
- Au jour le jour, juin 2023
Choeur Classique de La Prairie
Le Choeur Classique de La Prairie a offert à la Société d’histoire de La Prairie-de-la-Magdeleine deux billets pour le concert du 16 juin à l’église de La Nativité.
Madame Sylvie Calvé, membre de la SHLM, a été l’heureuse gagnante.
Le tirage a été effectué le 25 mai 2023 parmi tous les membres de la SHLM lors de la réunion du Conseil d’administration.
Merci au Chœur Classique de La Prairie!

- Au jour le jour, juin 2023
Exposition estivale
Cet été, la SHLM vous propose une exposition gratuite sur la crise du verglas de janvier 1998 préparée par le Musée du Haut-Richelieu.
L’exposition Le grand verglas de 1998, immersion dans le noir et le froid se déroulera à partir du 24 juin 2023 au local de la Société d’histoire.
La crise du verglas est un événement qui a marqué l’histoire du Québec par son ampleur et également par l’élan de solidarité qui en a découlé.
Cette exposition itinérante s’adresse, d’une part, aux gens qui ont vécu la crise et, d’autre part, aux visiteurs qui sont curieux de découvrir cette catastrophe non pas uniquement comme un phénomène météorologique, mais également comme un événement qui a consolidé les liens d’une population, qui a mis en lumière l’ingéniosité des travailleurs et la générosité du public.
Cet événement mérite d’être raconté pour le public et aussi par le public. C’est dans cette optique que l’exposition recense des photos de citoyens, des témoignages d’intervenants ayant participé activement lors de la crise et des archives de toutes sortes. Cette exposition souhaite ainsi contribuer à la préservation de la mémoire collective.

- Au jour le jour, juin 2023
Mot du président
Fête de la Saint-Jean-Baptiste à La Prairie
Dans le cadre des festivités de la Saint-Jean-Baptiste organisées dans le parc du Sentier du Vieux-Fort par la municipalité de La Prairie le 24 juin prochain, la SHLM sera responsable de l’organisation d’un camp militaire de l’époque de la Nouvelle-France.
Ce camp sera animé par les membres de la Garnison de Montréal, groupe de reconstitution historique spécialisé sur l’époque des Compagnies franches de la Marine en Nouvelle-France (1685-1760).
Venez passer la journée avec les vaillants soldats qui ont défendu le fort de La Prairie à l’époque des rois Louis XIV et Louis XV.
Plusieurs activités sont prévues : défilé militaire, école du soldat pour les jeunes, atelier sur l’histoire de l’uniforme et visite du campement de la garnison.
Nos locaux seront ouverts toute la journée et les visites guidées seront gratuites.
Bonne Saint-Jean-Baptiste !
Stéphane Tremblay, président

- Au jour le jour, mai 2023
La collection de l’ethnologue Robert-Lionel Séguin : un patrimoine national
Ethnologue spécialisée en étude des collections muséales, Laurence Provencher Saint-Pierre est chargée de cours à l’Université Laval. Ses recherches portent sur les pratiques de collectionnement dans les musées, l’histoire de l’ethnologie au Québec et l’étude de la culture matérielle. Dans le cadre d’un stage postdoctoral, elle a participé à la documentation de la collection Robert-Lionel Séguin.

L’ethnologue Robert-Lionel Séguin (1920-1982) a joué un rôle important dans la reconnaissance et la conservation du patrimoine. Chercheur passionné et infatigable, il a consacré sa vie à l’étude de la civilisation traditionnelle québécoise et a assemblé une imposante collection de plus de 22 000 objets témoins de la vie quotidienne d’autrefois.
Cette conférence portera sur le parcours de cette collection aujourd’hui reconnue comme patrimoine national québécois et conservée au Musée POP de Trois-Rivières.
Le mardi 16 mai à 19h30 au Théâtre du Vieux-La Prairie,
247, rue Sainte-Marie, La Prairie
Membres SHLM : GRATUIT. Non-membres : 7,50$

- Au jour le jour, mai 2023
Antoine Simonato, bénévole de l’année
Chaque année, la SHLM décerne le titre de bénévole de l’année à un membre qui s’est particulièrement distingué. Malgré son jeune âge, Antoine Simonato, qui termine une maîtrise en histoire, est membre de notre organisme depuis plusieurs années.
À ses débuts, il s’est d’abord fait remarquer à titre de guide. Passionné, enthousiaste et communicatif, Antoine est à la fois un chercheur, un conférencier et le secrétaire de notre conseil d’administration depuis quelques années.
Son engagement et son dynamisme ont fait de lui un élément des plus précieux à l’intérieur de la SHLM.
Nos félicitations au récipiendaire.
Sur la photo, Caroline Laberge, archiviste-directrice générale,
Antoine Simonato, bénévole de l’année et
Stéphane Tremblay, président de la SHLM.

- Au jour le jour, mai 2023
Bibliothèque – Nouvelles acquisitions 2023
L’Appel de l’Ouest. La Vérendrye, Louis Riel et leurs intrépides compagnons
/ par Renée Joyal
Septentrion
2023
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The Collectors. A History of Canadian Customs and Excise
/ par Dave McIntosh
Toronto, NC Press Limited
1984
(Don de Michel Fortin de la Société des XI)
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Saint-Edmond, la généreuse : évocations historiques pour le cinquantenaire (1930-1980)
/ par Marcel Colin
Fabrique Saint-Edmond, Saint-Jean-sur-Richelieu
1980
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Les Allemands au Canada
/ par K. M. McLaughlin
Collection : Groupes ethniques au Canada; brochure no 11.
Société historique du Canada, Ottawa
23 pages
1985

- Au jour le jour, mai 2023
Nouvelles brèves

Les archives de la SHLM étaient à l’honneur à Sherrington le 29 avril dernier.
À l’invitation de M. Michel Fortin, président de la Société d’histoire des XI, les archivistes Hélène Élément, Josée Sarrazin et Caroline Laberge y ont présenté la séance d’Archives à voix haute du 50e anniversaire de la SHLM.
L’intention était de faire connaître cet outil de diffusion et de valorisation des archives aux membres et au public des régions de Sherrington, Napierville et Hemmingford. La Société d’histoire des XI conserve des archives historiques fort intéressantes, qui ne demandent qu’à être consultées !
Cela a permis à l’archiviste-directrice générale de découvrir les installations de la société des XI et d’échanger avec ses membres. Une belle collaboration !
En rappel
À la demande générale, le mardi 6 juin prochain à 19 h 30, les archivistes Hélène Élément, Caroline Laberge et Josée Sarrazin offriront en reprise les « Archives à voix haute ».
Laissez-vous transporter dans diverses époques de La Prairie et découvrir des anecdotes insoupçonnées dans cette séance de lecture à voix haute et de projection d’archives. Curieux ? Intrigant ?
La nouvelle présentation contiendra des ajouts à la séance de décembre 2022.
Théâtre du Vieux-La Prairie, au 247, rue Sainte-Marie.
Membres : GRATUIT. Non-membres : 7,50 $
À venir
Le lundi 22 mai, la SHLM participera à la Journée nationale des Patriotes, en offrant les visites gratuites.
La SHLM participera également à l’événement « Au cœur de la communauté » qui se tiendra le mardi 23 mai à l’école Jean-XXIII. L’établissement tient cette rencontre dans le but de faire connaître les différents organismes communautaires et publics de La Prairie.

- Au jour le jour, mai 2023
René Barbeau a 100 ans

Les bénévoles des sociétés d’histoire consacrent leurs énergies à l’étude de l’histoire de leur région sans jamais s’attarder à l’histoire, pourtant très riche, de certains de leurs membres. Pourtant, peu de sociétés d’histoire peuvent se targuer de compter un centenaire parmi leurs membres. Et encore, un centenaire qui est membre depuis 48 ans. Cela mérite d’être souligné!
Issu d’une famille de cultivateurs, monsieur René Barbeau est né le 30 avril 1923 à la côte Sainte-Catherine (partie de l’ancienne seigneurie de La Prairie-de-la-Magdeleine), à proximité du fleuve. La terre familiale était située là où se trouve de nos jours le campus du Collège Charles-Lemoyne.
Il se souvient que, jeune, il accompagnait son père dans le Vieux Montréal à la Place Jacques-Cartier, pour y vendre du foin et des légumes. Il a connu les ponts de glace sur le fleuve. L’hiver, bien emmitouflée, la famille Barbeau venait en « sleigh » à la messe de minuit à l’église de la Nativité de La Prairie.
Monsieur Barbeau est depuis longtemps un passionné de généalogie ! Il a effectué de nombreuses recherches qui l’ont mené en Louisiane à quelques reprises afin d’y faire la connaissance de gens avec qui il partage le même ancêtre; puis en France, dans la petite ville de Pons. Il a collaboré longtemps avec Jean L’Heureux, un généalogiste chevronné à la SHLM.
Félicitations M. Barbeau pour vos cent ans et merci de soutenir la SHLM depuis tout ce temps !

- Au jour le jour, mai 2023
Le 179, rue Saint-Laurent
N.D.L.R. Voici le second d’une série d’articles sur des maisons patrimoniales de La Prairie, dont la survie est due au travail et à la ténacité de femmes admirables. Dans le cas présent, nous tenons à remercier Mme Monique Dugal, l’ancienne propriétaire, pour la documentation et l’histoire de la maison. Notre reconnaissance se porte également vers Mme Zoé Belk, l’actuelle propriétaire depuis 2020, pour avoir acheté la maison et pour son chaleureux accueil.
La présence de la brique
Petite habitation de 7,80 m (25,5 pieds) sur 7,22 m (23,7 pieds), sise sur la rive nord-est de la rue Saint-Laurent à proximité du chemin de Saint-Jean. Elle est à l’extérieur du périmètre du site patrimonial (arrondissement historique). À l’origine, maison à deux étages avec solage en pierres des champs, murs en pièce sur pièce, revêtement extérieur et cheminée de briques (voir la photo ci-jointe). Selon une inscription située au-dessus de la porte d’entrée, elle aurait été construite en 1853, une date tout à fait plausible selon l’architecte Michel Létourneau. Si le revêtement de brique était antérieur à l’ouverture de la première briqueterie industrielle à La Prairie en 1890, nous ignorons la provenance de ce matériau.
Cependant, plusieurs indices plaident en faveur d’une production artisanale de briques à La Prairie dans la seconde moitié du 19e siècle. Au Fort-Lennox de l’Île-aux-Noix, on m’a déjà affirmé que la poudrière, bien antérieure à 1890, était construite de briques de La Prairie. Il en serait de même pour certaines demeures dont l’ancienne maison de Toussaint Moquin qui était au 1125, chemin de Saint-Jean, face au Marché des jardiniers. Démolie en septembre 2007, elle avait été bâtie en 1856 par Ambroise Hébert sur une terre de 50 arpents.

« La maison aurait été construite avec trois rangs de brique “américaine” transportée par chemin de fer ou avec de la brique provenant de la briqueterie Coupal-Lareine à La Tortue. Il existe une autre maison de même type et de la même époque sise au 1215 chemin de Saint-Jean (Centre chiropratique Guy Briand). »
À cela, ajoutons que : « De par son sol argileux, La Prairie est un lieu privilégié pour la fabrication de briques. En 1872, M. Thibodeau commence à exploiter le sol pour faire les premières briques d’argile entièrement fabriquées à la main. En 1877, les frères Coupal achètent la briqueterie et la modernisent en implantant un moule. Cette entreprise artisanale ferme ses portes en 1891 ne pouvant concurrencer avec la première grande industrie de briques fondée en 1890 », lit-on dans le document Collection St-Lawrence Brick Company Limited. »[1]
Bref, l’origine de la brique devra faire l’objet de futures recherches.
L’état réel du bâtiment
Au cours du 20e siècle, le lot 44, sur lequel se situe le 179, a été l’objet de nombreuses transactions immobilières dont la cession de plusieurs parties du lot original.
En février 1976, Mme Monique Dugal achète la maison de M. Gérard Fournier pour la somme de 8 500$. Ce dernier l’avait acquise moins d’un an plus tôt, en avril 1975, pour 6 500 $.
Au moment de la signature du contrat d’achat devant le notaire Jean-Guy Lamarre dont l’étude était située au 950 chemin du Sault St-Louis, madame Dugal déclare prendre l’immeuble dans son état actuel, affirmant l’avoir bien vu et visité et en être satisfaite. Toutefois, dans les faits, si l’acquéreuse affirme être bien informée de l’état réel du domicile, elle ignore sans doute ce qu’il lui en coûtera d’efforts et d’investissements pour rendre la maison habitable.
En réalité, le bâtiment est dans un état de délabrement avancé. Le 1er mai 1976, la nouvelle propriétaire s’attaque à la démolition des murs de briques et des planchers. À l’intérieur, les trois planchers superposés étaient pourris et les combles étaient isolés avec de la terre. Des murs intérieurs, il ne restait que les pièces de bois équarries dont neuf étaient pourries et ont dû être remplacées. Les travaux achevés, la maison n’est plus le taudis qu’elle était, les combles sont habitables et sur les murs extérieurs, les planches en bois debout (planches posées à la verticale) ont remplacé la brique.
Le plancher de l’appentis est formé de briques des anciens murs de la maison. Le plancher de pin du rez-de-chaussée est composé de planches récupérées d’une ancienne maison de la même époque.
Un an plus tard, le coût des travaux de « restauration » s’élevait à 60 000 $, nettement plus que les 3 000 $ de subvention accordée par le projet PAQ (programme d’amélioration de quartier) et deux fois plus que le prix, à l’époque, d’un bungalow neuf dans le quartier de la Magdeleine.
Encore des travaux
Douze ans plus tard, en juin 1989, à la demande du ministère de la Culture, il faut remplacer la toiture qui était en bardeaux d’asphalte par du bardeau de cèdre et refaire la galerie qui devra avoir la longueur de la façade.
Au printemps 2001, de nouveaux travaux s’imposent, on doit remplacer les portes avant et arrière et réparer la cheminée de briques. Tous les propriétaires de maisons anciennes savent pertinemment que ces habitations exigent une surveillance et des soins constants.
D’ailleurs, à l’automne 2019, d’importants travaux de décontamination fongique dans le vide sanitaire s’imposent (présence de moisissures sur la fondation en moellons). On doit également procéder à l’isolation du plancher avec du polyuréthane giclé, car de la moisissure apparaît également sur le plancher du rez-de-chaussée. Ces interventions sont complétées par le nettoyage de la fondation, la réparation des fissures et l’ajout d’un traitement imperméable.
Plus encore, la végétation autour de la propriété provoque une pression hydrostatique sur la fondation en moellons. Il faut donc excaver sur le pourtour de la maison afin d’enlever le vieux drain de fondation et le remplacer par un nouveau drain en PVC. Au surplus, afin d’éviter de futurs problèmes, on creuse deux bassins de rétention des eaux de surface avant et arrière. Tout cela a exigé des sommes très importantes.
Une maison patrimoniale ?
« Immeuble patrimonial : tout bien immeuble qui présente un intérêt pour sa valeur archéologique, architecturale, artistique, emblématique, ethnologique, historique, paysagère, scientifique ou technologique. »
« Les termes de maisons ancestrales désignent plus généralement celles datant de plus d’une centaine d’années, donc celles dont la construction remonte au début du 20e siècle ou avant. »
On aura compris que les vieilles maisons ne sont pas toutes des maisons dites patrimoniales.
Avant les travaux majeurs de 1976, par son architecture et son historique, le 179 rue Saint-Laurent pouvait certainement être désigné « maison patrimoniale ».

Bien que son état ait exigé des interventions importantes, le bâtiment n’a pas changé d’endroit ni de vocation. Les murs intérieurs sont toujours en pièce sur pièce et il y a un reste d’une ancienne cheminée de briques à l’intérieur de la maison (côté nord).
Bref, jusqu’où peut-on aller dans les rénovations sans altérer le caractère patrimonial du bâtiment?
Un exemple parmi plusieurs
Parfois, il faut savoir jusqu’où aller trop loin dans les travaux. Dans certains cas, comme celui du 179 rue Saint-Laurent, des modifications majeures risquent d’effacer le caractère patrimonial du bâtiment. Mais, il arrive hélas qu’il n’existe d’autre choix que de tout refaire ou presque.
Autrefois, à Saint-Guillaume (anciennement Saint-Guillaume-d’Upton) on pouvait admirer une maison patrimoniale en pièce sur pièce construite en 1840 à l’époque de la naissance de la municipalité. Inoccupée depuis quelques décennies, en 2000, la maison, pourtant en très bon état, menaçait de basculer dans le ruisseau du Chêne à cause de l’érosion.
« Sa propriétaire, sachant que cette maison ancestrale allait être démolie, fit numéroter chaque pièce avant sa démolition. Ensuite, elle l’a fait remonter par des experts sur un terrain qu’elle possédait à Terrebonne. Il a fallu sept mois à une équipe de travailleurs spécialisés pour que la maison retrouve tout l’attrait qu’elle avait au milieu du dix-neuvième siècle. Les parties manquantes ont été trouvées parmi d’autres maisons anciennes détruites. »[2]
Reconstruite à plus de 100 kilomètres de son lieu d’origine, cette demeure conserve-t-elle encore son caractère patrimonial ? Elle conserve certes un certain cachet dans son nouveau site, mais elle est définitivement privée de ses valeurs historiques, ethnologiques et paysagères. Certes, le déménagement valait quand même mieux que sa destruction.


Bien sûr, il existe de nombreux exemples du même genre à travers le Québec.
Maison patrimoniale ou pas ? Peut-être que dans le cas dont il est ici question, il s’agit d’un faux débat. Madame Monique Dugal a habité la petite maison de bois durant 44 ans. Elle y a consacré beaucoup d’intérêt ainsi que des sommes considérables afin de la maintenir en état.
Vendue en 2020, la maison est aujourd’hui occupée par une jeune famille qui en prend grand soin. Malgré ses transformations, avec ses murs en pièce sur pièce, ses planchers de larges planches, ses combles et son extérieur de planches verticales, le 179 conserve un cachet particulier. Il s’agit certes d’un bâtiment d’intérêt et surtout d’un endroit où il fait bon vivre.
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[1] Le Reflet, le mardi 13 août 2019.
[2] Le Journal de Montréal, samedi, le 8 avril 2006, page 27.

- Au jour le jour, mai 2023
Mot du président
La SHLM et les deux fédérations.
L’adage suivant est bien connu : « L’union fait la force ».
Voilà pourquoi, afin de bénéficier d’une foule d’avantages et d’activités (assurances, formations, conférences…), la SHLM est membre de deux fédérations dont les objectifs cadrent avec ceux de notre mission : La Fédération Histoire Québec (FHQ) et la Fédération québécoise des Sociétés de généalogie (FQSG).
Tous les printemps, ces deux fédérations organisent des assemblées qui rassemblent la plupart des organismes à caractère culturel et patrimonial de la province.
C’est ainsi que, du 26 au 28 mai prochains, la FHQ tiendra son congrès annuel (et son assemblée générale annuelle) à l’Hôtel Mortagne de Boucherville.
D’autre part, la FQSG tiendra son Conseil de généalogie annuel (formation et assemblée générale) aux Archives nationales à Québec le samedi 10 juin prochain.
La SHLM participera à ces deux événements en y déléguant un membre de son conseil d’administration ou sa directrice générale.
Stéphane Tremblay, président