Sélection d'une édition

    Remerciements

    Nos remerciements les plus sincères vont à Anne-Marie Monette et Isabelle Parisien pour l’excellent travail dans le cadre du programme “Meilleurs jumelages” (emploi offert aux étudiants pendant l’année académique). Elles ont collaboré à la préparation de l’exposition archéologique et en ont fait la mise en place. Elles ont également participé au classement photographique et cartographique et ont complété le classement de notre bibliothèque.
     

    Un gros merci à Diane LeBlanc qui nous quitte aussi, mais laisse derrière elle un héritage remarquable, comme vous pourrez le constater par le rapport final. C’est un travail considérable qui a été effectué et qui amène la S.H.L.M. à devenir un chef de file dans certaines réalisations informatiques.
     

    Nous voulons aussi remercier Brigitte Fortin, qui nous a donné un sérieux coup de main en publicité. Ses préoccupations iront davantage vers sa petite famille grandissante. Elle gardera cependant la responsabilité des conférences de chaque mois, tâche qu’elle s’acquitte admirablement.

    Nos remerciements les plus sincères vont à Anne-Marie Monette et Isabelle Parisien pour l’excellent travail dans le cadre du programme “Meilleurs jumelages” (emploi offert aux étudiants pendant l’année académique). Elles ont collaboré à la préparation de l’exposition archéologique et en ont fait la mise en place. Elles ont également participé au classement photographique et cartographique et ont complété le classement de notre bibliothèque.   Un gros merci à Diane LeBlanc qui nous quitte aussi, mais laisse derrière elle un héritage remarquable, comme vous pourrez le constater par le rapport final. C’est un travail considérable qui a été effectué et qui amène la S.H.L.M. à devenir un chef de file dans certaines réalisations informatiques.   Nous voulons aussi remercier Brigitte Fortin, qui nous a donné un sérieux coup de main en publicité. Ses préoccupations iront davantage vers sa petite famille grandissante. Elle gardera cependant la responsabilité des conférences de chaque mois, tâche qu’elle s’acquitte admirablement....

    Dons

    The telephone history of La Prairie, Québec, par Mary A. G. McPhail, May 24, 1955, 19 pages. (Don de Réal Legault)

    Téléphone, La Prairie, renseignements divers, 1990, 1904, etc, 6 pages. (Don de Réal Legault)

    Quatre boîtes de chemises cartonnées, format légal, pour classer nos documents (1 500 chemises) (Don de Édouard Légaré)

    16 étagères de métal pour classer nos différents documents. Reçu du Bureau de la publicité des droits de La Prairie, par M. Claude Chouinard (autrefois Bureau d’enregistrements). Ces étagères nous seront très utiles.

    The telephone history of La Prairie, Québec, par Mary A. G. McPhail, May 24, 1955, 19 pages. (Don de Réal Legault) Téléphone, La Prairie, renseignements divers, 1990, 1904, etc, 6 pages. (Don de Réal Legault) Quatre boîtes de chemises cartonnées, format légal, pour classer nos documents (1 500 chemises) (Don de Édouard Légaré) 16 étagères de métal pour classer nos différents documents. Reçu du Bureau de la publicité des droits de La Prairie, par M. Claude Chouinard (autrefois Bureau d’enregistrements). Ces étagères nous seront très utiles....

    Les Prévost-Provost

    Madame Louise Provost-Dupré a présenté d’une manière très éloquente la rencontre des familles Prévost-Provost à l’émission télévisée de Radio-Canada, le 13 mars à 13h30. Cette rencontre aura lieu à La Prairie le 11 juin et les membres de la Société historique recevront ces Prévost-Provost au Musée, au local de la S.H.L.M.. Merci à madame Louise Dupré pour avoir chaleureusement souligné la participation de la S.H.L.M..

    Madame Louise Provost-Dupré a présenté d’une manière très éloquente la rencontre des familles Prévost-Provost à l’émission télévisée de Radio-Canada, le 13 mars à 13h30. Cette rencontre aura lieu à La Prairie le 11 juin et les membres de la Société historique recevront ces Prévost-Provost au Musée, au local de la S.H.L.M.. Merci à madame Louise Dupré pour avoir chaleureusement souligné la participation de la S.H.L.M.....

    Au tableau d’honneur

    Lors du souper annuel des bénévoles de La Prairie le 25 mars dernier, madame Patricia McGee Fontaine a été honorée comme bénévole émérite dans le secteur culturel. Nous en sommes tous fiers.

    Lors du souper annuel des bénévoles de La Prairie le 25 mars dernier, madame Patricia McGee Fontaine a été honorée comme bénévole émérite dans le secteur culturel. Nous en sommes tous fiers....

    Décès

    Le 2 mars 1995, à l’âge de 61 ans, est décédée Madeleine Lussier, épouse de Claude Denis. Elle était la belle-sœur de Madame Céline Lussier ainsi que la mère d’André Denis, informaticien, qui a élaboré plusieurs programmes pour la S.H.L.M.. Nos sincères condoléances aux familles éprouvées.

    Le 2 mars 1995, à l’âge de 61 ans, est décédée Madeleine Lussier, épouse de Claude Denis. Elle était la belle-sœur de Madame Céline Lussier ainsi que la mère d’André Denis, informaticien, qui a élaboré plusieurs programmes pour la S.H.L.M.. Nos sincères condoléances aux familles éprouvées....

    Voeux

    Monsieur Réal Legault a dû faire un séjour à l’hôpital pour une opération, il fut le premier président de notre Société; celle-ci lui offre ses meilleurs vœux de prompt rétablissement et bonne santé.

    Monsieur Réal Legault a dû faire un séjour à l’hôpital pour une opération, il fut le premier président de notre Société; celle-ci lui offre ses meilleurs vœux de prompt rétablissement et bonne santé....

    Érable à sucre (suite)

                Beaucoup d’Amérindiens entretenaient des légendes sur l’origine du sirop d’érable, dont la suivante qui se perd dans la nuit des temps et que nous empruntons, en substance, à Blodwen Davies, dans Québec : Portrait of a Province. Il y a bien longtemps de cela, Noromis, la Mère de la Terre, désirant gâter ses enfants, imagina une friandise délectable : le sirop d’érable. Elle entailla des érables et, merveille! Dès qu’elle mit des godets au-dessous des incisions, jaillit un épais et délicieux sirop, prêt pour la dégustation, qu’elle s’empressa d’offrir à ses chérubins…

                Son petit-fils, Manabush, malicieusement contestataire, accepta mal la création de sa grand-mère. Or, un jour, alors qu’elle s’affairait à remplir des godets d’écorce de bouleau des érables entaillés, il s’amena vers elle et lui dit : “Grand-mère, il n’est pas bon que le sirop vienne si facilement. C’est encourager la paresse. Le sirop doit être le fruit de l’effort, du travail. C’est pourquoi les hommes et les femmes doivent couper les arbres pour faire les feux et produire le sirop.”

                Nokomis ne l’entendait pas ainsi. Elle était d’avis que ses chers enfants méritaient le sirop d’érable au naturel, sans passer par la production astreignante. Manabush, lui, tint mordicus à son idée… Il grimpa au faîte des érables et versa de l’eau dans les troncs pour diluer le sirop et en faire de la sève. Son opération ayant réussi, il s’écria en algonquien “sinzioikwar” pour désigner l’eau sucrée. Puis, toute la tribu se mit à l’œuvre pour reproduire le sirop qui ne fut pas moins savoureux…

                Beaucoup plus tard, c’est une femme qui fut l’initiatrice de la production, cette fois-ci, du sucre d’érable : Agathe de Saint-Père, épouse de Pierre Legardeur de Repentigny. Cette famille possédait une propriété à Montréal et un manoir près de l’Assomption.

                Or, peu après une nouvelle déclaration de guerre entre la France et l’Angleterre, en 1702, des navires anglais recommencèrent à bloquer les communications entre la France et la Nouvelle-France. Beaucoup de vivres vinrent à manquer, dont le sucre. Femme intelligente, réaliste et dynamique, Agathe de Saint-Père demanda à ses amis amérindiens de l’initier à la fabrication du sucre d’érable. Elle passa tout l’hiver à se préparer avec ses voisins français et indiens. Le printemps venu, on se mit avec ardeur à la taille des érables et à la production du sucre. L’opération réussit pleinement. Quelques années plus tard, Agathe de Saint-Père rapportait au roi de France qu’on produisait annuellement, dans la colonie montréalaise, 30,000 livres de sucre d’érable.

    Aujourd’hui, les produits de l’érable atteignent 25 millions de kilogrammes par année, dont environ les deux tiers proviennent du Québec.
     

    Tiré de “L’indien généreux” par Louise Côté, Louis Tardinel et Denis Vaugeois, pp. 123-124.

                Beaucoup d’Amérindiens entretenaient des légendes sur l’origine du sirop d’érable, dont la suivante qui se perd dans la nuit des temps et que nous empruntons, en substance, à Blodwen Davies, dans Québec : Portrait of a Province. Il y a bien longtemps de cela, Noromis, la Mère de la Terre, désirant gâter ses enfants, imagina une friandise délectable : le sirop d’érable. Elle entailla des érables et, merveille! Dès qu’elle mit des godets au-dessous des incisions, jaillit un épais et délicieux sirop, prêt pour la dégustation, qu’elle s’empressa d’offrir à ses chérubins…             Son petit-fils, Manabush, malicieusement contestataire, accepta mal la création de sa grand-mère. Or, un jour, alors qu’elle s’affairait à remplir des godets d’écorce de bouleau des érables entaillés, il s’amena vers elle et lui dit : “Grand-mère, il n’est pas bon que le sirop vienne si facilement. C’est encourager la paresse. Le sirop doit être le fruit de l’effort, du travail. C’est pourquoi les hommes et les femmes doivent couper les arbres pour faire les feux et produire le sirop.”             Nokomis ne l’entendait pas ainsi. Elle était d’avis que ses chers enfants méritaient le sirop d’érable au naturel, sans passer par la production astreignante. Manabush, lui, tint mordicus à son idée… Il grimpa au faîte des érables et versa de l’eau dans les troncs pour diluer le sirop et en faire de la sève. Son opération ayant réussi, il s’écria en algonquien “sinzioikwar” pour désigner l’eau sucrée. Puis, toute la tribu se mit à l’œuvre pour reproduire le sirop qui ne fut pas moins savoureux…             Beaucoup plus tard, c’est une femme qui fut l’initiatrice de la production, cette fois-ci, du sucre d’érable : Agathe de Saint-Père, épouse de Pierre Legardeur de Repentigny. Cette famille possédait une propriété à Montréal et un manoir près de l’Assomption.             Or, peu après une nouvelle déclaration de guerre entre la France et l’Angleterre, en 1702, des navires anglais recommencèrent à bloquer les communications entre la France et la Nouvelle-France. Beaucoup de vivres vinrent à manquer, dont le sucre. Femme intelligente, réaliste et dynamique, Agathe de Saint-Père demanda à ses amis amérindiens de l’initier à la fabrication du sucre d’érable. Elle passa tout l’hiver à se préparer avec ses voisins français et indiens. Le printemps venu, on se mit avec ardeur à la taille des érables et à la production du sucre. L’opération réussit pleinement. Quelques années plus tard, Agathe de Saint-Père rapportait au roi de France qu’on produisait annuellement, dans la colonie montréalaise, 30,000 livres de sucre d’érable. Aujourd’hui, les produits de l’érable atteignent 25 millions de kilogrammes par année, dont environ les deux tiers proviennent du Québec.   Tiré de “L’indien généreux” par Louise Côté, Louis Tardinel et Denis Vaugeois, pp. 123-124....

    Généalogie de Hélène Trudeau (suite)

    Hélène Trudeau

                Née à Montréal le 11 août 1931, Hélène Trudeau fait ses études chez les Sœurs de Sainte-Anne, jusqu’au Collège Marie-Anne de Lachine, et termine par deux années au Collège Jésus-Marie, où elle obtient un B.A.. De son mariage à René Rivees, le 19 juillet 1954, naissent six enfants. En 1968, trois années d’études à l’Université de Montréal débouchent sur un Bac. en traduction. Entrée chez Bell Canada en 1971, elle consacre vingt ans comme traductrice puis réviseure, à fournir du français clair à l’intention des collègues de services techniques, financiers, juridiques et administratifs.

                En 1975, premier essai d’enseignement à l’Éducation permanente de l’Université de Montréal, tâche difficile à concilier avec la vie familiale. De 1987 à 1991, au département de Linguistique de l’U. de M., charges de cours en traduction/rédaction économique, commerciale et financière.

                Elle choisit de se rapprocher de ses racines au milieu des années 80. À son vieux père, qui n’avait pas « Candiac » en mémoire, elle devait préciser qu’il habitait « Candiac de La Prairie », à quoi il répliquait un « La Prairie de la Magdeleine » rassurant pour lui. Elle savoure maintenant la retraite entourée d’amis férus d’histoire et de quatre petits-enfants qui porteront à leur tour le flambeau de la langue et de la culture françaises.
     

    Estienne Truteau

                Notre ancêtre a 17 ans lorsqu’il s’embarque sur le Saint-André, à La Rochelle, le 2 juillet 1659. Dix ans plus tard, il est un maître charpentier et un charron très en demande. De Ville-Marie, où d’après les contrats recensés, il a fait ses premiers achats de terrain et réalisé ses premières constructions, il étend son patrimoine à la seigneurie de Longueuil, car il possède déjà une « habitation » de 3 arpents sur 20 lorsque Charles le Moyne lui accorde une concession en 1675. Estienne Trudeau fut un entrepreneur, un père soucieux de bien établir ses enfants et un homme d’honneur respectueux de ses engagements. On dit qu’il avait « le caractère un peu vif ».
     

    Louis-Joseph Trudeau

                On en disait autant de mon grand-père qui nous semblait l’un des représentants directs du bon Dieu à Saint-Rémi. Médecin, il a pratiqué près de 1 500 accouchements dans les maisons de la région, de 1896 à 1940. Il était aussi pharmacien, avait une chaise de dentiste, vendait des lunettes et même des assurances. Pour nous, il aura été surtout celui qui consolait d’un chagrin, tirait de délicieux chocolats des pots alignés sur le comptoir vitré et offrait à ses petits-enfants son fameux sirop de framboise de la même couleur que le Cherry brandy servi aux adultes.

    Référence : La généalogie a été établie en 1967 par le Père Paul-Albert Trudeau, c.s.v. qui fut longtemps archiviste à la maison Saint-Viateur, à Outremont.

    Hélène Trudeau             Née à Montréal le 11 août 1931, Hélène Trudeau fait ses études chez les Sœurs de Sainte-Anne, jusqu’au Collège Marie-Anne de Lachine, et termine par deux années au Collège Jésus-Marie, où elle obtient un B.A.. De son mariage à René Rivees, le 19 juillet 1954, naissent six enfants. En 1968, trois années d’études à l’Université de Montréal débouchent sur un Bac. en traduction. Entrée chez Bell Canada en 1971, elle consacre vingt ans comme traductrice puis réviseure, à fournir du français clair à l’intention des collègues de services techniques, financiers, juridiques et administratifs.             En 1975, premier essai d’enseignement à l’Éducation permanente de l’Université de Montréal, tâche difficile à concilier avec la vie familiale. De 1987 à 1991, au département de Linguistique de l’U. de M., charges de cours en traduction/rédaction économique, commerciale et financière.             Elle choisit de se rapprocher de ses racines au milieu des années 80. À son vieux père, qui n’avait pas « Candiac » en mémoire, elle devait préciser qu’il habitait « Candiac de La Prairie », à quoi il répliquait un « La Prairie de la Magdeleine » rassurant pour lui. Elle savoure maintenant la retraite entourée d’amis férus d’histoire et de quatre petits-enfants qui porteront à leur tour le flambeau de la langue et de la culture françaises.   Estienne Truteau             Notre ancêtre a 17 ans lorsqu’il s’embarque sur le Saint-André, à La Rochelle, le 2 juillet 1659. Dix ans plus tard, il est un maître charpentier et un charron très en demande. De Ville-Marie, où d’après les contrats recensés, il a fait ses premiers achats de terrain et réalisé ses premières constructions, il étend son patrimoine à la seigneurie de Longueuil, car il possède déjà une « habitation » de 3 arpents sur 20 lorsque Charles le Moyne lui accorde une concession en 1675. Estienne Trudeau fut un entrepreneur, un père soucieux de bien établir ses enfants et un homme d’honneur respectueux de ses engagements. On dit qu’il avait « le caractère un peu vif ».   Louis-Joseph Trudeau             On en disait autant de mon grand-père qui nous semblait l’un des représentants directs du bon Dieu à Saint-Rémi. Médecin, il a pratiqué près de 1 500 accouchements dans les maisons de la région, de 1896 à 1940. Il était aussi pharmacien, avait une chaise de dentiste, vendait des lunettes et même des assurances. Pour nous, il aura été surtout celui qui consolait d’un chagrin, tirait de délicieux chocolats des pots alignés sur le comptoir vitré et offrait à ses petits-enfants son fameux sirop de framboise de la même couleur que le Cherry brandy servi aux adultes. Référence : La généalogie a été établie en 1967 par le Père Paul-Albert Trudeau, c.s.v. qui fut longtemps archiviste à la maison Saint-Viateur, à Outremont....

    Souper annuel

    Tel que mentionné lors de notre dernier communiqué, nous vous donnons ci-après tous les détails pertinents pour notre Souper annuel qui aura lieu le 22 avril 1995 à 17h30, au Complexe Saint-Laurent, salle Circé, 500, rue Saint-Laurent, La Prairie.

    Un repas chaud sera servi pour nos membres et leurs invités, au coût de $25.00 par personne, dont voici le menu :

    17h30              Punch

     

    18h30              Crudités

                            Crème de poireaux

                            Verdure du printemps

                            Rôti français (bœuf)

                            Pomme de terre au four

                            Jardinière de légumes

                            Tarte au sucre avec crème glacée

                            Vin

                            Thé, café, tisane

     

    Vous voudrez bien remplir le coupon-réponse ci-joint et nous le retourner avec votre chèque avant le 13 avril 1995, afin que nous puissions faire les réservations nécessaires chez le traiteur.

    Les personnes qui le désirent peuvent former leur table au nombre de 8 personnes.

    Des prix de présence agrémenteront la soirée.

    Pour de plus amples informations, vous pouvez communiquer avec :

    La Société historique au 659-1393 ou

    Madame Céline M. Lussier au 659-1818

     

    Nous vous attendons nombreux avec vos parents et amis.

    Tel que mentionné lors de notre dernier communiqué, nous vous donnons ci-après tous les détails pertinents pour notre Souper annuel qui aura lieu le 22 avril 1995 à 17h30, au Complexe Saint-Laurent, salle Circé, 500, rue Saint-Laurent, La Prairie. Un repas chaud sera servi pour nos membres et leurs invités, au coût de $25.00 par personne, dont voici le menu : 17h30              Punch   18h30              Crudités                         Crème de poireaux                         Verdure du printemps                         Rôti français (bœuf)                         Pomme de terre au four                         Jardinière de légumes                         Tarte au sucre avec crème glacée                         Vin                         Thé, café, tisane   Vous voudrez bien remplir le coupon-réponse ci-joint et nous le retourner avec votre chèque avant le 13 avril 1995, afin que nous puissions faire les réservations nécessaires chez le traiteur. Les personnes qui le désirent peuvent former leur table au nombre de 8 personnes. Des prix de présence agrémenteront la soirée. Pour de plus amples informations, vous pouvez communiquer avec : La Société historique au 659-1393 ou Madame Céline M. Lussier au 659-1818   Nous vous attendons nombreux avec vos parents et amis....

    Généalogie de Hélène Trudeau

    Trudeau

    Hélène Trudeau

     

     

    Charles-Henri Trudeau
    Louise Cusson

    Saint-Rémi de Napierville

    27 mai 1924

    Edmond Cusson
    Ernestine Girard

    Louis-Joseph Trudeau

    Léontine Huguet-Latour

    Saint-Rémi de Napierville

    19 avril 1892

    Charles Huguet-Latour

    Henriette Lériger/Laplante

    Louis Trudeau

    Euphrasie Vanchesteing

    Saint-Michel de Napierville

    25 septembre 1860

    Jean-Baptiste Vanchesteing

    Flavie Bisson

    Louis Trudeau

    Marie-Louise Dupuis

    Saint-Philippe de La Prairie

    19 novembre 1838

    Michel Dupuis

    Josephte Boire

    Louis-Michel Trudeau

    Marguerite Gagné

    Saint-Philippe de La Prairie

    11 juillet 1808

    Amable Gagné

    Marie Hamelin

    Jean-Louis Trudeau

    Marie Larchevêque

    Saint-François d'Assise

    Longue-Pointe

    1er août 1768

    Joseph Larchevêque

    Marie-Anne James/Langlois/Sansoucy

    Pierre-Joseph Trudeau

    Marie-Josephte Baudreau

    Longue-Pointe

    6 juin 1735

    Paul Baudreau/Graveline

    Marie Tessier

    Pierre Truteau

    Marie-Charlotte Mesnard

    Notre-Dame de Montréal

    10 novembre 1698

    Jean-Baptiste Mesnard

    Marguerite Estienne

    Estienne Truteau

    Adrienne Barbier

    Notre-Dame de Montréal

    10 janvier 1667

    Gilbert Barbier

    Catherine de la Vaux

    François Truteau

    Catherine Martinier

     

     

     

    Trudeau Hélène Trudeau     Charles-Henri Trudeau Louise Cusson Saint-Rémi de Napierville 27 mai 1924 Edmond Cusson Ernestine Girard Louis-Joseph Trudeau Léontine Huguet-Latour Saint-Rémi de Napierville 19 avril 1892 Charles Huguet-Latour Henriette Lériger/Laplante Louis Trudeau Euphrasie Vanchesteing Saint-Michel de Napierville 25 septembre 1860 Jean-Baptiste Vanchesteing Flavie Bisson Louis Trudeau Marie-Louise Dupuis Saint-Philippe de La Prairie 19 novembre 1838 Michel Dupuis Josephte Boire Louis-Michel Trudeau Marguerite Gagné Saint-Philippe de La Prairie 11 juillet 1808 Amable Gagné Marie Hamelin Jean-Louis Trudeau Marie Larchevêque Saint-François d'Assise Longue-Pointe 1er août 1768 Joseph Larchevêque Marie-Anne James/Langlois/Sansoucy Pierre-Joseph Trudeau Marie-Josephte Baudreau Longue-Pointe 6 juin 1735 Paul Baudreau/Graveline Marie Tessier Pierre Truteau Marie-Charlotte Mesnard Notre-Dame de Montréal 10 novembre 1698 Jean-Baptiste Mesnard Marguerite Estienne Estienne Truteau Adrienne Barbier Notre-Dame de Montréal 10 janvier 1667 Gilbert Barbier Catherine de la Vaux François Truteau Catherine Martinier      ...