; nos archives et diverses publications répondent habituellement à leurs attentes. De plus, le local est ouvert tous les mardis soirs de l'année de l9h.30 à 22h., pour les chercheurs en généalogie. Certains membres compétents en cette discipline servent d'aides et de guides.   A voir absolument Notre société s'est enrichie d'une maquette intéressante de 7' x 8', reconstituant, aussi fidèlement que possible le Vieux La Prairie des années 1700. On y retrouve l'emplacement du Fort, de pieux ainsi que la localisation des bâtiments du temps. Nous remercions monsieur Serge Beaulieu pour cette belle réalisation qui a nécessité beaucoup de recherches et de patience....

    SHLM – 25e anniversaire (suite)

    7. Parcours historique, 28 pages, 1982

    8. Parcours historique, remanié, 20 pages, 1991

    9. La Prairie, d 'hier à aujourd’hui, cahier d'activités, 48 pages, 1992

    10. Rallye historique, 16 pages, 1992.

    11. L’arrondissement historique de La Prairie, Jules Romme, 28 pages, 1995.

    Dans une catégorie différente, la SHLM a créé, conjointement avec la Commission scolaire du Goéland, un manuel scolaire qui a reçu l'approbation du Ministère de l'Éducation. Cette histoire de La Prairie, avec textes et photos s'adresse aux jeunes élèves de 3e année du cours élémentaire.

    12. La Prairie, d'hier à aujourd'hui, manuel-élève, 1993. S'y ajoute, pour chaque classe un album de photos et des textes.

    Ces recherches et publications ont toutes été réalisées grâce à des membres-bénévoles qui en ont eu l'initiative et ont travaillé de concert avec des employés rémunérés par le biais de subventions gouvernementales, et la participation constante du Ministère de la Culture.

    Pour les projets suivants, la SHLM a pu compter sur les mêmes appuis financiers. Ces publications s'adressent à un plus large public. Nos ARCHIVES en ont fourni la documentation.

    13. Fonds Elisée Choquet répertoire numérique, collectif, 129 pages, 1980

    14. La Seigneurie de La Prairie de la Magdeleine. 1860-1870, Liste des habitants. collectif, 50 pages, 1985

    15. Inventaire paléographié des lots de la Seigneurie de La Prairie, d'après le Fonds administratif des Jésuites, 1670-1775. Réal Robert, 1984-1985, environ 2000 pages

    16. Relevé analytique et cartographique des emplacements du village de La Prairie, 1670-1840; Sources principales : les biens administratifs des Jésuites, actes notariés de La Prairie, Marcel Lamarche, 1993-96, environ 2000 pages

    Dessins et Plans informatisés

    17. Dessin de la Seigneurie de La Prairie, selon la carte de Jos Riel en 1861, Jean-Michel Rouan, 1984

    18. Carte informatisée du dessin ci-haut mentionné, Stéphane Desrochers, 1996

    19. Dessins informatisés, La Seigneurie de La Prairie par CÔTES, (14 plans), Stéphane Desrochers, 1996

    7. Parcours historique, 28 pages, 1982 8. Parcours historique, remanié, 20 pages, 1991 9. La Prairie, d 'hier à aujourd’hui, cahier d'activités, 48 pages, 1992 10. Rallye historique, 16 pages, 1992. 11. L’arrondissement historique de La Prairie, Jules Romme, 28 pages, 1995. Dans une catégorie différente, la SHLM a créé, conjointement avec la Commission scolaire du Goéland, un manuel scolaire qui a reçu l'approbation du Ministère de l'Éducation. Cette histoire de La Prairie, avec textes et photos s'adresse aux jeunes élèves de 3e année du cours élémentaire. 12. La Prairie, d'hier à aujourd'hui, manuel-élève, 1993. S'y ajoute, pour chaque classe un album de photos et des textes. Ces recherches et publications ont toutes été réalisées grâce à des membres-bénévoles qui en ont eu l'initiative et ont travaillé de concert avec des employés rémunérés par le biais de subventions gouvernementales, et la participation constante du Ministère de la Culture. Pour les projets suivants, la SHLM a pu compter sur les mêmes appuis financiers. Ces publications s'adressent à un plus large public. Nos ARCHIVES en ont fourni la documentation. 13. Fonds Elisée Choquet répertoire numérique, collectif, 129 pages, 1980 14. La Seigneurie de La Prairie de la Magdeleine. 1860-1870, Liste des habitants. collectif, 50 pages, 1985 15. Inventaire paléographié des lots de la Seigneurie de La Prairie, d'après le Fonds administratif des Jésuites, 1670-1775. Réal Robert, 1984-1985, environ 2000 pages 16. Relevé analytique et cartographique des emplacements du village de La Prairie, 1670-1840; Sources principales : les biens administratifs des Jésuites, actes notariés de La Prairie, Marcel Lamarche, 1993-96, environ 2000 pages Dessins et Plans informatisés 17. Dessin de la Seigneurie de La Prairie, selon la carte de Jos Riel en 1861, Jean-Michel Rouan, 1984 18. Carte informatisée du dessin ci-haut mentionné, Stéphane Desrochers, 1996 19. Dessins informatisés, La Seigneurie de La Prairie par CÔTES, (14 plans), Stéphane Desrochers, 1996...

    Dons

    De Gaston Roy, F.I.C.

    La propriété des Frères de l’instruction chrétienne à La Prairie.
     

    De Jean LaProtte, F.I.C.

    Les frères de l’Instruction Chrétienne en Amérique du Nord.
     

    De Robert Gagné

    Répertoire des actes notariés des familles Gagné et Bell.

    De Gaston Roy, F.I.C. La propriété des Frères de l’instruction chrétienne à La Prairie.   De Jean LaProtte, F.I.C. Les frères de l’Instruction Chrétienne en Amérique du Nord.   De Robert Gagné Répertoire des actes notariés des familles Gagné et Bell....

    Conférence: Le potentiel historique du Vieux-La Prairie

    Notre prochaine conférence mercredi le 19 mars à 20h

    Pierre Bibeau, archéologue et le potentiel historique du Vieux-La Prairie

    Notre prochaine conférence mercredi le 19 mars à 20h Pierre Bibeau, archéologue et le potentiel historique du Vieux-La Prairie...