- Au jour le jour, novembre 1982
Finance$
Voici, en date du 5 oct. 1982, l’état des ressources financières de la SHLM, toutes dépenses étant payées :
Compte courant : 224 ,83$
Compte int. quo : 4229 ,00$
Total : 4453 ,83$
De ce dernier montant 4 000$ sont réservés, c’est-à-dire qu’ils nous ont été accordées comme subvention pour la réalisation de projets bien spécifiques. Il ne nous reste donc plus que 453, 83$ pour les dépenses courantes, ce qui n’autorise que des dépenses fort prudentes.
Il est bon de préciser à ce stade-ci que les subventions ne sont jamais accordées pour défrayer des dépenses d’opérations, mais uniquement pour la réalisation de projets clairement définis au préalable.
Il résulte de ce qui précède que les argents perçus pour les cartes de membre, lesquelles ont été jusqu’ici notre principale source de revenu, ne nous permettent qu’une bien faible marge de manœuvre. Il faudra sans doute songer pour 1983 à multiplier et diversifier les possibilités de contributions financières en organisant, si possible, deux activités de financement.
De plus, les cotisations des membres devront augmenter quelque peu (à 12 $ ?) pour faire face aux coûts croissants du papier, de l’imprimerie et de la poste, lesquels sont responsables de la majeure partie de nos frais d’opération.
- Au jour le jour, novembre 1982
Marguerite Bourgeoys
Un peu d’histoire en hommage à ses filles les religieuses de la Congrégation Notre-Dame à La Prairie.
C’est à La Prairie même, nous apprennent de vieux documents, que “La Mère Marguerite Bourgeois” a fondé l’un de ses premiers postes d’enseignement (probablement vers les années 1685). “Elle a, en passant, montré Dieu aux petits, porté la consolation aux affligés et laissé entrevoir le ciel aux mourants”. Ses collaboratrices, qu’elle désignait sous le nom de “Filles de la Providence”, œuvrèrent ici jusqu’à l’arrivée des Sœurs fondatrices. – Il ne s’agit là que de missions temporaires à l’occasion des communions et des confirmations ; l’enseignement se bornait au catéchisme, à la lecture et à l’écriture.
La pauvreté empêchait de songer à un établissement permanent. La première offre que La Prairie fit à Mère Bourgeois en vue d’un établissement permanent se situe en 1692. Le curé de La Prairie, Louis Geoffroy, sulpicien, leur fait cadeau de son presbytère en 1695. Le 7 juin 1697, les Pères Jésuites, seigneurs de La Prairie, cèdent, autour de cet établissement, un arpent de terre, qui fut accepté par la Mère Marguerite Lemoyne-du-Saint-Esprit, supérieure, Marie-Barbier-de-l ’Assomption, assistante, et Marguerite Trottier, dépositaire. Cet emplacement se situait là où se trouve la sacristie de l’église actuelle de La Nativité.
En 1704, on décide de bâtir une église en pierres, orientée nord-sud. Cette église subsistera comme église paroissiale de la Nativité de la Sainte-Vierge jusqu’en 1841.
Les religieuses passent donc de “l’autre côté” sur le site actuel du couvent (aujourd’hui Maison-à-Tout-le-Monde). Le curé d’alors, à La Prairie, M. de Villermaula, leur aménage son presbytère, qu’il abandonne pour un nouveau. Les seigneurs jésuites consentent à changer leur concession antérieure, avec l’unique obligation de deux communions annuelles !
En 1717, par testament, Jean Cailloud dit Baron, père d'une religieuse, concède aux soeurs sa Ferme de la Butte. Outre ces générosités, il faut admirer l’héroïsme de ces "Filles Séculières de la Congrégation", comme on les nommait alors. Les témoignages sont unanimes là-dessus. On les logeait, oui, mais la nourriture, le vêtement les outils pédagogiques??? Elles vivaient du travail de leurs mains et y employaient tous leurs instants libres jusque fort avant dans la nuit, à la lumière de la chandelle.
En 1718, on décida de construire un couvent en pierre. Les soeurs purent alors recevoir des pensionnaires moyennant une certaine quantité de blé et de lard. L’instruction était gratuite. Il vint des pensionnaires de fort loin: jusque de Détroit et des extrémités de la Nouvelle-France.
Et les années se succèdent dans cette "grisaille"… vaillance des religieuses, externat local, pensionnat, à l’usage de l’étranger et les inévitables réparations !!!
En 1769, les soeurs doivent vendre leur Ferme-à-la-Butte pour une restauration générale de leur couvent. En 1815, elles sont dans l’obligation de refaire les murs du couvent et le pignon ouest.
Dans les années 1830, les mauvaises récoltes qui précèdent la Rébellion amènent partout le malaise général. Le pensionnat se vide et accule les Soeurs à la pauvreté extrême. Elles doivent fermer leur couvent en 1836, avec la permission de Mgr Lartigue évêque de Montréal.
A l’époque des Troubles de 1837, le couvent sert de bureau-caserne au magistrat de police Wetherall jusqu'en 1842. On obtient la permission d'utiliser la chapelle du couvent en 1840-41, pendant la construction de la nouvelle église paroissiale (l’actuelle église de La Nativité).
Mais à la demande générale, les classes reprennent le 14 septembre 1844, avec deux religieuses et 100 élèves. Le souci d1 une bonne éducation pénètre et s’étend dans tout le peuple.
En 1886, le curé de la paroisse, M. Gravel, président des commissaires d’écoles, fait bâtir à la place de l’ancien couvent de pierres, tout lézardé, une maison de briques, deux fois plus vaste, à quatre étages avec mansardes. C’est là que Mgr Descelles vint présider, le 13 octobre 1897, le 200è anniversaire de fondation.
Le couvent qui, avec l’église paroissiale, avait échappé au grand feu de La Prairie en 1846 (feu qui avait détruit plus de 200 maisons au village) fut réduit en cendres dans la nuit du 27 juillet 1901; ce qui endommagea assez considérablement la couverture nord de l’église!
Mgr Bruchési, évêque de Montréal, décida la reconstruction sans délai. Et en septembre 1902, les classes recommençaient avec neuf religieuses et plus de 150 élèves. Mgr Racicot bénit la nouvelle cloche le 10 juin 1905.
Depuis une dizaine d'années, les religieuses sont parties. Le couvent a fermé ses classes. Mais la Cité de La Prairie a fort bien aménagé ce "vieux couvent" maintenant mis à la disposition de la population… c’est aujourd’hui: LA MAISON-A-TOUT-LE-MONDE!
- Au jour le jour, novembre 1982
Architecture – Maison Lussier
Maison G.A. Lussier
238, rue St-Ignace, La Prairie
Le terrain comprenant aujourd'hui les propriétés de MM Patenaude, Lussier et Duclos (234, 238 et 240 rue St-Ignace) a été concédé en 1694 à M. René Dupuis par les Pères Jésuites, alors Seigneurs de La Prairie.
Ses dimensions original es étaient de 100 pieds (français) sur la rue St-Ignace par 38 pieds de profondeur et aboutissant à la palissade du fort.
La petite ruelle qu'on retrouve aujourd'hui entre l'ancienne boulangerie Lussier et la maison du 240 St-Ignace existait déjà à cette époque et contournait le Bastion sud-ouest du fort.
M. Joseph Lefaivre, marié à une dame Tristal, se portera acquéreur du terrain en 1729 et y bâtira une maison que l'on décrit comme suit en 1735:
"Une maison de pièces sur pièces, deux cheminées de pierres dont l'une est double. La maison a 35'-0" x 3o'-0", le toit est couvert de planches. On y retrouve aussi un petit bâtiment de 25'-0" x 10'-0" en pièces sur pièces avec glacière."
Cette description correspond exactement à la maison G. A. Lussier actuelle.
Parmi les autres propriétaires, notons M. François McKay en 1765, M. Antoine Sénéca1 en 1778 puis M. Joseph Hébert vers 1800. A cette époque le village de La Prairie est en pleine expansion et le bourg délimité par l'ancienne palissade devient de plus en plus peuplé. M. Hébert subdivisera donc son terrain en trois parties; il gardera la vieille maison, vendra les deux autres lots dont un à son fils Antoine. Vers 1816, la maison est "vieille, lattée dehors et dedans mais néanmoins bonne et logeable avec aussi deux autres bâtiments vieux. " La maison appartiendra encore aux Hébert jusqu'en 1857 lorsque Hiran Duclos, marié à Adélaide Hébert vend à Julien Brosseau, aubergiste.
Actuellement, M. G. A. Lussier la tient de son père depuis de nombreuses années.
Depuis, la Famille Lussier a procédé à de nombreux travaux de restauration et est fière, à juste titre, d'être la propriétaire de la plus ancienne maison de l'arrondissement historique de La Prairie.
- Au jour le jour, novembre 1982
1846
A l'occasion, les volontaires de Montréal étaient requis pour combattre les incendies des villes avoisinantes. Un après-midi d'août 1846, une lueur fauve se propagea dans le ciel de Laprairie. Le capitaine du Protector à Montréal décida de partir à la rescousse avec ses hommes et son équipement. Aucun pont ne reliait alors Montréal à la rive sud. Ils traversèrent donc le fleuve sur le bateau passeur vers Longueuil, et de là, ils hâlèrent la pompe tout le long du chemin de Laprairie. C'était un long remorquage. A la fin, épuisés, ils réquisitionnèrent un cheval dans un champ. Il était temps: le brasier avait rasé des rangées de maisons et l'église écossaise avait été anéantie. Les pompiers de Montréal parvinrent néanmoins à réchapper l'église catholique et les habitations qui l'entouraient.
Tiré de : COLLARD, Edgar Andrew. Montréal du temps jadis. Editions Héritage Amérique, St-Lambert, 1981. Page 178.
- Au jour le jour, novembre 1982
Nécrologie
Le 12 octobre 1982 M. Charles Auguste Bouthillier quittait cette terre à l’âge de 84 ans et 6 mois. Il était le père des mesdames Alice et Denise Bouthillier toutes deux membres de la Société. Reconnu comme le dernier forgeron de LaPrairie, M. Bouthillier laisse dans le deuil plusieurs parents et amis, et l’histoire perd en lui un vénérable témoin d’un métier presque disparu. Afin d’exprimer sa sympathie à la famille éprouvée, le Bastion consacrera plusieurs pages de son prochain numéro à souligner les liens étroits qui unissaient l’œuvre du défunt à l’histoire de LaPrairie.
- Au jour le jour, novembre 1982
Dr Barbeau
Nous sommes heureux de faire connaître à nos membres de la Société Historique de La Prairie de la Magdeleine qu'un des leurs, dans la personne du Dr André Barbeau, a été honoré par la célèbre université de Montpellier dont la faculté de médecine était déjà célèbre en 1153.
Voici un aperçu de ce que rapportait "La Presse" dans son édition du 31 août 1982. "Le Professeur André Barbeau, directeur du département de neurobiologie à l'Institut de recherches clinique de Montréal, a récemment été honoré par la plus vieille école de médecine au monde, l'Université de Montpellier, France.
Le docteur Barbeau, neurologue et chercheur, a reçu en juin 1982 un doctorat Honoris Causa pour souligner ses travaux de pionnier dans l'utilisation de la L-DOPA pour le traitement de la maladie de Parkinson, et sa direction des études multidisciplinaires sur l'ataxie de Friedreich.
Par la même occasion, l'Université de Montpellier a remis au Professeur Barbeau les insignes de Docteur Honoris Causa attribués de façon posthume en 1947 à son père, le Professeur Antonio Barbeau. C'est la première fois en 1000 ans d'histoire de la Faculté que cet honneur échoit à deux générations de la même famille.
Félicitations et merci au Dr Barbeau.
- Au jour le jour, novembre 1982
Association d’anciens à Laprairie
Lundi 24 mai 1926
ASSOCIATION D’ANCIENS À LAPRAIRIE
Elle a été formée hier à l’Académie Saint-Joseph de l’endroit.
De grandes fêtes
LAPRAIRIE, 24. – (De l’envoyé spécial de la “Patrie”) – De grandes fêtes ont eu lieu hier à l’Académie S.-Joseph de Laprairie. On a commencé d’organiser une Société des anciens élèves de l’Institution. Plus de 300 personnes ont participé aux différentes manifestations qui étaient sous la direction de M. l’abbé A. R. Lamarche, curé de la paroisse : de M. le Dr J. M. Longtin, maire de la ville ; de M.A. Beaulieu, président de la Commission Scolaire ; et du R. F. Célestin, directeur de l’Académie de Laprairie.
Les fêtes ont débuté par une messe basse célébrée en l’église paroissiale, à 7.30 heures hier matin. M. l’abbé L.P. Allaire, vicaire de la paroisse, officiait. M. le curé Lamarche fit un court sermon sur la nécessité pour les anciens élèves de conserver bien vivants en leur cœur et en leur esprit les enseignements catholiques qu’ils ont reçu pendant leur adolescence.
Pendant la messe, le maître de chapelle, M. A. Lefebvre, dirigea un programme de chants appropriés.
A une heure hier après-midi, les anciens se réunirent au réfectoire de l’Académie où un banquet leur fut servi.
M. le curé Lamarche présidait. On remarquait à la table d’honneur, et aux autres tables principales : M. le Dr J. M. Longtin, maire de Laprairie ; M.A. Beaulieu, président de la Commission Scolaire locale : M. J. Lussier, préfet du compté et maire de S.-Philippe, le Révérend Frère Provincial, le R.F. Célestin, directeur de l’Académie ; le R.F. Denis, visiteur des écoles ; MM. E. Lamarre, L. Audette, E. Desrosiers, R. Bouvier, V. Surprenant, A. Brisson, L. Pélodeau, G.H. Bourdeau, A. Brisson, V. Roy, J.W. Lamarre, G. H. Lamarre, J. E. Tessier, O. Brossard, B. Brossard, R. Pagé, les RR. FF. Ubald, Eusèbe, Denis, Hervé-Marie, Léonidas, Benjamin, Xavier-Joseph, Clémentien, Charles, Arthur-François, Frédéric, Eugène-Marie, Hilarion, Damase ; MM. les abbés L. P. Roy et L. P. Allaire, vicaires à Laprairie, etc., etc…
Au dessert, des discours furent prononcés par M. le curé Lamarche, M. le maire Longtin, M. A. Beaulieu, président de la Commission Scolaire ; M. J. Lussier, préfet du comté et maire de Saint-Philippe ; et par le R. F. Provincial de l’ordre des R.R. FF. de l’Instruction Chrétienne, l’ordre auquel appartiennent les Frères qui dirigent l’Académie Saint-Joseph de Laprairie.
Tous les orateurs insistèrent sur la nécessitée de fonder et de maintenir des associations d’anciens élèves afin que ne se rompent jamais les relations qui doivent toujours exister entre les anciens et leur Alma Mat.
M. le curé Lamarche remercia les anciens élèves d’avoir répondu en aussi grand nombre à l’appel qu’on leur avait lancé.
Le soir les fêtes se terminèrent par une séance récréative.
On procédera bientôt à l’élection des officiers de cette nouvelle association d’anciens élèves.
- Au jour le jour, juillet 1982
Quatrième de couverture – Emplacement des églises
Travail exécuté par Michel Létourneau, archtiecte
- Au jour le jour, juillet 1982
Membres actifs
B.-Taillon Marie-Reine
Babeu Monique
Barbeau André
Barbeau René
Beauregard Cécile
Beauvais Guy
Bertrand Florence C.N.D.
Boismenu Albert
Bonneterre Angéline
Bourdages Gaétan
Bourne Marguerite
Bouthillier Alice
Bouthillier Denise
Boyer Denise
Boyer-Godin Denise
Brault Pierre
Brisson Gervaise Me
Brossard Mariette
Brosseau Roland
Centre cult. de Verdun
Chouinard-Bouthillier L.
Cote Jean-René
Cote René F.I.C.
Cote Suzanne
Cuillierrier Réal
Daigneault Robert
Demers-Lamarre Lucille
Deniger Pierre
Deslippe Gaston
Desrosiers Viviane
Déziel Julien O.F.M.
Dore-Désy Héléna
Doucet Edouard
Doucet Louise
Dubuc-Favreau Berthe
Duchesneau Madeleine
Duclos Yves
Dulude Jeanne
Dumouchel Hélène
Dupré Guy
Favreau Paul
Fontaine Albert
Fontaine Patricia
Gagnon Luc
Gauthier Michel
Geoffroy Jean
Geoffroy Jeanna
Girard Thérèse
Gouin Léonard
Guérin Madeleine
Houde Claudette
Juteau Jeanne-d’Arc
Juteau Roland
L’Heureux Jean
L. Melançon Jacqueline
Lacroix Yvon
Lafaille Mary
Lamarche Marcel
Lamoureux Jean-Marie
Lamoureux Lucille
Laprotte Jean F.I.C.
Latraverse Yves F.I.C.
Lazure Laurent G.
Lefrançois Lucien
Lecavalier Léo
Lefort Jocelyne
Legault Léonie
Legault Réal
Létourneau Michel
Lévesque Cécile
Lussier Gilles
Lussier Jeannine
Mailhot Robert
Martin Anne
Martin Aurore
Monchamp Jacques
Monette Conrad
Monette Germaine
Montbriand Monique
Moquin Alphonse
Moquin Corrine
Moquin Françoise
Moquin Jacqueline
Morin Benoit
Oligny Marcel
Patenaude J.Z. Léon
Péladeau Gérard
Péladeau-Longtin Éveline
Péloquin Jude Curé
Perron René Curé
Racine Paul
Rémillard Paul F.I.C.
Renaud-Huymans Suzanne
Robert Albertine
Robert Viateur
Rochette Ernest F.I.C.
Rouillier Léo
Roy Thérèse
Roy-Mailhot Denise
Saintonge Jean-Pierre
Sawyer Jules F.I.C.
Spénard Maurice
St-Aubin Hubert
St-James Gilbert
Ste-Marie Alice
Surprenant Alexis
Surprenant-Barrette C.
Surprenant-Laplante M.J.
Taillon André
Tessier Jean-Guy
Tremblay Céline
Vanlynseele Claire
- Au jour le jour, juillet 1982
Congrès à l’automne
Après dix ans la Société atteint sa maturité. Malgré l'épreuve du temps, nombreux sont les problèmes demeurés sans solutions. De plus un inventaire des biens de la Société s'impose, après deux vaines tentatives il faut absolument savoir ce que la Société possède. Enfin le prix T.A. Brisson doit se trouver un récipiendaire et puis un dixième anniversaire ça se fête en grand. Aussi l'éditeur de ce bulletin a-t-il pensé proposer à TOUS LES MEMBRES de la Société une journée de congrès dès l'automne prochain: ce serait là l'occasion de dresser ensemble la liste de ce que possède la Société, de trouver ensemble des réponses à certaines difficultés de fonctionnement, de choisir ensemble le ou la récipiendaire du prix T.A. Brisson et enfin de fêter ensemble nos dix ans.
Qu'en pensez-vous?