Sélection d'une édition

    Vacances des fêtes

    Les locaux de la SHLM seront fermés du 24 décembre 2010 au 3 janvier 2011 inclusivement. Le Club de généalogie tiendra sa dernière rencontre de l’année le 20 décembre 2010 et reprendra ses activités le 10 janvier 2011.

    Nous souhaitons à tous nos membres un joyeux temps des fêtes.

    Les locaux de la SHLM seront fermés du 24 décembre 2010 au 3 janvier 2011 inclusivement. Le Club de généalogie tiendra sa dernière rencontre de l’année le 20 décembre 2010 et reprendra ses activités le 10 janvier 2011. Nous souhaitons à tous nos membres un joyeux temps des fêtes....

    Réaménagements

    Après de si nombreuses années dans les mêmes locaux, il était devenu impérieux de modifier l’organisation de nos espaces afin d’adapter l’ensemble aux nouveaux besoins de la Société et de ses bénévoles. Les nombreux classeurs ont cédé la place à des étagères pouvant accueillir des boites d’archives. Les ordinateurs seront regroupés dans un ilot central mieux aéré et plus dégagé. Les nouvelles chaises et les fauteuils sont plus confortables et plus ergonomiques. Bref des lieux de travail plus accueillants et mieux éclairés que nous vous invitons à visiter.

    Après de si nombreuses années dans les mêmes locaux, il était devenu impérieux de modifier l’organisation de nos espaces afin d’adapter l’ensemble aux nouveaux besoins de la Société et de ses bénévoles. Les nombreux classeurs ont cédé la place à des étagères pouvant accueillir des boites d’archives. Les ordinateurs seront regroupés dans un ilot central mieux aéré et plus dégagé. Les nouvelles chaises et les fauteuils sont plus confortables et plus ergonomiques. Bref des lieux de travail plus accueillants et mieux éclairés que nous vous invitons à visiter. ...

    À propos du bulletin

    Éditeur

    Société d’histoire de

    La Prairie-de-la-Magdeleine

    Dépôt légal 2002

    Bibliothèque nationale du Québec

    Bibliothèque nationale du Canada

    ISSN 1499-7312

    COLLABORATEURS :

    Coordination

    Gaétan Bourdages

    Rédaction

    Gaétan Bourdages

    Claude Rouillier

    Diane Rouillier

    Révision

    Jean-Pierre Yelle

    Design graphique

    François-B. Tremblay

    www.bonmelon.com

    Impression

    SHLM

    Siège social

    249, rue Sainte-Marie

    La Prairie (Québec) J5R 1G1

    Téléphone

    450-659-1393

    Courriel

    [email protected]

    Site Web

    www.laprairie-shlm.com

    Les auteurs assument l’entière responsabilité du contenu de leurs articles et ce, à la complète exonération de l’éditeur.

    La Caisse populaire de La Prairie commandite l’impression du bulletin Au jour le jour.

    Éditeur Société d’histoire de La Prairie-de-la-Magdeleine Dépôt légal 2002 Bibliothèque nationale du Québec Bibliothèque nationale du Canada ISSN 1499-7312 COLLABORATEURS : Coordination Gaétan Bourdages Rédaction Gaétan Bourdages Claude Rouillier Diane Rouillier Révision Jean-Pierre Yelle Design graphique François-B. Tremblay www.bonmelon.com Impression SHLM Siège social 249, rue Sainte-Marie La Prairie (Québec) J5R 1G1 Téléphone 450-659-1393 Courriel [email protected] Site Web www.laprairie-shlm.com Les auteurs assument l’entière responsabilité du contenu de leurs articles et ce, à la complète exonération de l’éditeur. La Caisse populaire de La Prairie commandite l’impression du bulletin Au jour le jour....

    Nouvelles SHLM

    Membre honoré 2010

    Fidèles à la tradition les membres du C.A. de la SHLM ont décidé de désigner M. Jean-Marc Garant comme le bénévole ayant par son travail contribué de façon exceptionnelle à la réalisation des objectifs de la Société d’histoire au cours de l’année 2010. M. Garant oeuvre à titre d’archiviste depuis 2000, il a traité plusieurs de nos fonds d’archives et plus particulièrement nos fonds de photographies et de cartes anciennes. Le récipiendaire a également été membre du C.A. durant plusieurs années.
     

    Nouveau membre au C.A.

    Afin d’occuper le poste de coordonnatrice, Mme Marie-Hélène Bourdeau a dû démissionner de son poste de trésorière au sein du C.A. de la SHLM. Conformément à nos règlements, M. Albert Juneau a donc été désigné pour occuper le poste vacant : 3.2.5 En cas de vacance, le conseil d’administration coopte un remplaçant par intérim qui demeure en fonction pour le reste du mandat. Sa nomination devra être entérinée par la prochaine assemblée générale.
     

    Nouveaux membres

    Notre organisme désire souhaiter la bienvenue à ses nouveaux membres :

    423 Jean-Guy Therrien

    424 Maureen Vermette

    425 Florent Coache

    426 Jacques St-Vincent

    Membre honoré 2010 Fidèles à la tradition les membres du C.A. de la SHLM ont décidé de désigner M. Jean-Marc Garant comme le bénévole ayant par son travail contribué de façon exceptionnelle à la réalisation des objectifs de la Société d’histoire au cours de l’année 2010. M. Garant oeuvre à titre d’archiviste depuis 2000, il a traité plusieurs de nos fonds d’archives et plus particulièrement nos fonds de photographies et de cartes anciennes. Le récipiendaire a également été membre du C.A. durant plusieurs années.   Nouveau membre au C.A. Afin d’occuper le poste de coordonnatrice, Mme Marie-Hélène Bourdeau a dû démissionner de son poste de trésorière au sein du C.A. de la SHLM. Conformément à nos règlements, M. Albert Juneau a donc été désigné pour occuper le poste vacant : 3.2.5 En cas de vacance, le conseil d’administration coopte un remplaçant par intérim qui demeure en fonction pour le reste du mandat. Sa nomination devra être entérinée par la prochaine assemblée générale.   Nouveaux membres Notre organisme désire souhaiter la bienvenue à ses nouveaux membres : 423 Jean-Guy Therrien 424 Maureen Vermette 425 Florent Coache 426 Jacques St-Vincent...

    Notre prochaine conférence: Les soldats de la guerre de Sept ans en Nouvelle-France

    Entre 1755 et 1760, plus de 7 450 officiers et soldats se sont embarqués à Brest et Rochefort à destination de Louisbourg et de Québec pour soutenir l’armée coloniale lors de la guerre de Sept Ans. De leur origine, jusqu’à leur mort, vous suivrez le destin de ces militaires par la présentation de nombreuses informations inédites. Vous découvrirez que plus de 720 soldats des troupes régulières ont décidé de se marier et de s’établir au Canada en dépit de la Conquête britannique de 1760.

    Entre 1755 et 1760, plus de 7 450 officiers et soldats se sont embarqués à Brest et Rochefort à destination de Louisbourg et de Québec pour soutenir l’armée coloniale lors de la guerre de Sept Ans. De leur origine, jusqu’à leur mort, vous suivrez le destin de ces militaires par la présentation de nombreuses informations inédites. Vous découvrirez que plus de 720 soldats des troupes régulières ont décidé de se marier et de s’établir au Canada en dépit de la Conquête britannique de 1760. ...

    Talons de bois Laprairie

    Voisine de l’actuel casse-croûte Chez Monique près de la rue de la Levée sur le boulevard Taschereau, l’usine Talons de bois Laprairie a été opérationnelle durant quatre décennies, du milieu des années quarante jusqu’à ce qu’elle disparaisse dans un incendie vers 1985.

    L’usine Talons de bois Laprairie et ses environs Une voie ferrée (1) passait autrefois au milieu de la rue de la Levée. Le studio de photographie Roland Rouillier (2). L’épicerie d’Ernestine Rouillier (3). L’usine Talons de bois Laprairie (4). La maison de Paul Leclerc (5), propriétaire du restaurant « Chez Monique ». La « cabane à ripe »(6).

    Établie un peu avant 1949, en pleine grande noirceur duplessiste, ayant connu son expansion et son apogée durant la Révolution tranquille et son déclin avec les chambardements sociopolitiques apparus au cours des années 1970-1980 (mondialisation, conscience écologiste, nationalisme, société des loisirs, consumérisme, etc.), Talons de bois Laprairie aura été tout à fait à l’image de la société dans laquelle elle se sera développée : tiraillée entre le traditionalisme qui la tirait par en arrière et le modernisme qui la poussait par en avant.

    Comme son nom l’indique, cette entreprise fabriquait des talons de souliers en bois. Sa production était destinée aux manufacturiers de souliers du Québec, de l’Ontario et même, pour quelques-uns, de la Nouvelle-Angleterre. Connue d’abord sous le nom de Laprairie Wood Heel Inc., elle a permis à des centaines d’ouvriers de La Prairie et des villes avoisinantes de gagner honorablement leur vie. Fidèle au modèle commercial canadien-français, l’employeur privilégiait l’embauche d’employés recommandés par des personnes travaillant déjà pour lui. C’est ainsi que l’on pouvait voir le père, la mère, leurs fils et leurs filles, de même qu’une flopée de brus et de gendres grignoter ensemble un May West et boire un Coke à la pause. Lesquels May West et Coke avaient été achetés à l’Épicerie Rouillier, tenue par Ernestine, veuve de Philippe Rouillier le fondateur de Talons de bois. Quand on dit tricoté serré…

    La « cabane à ripe » Un système d’aspiration (1) amenait les copeaux de bois et le bran de scie dans la « cabane à ripe » (2), où s’approvisionnaient les cultivateurs de la région. La lessive (3) était souvent couverte de sciure de bois.

    Jusqu’à la fin des années soixante, l’écologie n’était pas une préoccupation. Les termes développement durable et ressources non renouvelables ne faisaient pas partie du vocabulaire courant. Chez Talons de bois Laprairie, on achetait de longues planches de bois que l’on sciait, planait et découpait en petits blocs. Ceux-ci, tournés, sablés, recouverts de tissu ou vernis, étaient expédiés aux clients dans des boîtes de carton. On chauffait la bâtisse avec les retailles. Les abondants résidus de bran de scie ou de copeaux (la ripe, comme on disait alors), étaient donnés aux cultivateurs de la région qui s’en servaient de litière ou de paillis. La lessive accrochée aux cordes à linge du voisinage était souvent recouverte de sciure ou de suie. Les ménagères ne s’en plaignaient qu’à voix basse, leurs maris le soupçonnaient à peine. La vie autour de l’usine était faite comme ça. On n’était pas pour se mettre à chialer contre ce qui ajoutait du beurre au pain !

    Une à une, les usines de souliers ont fermé leurs portes, poussant au chômage une main-d’oeuvre souvent peu spécialisée. Le même phénomène s’est produit avec les usines de textile. La mondialisation (certains diront la « walmartisation ») commençait ses ravages dans les secteurs manufacturiers plus fragiles. Pourquoi payer cinquante dollars une paire de souliers qu’on pouvait se procurer pour quinze, même en sachant qu’elle provient d’un atelier de misère situé à l’autre bout du monde ? Quand les flammes ont ravagé l’usine, on ne l’a pas reconstruite. L’élément destructeur venait de raser un modèle qui, de toute manière, était devenu obsolète.

    Les photos sont de Roland Rouillier, sauf mention contraire.

    Voisine de l’actuel casse-croûte Chez Monique près de la rue de la Levée sur le boulevard Taschereau, l’usine Talons de bois Laprairie a été opérationnelle durant quatre décennies, du milieu des années quarante jusqu’à ce qu’elle disparaisse dans un incendie vers 1985. L’usine Talons de bois Laprairie et ses environs Une voie ferrée (1) passait autrefois au milieu de la rue de la Levée. Le studio de photographie Roland Rouillier (2). L’épicerie d’Ernestine Rouillier (3). L’usine Talons de bois Laprairie (4). La maison de Paul Leclerc (5), propriétaire du restaurant « Chez Monique ». La « cabane à ripe »(6). Établie un peu avant 1949, en pleine grande noirceur duplessiste, ayant connu son expansion et son apogée durant la Révolution tranquille et son déclin avec les chambardements sociopolitiques apparus au cours des années 1970-1980 (mondialisation, conscience écologiste, nationalisme, société des loisirs, consumérisme, etc.), Talons de bois Laprairie aura été tout à fait à l’image de la société dans laquelle elle se sera développée : tiraillée entre le traditionalisme qui la tirait par en arrière et le modernisme qui la poussait par en avant. Comme son nom l’indique, cette entreprise fabriquait des talons de souliers en bois. Sa production était destinée aux manufacturiers de souliers du Québec, de l’Ontario et même, pour quelques-uns, de la Nouvelle-Angleterre. Connue d’abord sous le nom de Laprairie Wood Heel Inc., elle a permis à des centaines d’ouvriers de La Prairie et des villes avoisinantes de gagner honorablement leur vie. Fidèle au modèle commercial canadien-français, l’employeur privilégiait l’embauche d’employés recommandés par des personnes travaillant déjà pour lui. C’est ainsi que l’on pouvait voir le père, la mère, leurs fils et leurs filles, de même qu’une flopée de brus et de gendres grignoter ensemble un May West et boire un Coke à la pause. Lesquels May West et Coke avaient été achetés à l’Épicerie Rouillier, tenue par Ernestine, veuve de Philippe Rouillier le fondateur de Talons de bois. Quand on dit tricoté serré… La « cabane à ripe » Un système d’aspiration (1) amenait les copeaux de bois et le bran de scie dans la « cabane à ripe » (2), où s’approvisionnaient les cultivateurs de la région. La lessive (3) était souvent couverte de sciure de bois. Jusqu’à la fin des années soixante, l’écologie n’était pas une préoccupation. Les termes développement durable et ressources non renouvelables ne faisaient pas partie du vocabulaire courant. Chez Talons de bois Laprairie, on achetait de longues planches de bois que l’on sciait, planait et découpait en petits blocs. Ceux-ci, tournés, sablés, recouverts de tissu ou vernis, étaient expédiés aux clients dans des boîtes de carton. On chauffait la bâtisse avec les retailles. Les abondants résidus de bran de scie ou de copeaux (la ripe, comme on disait alors), étaient donnés aux cultivateurs de la région qui s’en servaient de litière ou de paillis. La lessive accrochée aux cordes à linge du voisinage était souvent recouverte de sciure ou de suie. Les ménagères ne s’en plaignaient qu’à voix basse, leurs maris le soupçonnaient à peine. La vie autour de l’usine était faite comme ça. On n’était pas pour se mettre à chialer contre ce qui ajoutait du beurre au pain ! Une à une, les usines de souliers ont fermé leurs portes, poussant au chômage une main-d’oeuvre souvent peu spécialisée. Le même phénomène s’est produit avec les usines de textile. La mondialisation (certains diront la « walmartisation ») commençait ses ravages dans les secteurs manufacturiers plus fragiles. Pourquoi payer cinquante dollars une paire de souliers qu’on pouvait se procurer pour quinze, même en sachant qu’elle provient d’un atelier de misère situé à l’autre bout du monde ? Quand les flammes ont ravagé l’usine, on ne l’a pas reconstruite. L’élément destructeur venait de raser un modèle qui, de toute manière, était devenu obsolète. Les photos sont de Roland Rouillier, sauf mention contraire. ...

    Vente de livres usagés

    Afin d’assurer un appui financier à nos principales activités, nos bénévoles se lancent à nouveau dans une vente de livres usagés qui aura lieu dans nos locaux les 3, 4 et 5 juin 2011. Vous êtes donc invités à venir nous porter vos livres usagés encore en bon état et susceptibles d’être revendus. Ne donnez à la SHLM que les livres que vous donneriez à un ami.

    Afin d’assurer un appui financier à nos principales activités, nos bénévoles se lancent à nouveau dans une vente de livres usagés qui aura lieu dans nos locaux les 3, 4 et 5 juin 2011. Vous êtes donc invités à venir nous porter vos livres usagés encore en bon état et susceptibles d’être revendus. Ne donnez à la SHLM que les livres que vous donneriez à un ami. ...

    À propos du bulletin

    Éditeur

    Société d’histoire de

    La Prairie-de-la-Magdeleine

    Dépôt légal 2002

    Bibliothèque nationale du Québec

    Bibliothèque nationale du Canada

    ISSN 1499-7312

    COLLABORATEURS :

    Coordination

    Gaétan Bourdages

    Rédaction

    Gaétan Bourdages

    Laurent Houde

    Jean Joly

    Révision

    Jean-Pierre Yelle

    Design graphique

    François-B. Tremblay

    www.bonmelon.com

    Impression

    SHLM

    Siège social

    249, rue Sainte-Marie

    La Prairie (Québec) J5R 1G1

    Téléphone

    450-659-1393

    Courriel

    [email protected]

    Site Web

    www.laprairie-shlm.com

    Les auteurs assument l’entière responsabilité du contenu de leurs articles et ce, à la complète exonération de l’éditeur.

    La Caisse populaire de La Prairie commandite l’impression du bulletin Au jour le jour.

    Éditeur Société d’histoire de La Prairie-de-la-Magdeleine Dépôt légal 2002 Bibliothèque nationale du Québec Bibliothèque nationale du Canada ISSN 1499-7312 COLLABORATEURS : Coordination Gaétan Bourdages Rédaction Gaétan Bourdages Laurent Houde Jean Joly Révision Jean-Pierre Yelle Design graphique François-B. Tremblay www.bonmelon.com Impression SHLM Siège social 249, rue Sainte-Marie La Prairie (Québec) J5R 1G1 Téléphone 450-659-1393 Courriel [email protected] Site Web www.laprairie-shlm.com Les auteurs assument l’entière responsabilité du contenu de leurs articles et ce, à la complète exonération de l’éditeur. La Caisse populaire de La Prairie commandite l’impression du bulletin Au jour le jour....

    Notre prochaine conférence: Les noms de famille dans une « société distincte »

    Le conférencier s’intéresse depuis plusieurs années aux noms de famille du Québec et nous livre l’état présent de ses recherches. Le caractère multiethnique du Québec favorise une meilleure compréhension du système utilisé en Occident pour nommer les personnes. On y aborde les particularités québécoises : noms dits, transformations de noms, créations originales, etc.

    Le conférencier s’intéresse depuis plusieurs années aux noms de famille du Québec et nous livre l’état présent de ses recherches. Le caractère multiethnique du Québec favorise une meilleure compréhension du système utilisé en Occident pour nommer les personnes. On y aborde les particularités québécoises : noms dits, transformations de noms, créations originales, etc....

    Un reposoir

    Cette photo datant de 1914 ou 1914 montre un reposoir de la Fête Dieu érigé à l’angle sud-ouest des rues Saint- Jacques et Saint-Louis. C’est François Barbeau qui le 8 juillet 1827 avait fait don à la fabrique de cet emplacement « pour un reposoir sur la rue Saint-Louis ».

    Cette photo datant de 1914 ou 1914 montre un reposoir de la Fête Dieu érigé à l’angle sud-ouest des rues Saint- Jacques et Saint-Louis. C’est François Barbeau qui le 8 juillet 1827 avait fait don à la fabrique de cet emplacement « pour un reposoir sur la rue Saint-Louis ». ...