Sélection d'une édition

    Généalogie de Catherine Fortin

    Re : Généalogie de Mme Jacqueline Pigeon.

    Une coquille s'est glissée dans le « Au jour le jour » de juin. Le prénom de l'époux de Jacqueline aurait dû se lire non pas Charles mais, feu Alphonse Moquin ingénieur, fils de Charles et de Laurette Brossard. Regrets et sincères excuses.

    ***

    Ce mois-ci, les Fortin

    Selon nos recherches, il y aurait 4 souches de Fortin qui se sont établies en Nouvelle-France.

    Julien Fortin Bellefontaine, originaire de Mamers Sarthe (1621-1676) coseigneur de Beaupré.

    François Fortin médecin (1639-1670) époux de Marie Jolliet, sœur de Louis Jolliet explorateur et découvreur du Mississipi. Il était aussi hydrographe du roi.

    Pierre Fortin (1715-1741) originaire de Rouen, marchand à Montréal, épousa Françoise Le Pailleur fille de Michel Le Pailleur notaire Royal, et de Catherine Jérémie, la première herboriste.

    Pierre Fortin (1797-1868) s'établit à La Prairie dans les années 1830. Entrepreneur en menuiserie. Il contractait mariage en avril 1830 à Verchères avec Julie Duvernay sœur ainée de Ludger Duvernay, fondateur du journal « La Minerve » et de la Société Saint-Jean-Baptiste (1834).

    7ème génération : Amable Réjero, Regereau.

    Nous constatons dans le livre de Référence de Terrebonne que le nom « Regereau » a deux orthographes différentes.

    René Jetté, auteur du Dictionnaire généalogique du Québec et du Répertoire des noms de famille du Québec, normalise à Regereau le nom de l'épouse, celui-ci apparaît dans les registres pour la première fois en 1758.

     

    Généalogie de Catherine Fortin
     

    Catherine Fortin

     

     

    Claude Fortin

    Candiac

    1er août 1970

    Suzanne Barbeau

    (fille de René et Mathilde Rochon)

    André Fortin

    Montréal

    Saint-Louis-de-Gonzague

    7 février 1942

    Gabrielle Lalande

    (fille de Michel et Berthe Chaurette)

    Albert Fortin

    Montréal

    La-Nativité-de-la-Sainte-Vierge

    8 mai 1911

    Béatrice St-Arnaud

    (fille de Joseph et Georgette Le Houillé)

    Frédéric Fortin

    Notre-Dame de Montréal

    17 octobre 1865

    Adélaïde Lafrance Daragon

    (fille d’Antoine et Louise Renoud)

    Pierre-Antoine Fortin

    Terrebonne

    19 septembre 1825

    Marguerite Barret

    (fille de Michel et Catherine Farell)

    Pierre Fortin

    Île-Jésus

    Saint-François-de-Sales

    19 septembre 1796

    M. Amable Réjero

    (fille de Louis et M. Josephte Bouchette)

    Pierre Fortin

    Terrebonne

    22 octobre 1764

    M. Josephe Comparet

    (fille de François et M. Josephte Bélisle)

    Pierre-Nic. Fortin

    Notre-Dame de Québec

    5 mars 1737

    Françoise Le Pailleur

    (fille de F. Michel et Cat.-Gertrude Jérémie)

    Pierre Fortin

    De Saint-Pierre de Rouen, Normandie

    Catherine Legras

     

    Re : Généalogie de Mme Jacqueline Pigeon. Une coquille s'est glissée dans le « Au jour le jour » de juin. Le prénom de l'époux de Jacqueline aurait dû se lire non pas Charles mais, feu Alphonse Moquin ingénieur, fils de Charles et de Laurette Brossard. Regrets et sincères excuses. *** Ce mois-ci, les Fortin Selon nos recherches, il y aurait 4 souches de Fortin qui se sont établies en Nouvelle-France. Julien Fortin Bellefontaine, originaire de Mamers Sarthe (1621-1676) coseigneur de Beaupré. François Fortin médecin (1639-1670) époux de Marie Jolliet, sœur de Louis Jolliet explorateur et découvreur du Mississipi. Il était aussi hydrographe du roi. Pierre Fortin (1715-1741) originaire de Rouen, marchand à Montréal, épousa Françoise Le Pailleur fille de Michel Le Pailleur notaire Royal, et de Catherine Jérémie, la première herboriste. Pierre Fortin (1797-1868) s'établit à La Prairie dans les années 1830. Entrepreneur en menuiserie. Il contractait mariage en avril 1830 à Verchères avec Julie Duvernay sœur ainée de Ludger Duvernay, fondateur du journal « La Minerve » et de la Société Saint-Jean-Baptiste (1834). 7ème génération : Amable Réjero, Regereau. Nous constatons dans le livre de Référence de Terrebonne que le nom « Regereau » a deux orthographes différentes. René Jetté, auteur du Dictionnaire généalogique du Québec et du Répertoire des noms de famille du Québec, normalise à Regereau le nom de l'épouse, celui-ci apparaît dans les registres pour la première fois en 1758.   Généalogie de Catherine Fortin   Catherine Fortin     Claude Fortin Candiac 1er août 1970 Suzanne Barbeau (fille de René et Mathilde Rochon) André Fortin Montréal Saint-Louis-de-Gonzague 7 février 1942 Gabrielle Lalande (fille de Michel et Berthe Chaurette) Albert Fortin Montréal La-Nativité-de-la-Sainte-Vierge 8 mai 1911 Béatrice St-Arnaud (fille de Joseph et Georgette Le Houillé) Frédéric Fortin Notre-Dame de Montréal 17 octobre 1865 Adélaïde Lafrance Daragon (fille d’Antoine et Louise Renoud) Pierre-Antoine Fortin Terrebonne 19 septembre 1825 Marguerite Barret (fille de Michel et Catherine Farell) Pierre Fortin Île-Jésus Saint-François-de-Sales 19 septembre 1796 M. Amable Réjero (fille de Louis et M. Josephte Bouchette) Pierre Fortin Terrebonne 22 octobre 1764 M. Josephe Comparet (fille de François et M. Josephte Bélisle) Pierre-Nic. Fortin Notre-Dame de Québec 5 mars 1737 Françoise Le Pailleur (fille de F. Michel et Cat.-Gertrude Jérémie) Pierre Fortin De Saint-Pierre de Rouen, Normandie Catherine Legras  ...

    Dons : livres, recueils, généalogies

    • Cahier d'histoire, Société d'histoire de Beloeil, juin 1994.
    • Souvenir d'un Centenaire, 1846-1946, Hospice N.-D. des Sept Douleurs, La Prairie, don de Lucille Demers-Lamarre.
    • Louis Vermette et Olivine Lantagne, descendants et ancêtres, don de Colombe Vermette.
    • Assemblée nationale du Québec, Débats de l'Assemblée Législative, 1875-1878, don de Colombe Vermette.
    • Livre d'heures pour moines, 1732, 12" par 15", volume original, reliure de cuir — Très grande valeur archivistique. Don de Colombe Vermette.
    • Album de coupures de presse fin XIXe siècle, début XXe siècle, don de René Barbeau.
    • Archives nationales du Canada, Revues, publications, orientations, feuillets, 9 items. Don de Richard Bélisle, député de La Prairie à la Chambre des Communes.
    • Les Dumurier, dit Azur ou Hazure 1733" Lazure. Complément généalogique de l'œuvre déjà remise par M. Laurent Lazure de 1760 à 1944. Don de Laurent Lazure.
    • Généalogie des Baudin, Beaudin, Boyer, Caron, Chartier dit Robert, Martin, Monière et Toupin. Don de madame Pauline Boyer.
    • Généalogie des Hurteau de St-Anicet et Huntingdon, Hurteau de Valleyfield, Hurteau Les Cèdres et Soulanges. Don de monsieur Roger Wilcott.
    • De mère en fille, un journal. Période de 1901 à 1940. Don de monsieur Jean-Pierre Yelle.
    • Photocopies de plusieurs photos et documents suite au prêt consenti par Mlle Alice Bouthillier, Jeannine et Gilles Lussier de même que monsieur Claude Taillefer, échevin.
    Cahier d'histoire, Société d'histoire de Beloeil, juin 1994. Souvenir d'un Centenaire, 1846-1946, Hospice N.-D. des Sept Douleurs, La Prairie, don de Lucille Demers-Lamarre. Louis Vermette et Olivine Lantagne, descendants et ancêtres, don de Colombe Vermette. Assemblée nationale du Québec, Débats de l'Assemblée Législative, 1875-1878, don de Colombe Vermette. Livre d'heures pour moines, 1732, 12" par 15", volume original, reliure de cuir -- Très grande valeur archivistique. Don de Colombe Vermette. Album de coupures de presse fin XIXe siècle, début XXe siècle, don de René Barbeau. Archives nationales du Canada, Revues, publications, orientations, feuillets, 9 items. Don de Richard Bélisle, député de La Prairie à la Chambre des Communes. Les Dumurier, dit Azur ou Hazure 1733" Lazure. Complément généalogique de l'œuvre déjà remise par M. Laurent Lazure de 1760 à 1944. Don de Laurent Lazure. Généalogie des Baudin, Beaudin, Boyer, Caron, Chartier dit Robert, Martin, Monière et Toupin. Don de madame Pauline Boyer. Généalogie des Hurteau de St-Anicet et Huntingdon, Hurteau de Valleyfield, Hurteau Les Cèdres et Soulanges. Don de monsieur Roger Wilcott. De mère en fille, un journal. Période de 1901 à 1940. Don de monsieur Jean-Pierre Yelle. Photocopies de plusieurs photos et documents suite au prêt consenti par Mlle Alice Bouthillier, Jeannine et Gilles Lussier de même que monsieur Claude Taillefer, échevin. ...

    Exposition : l’industrie des briqueteries dans la région de La Prairie

    La Société historique de La Prairie est fière de vous inviter à sa nouvelle exposition pour la période estivale, exposition qui aura comme thème : l’industrie des briqueteries dans la région de La Prairie. Pour l’événement, plusieurs photos et documents anciens seront exposés, ainsi que plusieurs objets authentiques fournis par les compagnies de briques elles-mêmes. On se donne donc rendez-vous au musée du Vieux Marché situé au 249 rue Sainte-Marie (La Prairie) et ce, du 1er juillet au 5 septembre, entre 10 : 00 et 16 : 00 heures (lundi au vendredi) et de 12 : 00 à 16 : 00 heures (dimanche).

    Pour de plus amples informations, on contacte le personnel du musée au 659-1393.

    Hélène Charuest

    Responsable des expositions

    La Société historique de La Prairie est fière de vous inviter à sa nouvelle exposition pour la période estivale, exposition qui aura comme thème : l’industrie des briqueteries dans la région de La Prairie. Pour l’événement, plusieurs photos et documents anciens seront exposés, ainsi que plusieurs objets authentiques fournis par les compagnies de briques elles-mêmes. On se donne donc rendez-vous au musée du Vieux Marché situé au 249 rue Sainte-Marie (La Prairie) et ce, du 1er juillet au 5 septembre, entre 10 : 00 et 16 : 00 heures (lundi au vendredi) et de 12 : 00 à 16 : 00 heures (dimanche). Pour de plus amples informations, on contacte le personnel du musée au 659-1393. Hélène Charuest Responsable des expositions...

    Généalogie de Jacqueline Pigeon

    Jacqueline Pigeon

    St-Léonard de Port Maurice

    03-05-1958

    Charles Moquin

    (Alphonse et Laurette Brossard)

    Télesphore Pigeon

    Saint-Léonard

    19-10-1921

    Maria Pigeon

    (Fabien et Marie-Louise Corbeil)

    Antoine Pigeon

    St-François d’Assise Longue Pointe

    2-10-1875

    Catherine Pépin

    (Henry et Catherine Chartier Robert)

    Antoine Pigeon

    Sault-au-Récollet

    06-02-1849

    Émilie Dagenais

    (François et Magdeleine Corbeil)

    Jean-Baptiste Pigeon

    Longue-Pointe

    24-01-1822

    M. Josephte Archambault

    (Jean-Baptiste et M. Agnes Turcot)

    Antoine Pigeon

    Longue-Pointe

    24-01-1785

    Agathe Dufresne

    (Antoine et M. Archange Bouteillier)

    Antoine Pigeon

    Boucherville

    22-07-1749

    M. Anne Lamoureux

    (Louis et Madeleine Babin)

    François Pigeon

    Pointe-aux-Trembles

    15-10-1697

    Madeleine Étienne

    (Philippe et Marie Gravois)

    Pierre Pigeon

    Montréal

    20-11-1662

    Jeanne Godard

    ([veuve de Simon Roy] Robert et Antoinette Grandpierre de Charly-sur-Marne, diocèse de Soissons, Champagne)

    Claude Pigeon

    De Ste-Geneviève, bourg de Vauves, près de Paris, Île de France

    Françoise Philippe

     

    Pierre Pigeon, compagnon de Lambert Closse, ancêtre Québécois, quitte sa banlieue de Ste-Geneviève de Vauves près de Paris en 1662 pour s'embarquer à La Rochelle à destination de Ville Marie.

     

     

     

    Les parents de Jacqueline avaient un lien commun de parenté, ce qui était fréquent. Maria était la fille de Fabien qui était le frère d'Antoine.

    Voici les descendants de Jacqueline et de feu Alphonse Moquin :

    Odette, Agathe, Élise, Isabelle, plus six mignons petits enfants.

    Jacqueline partage beaucoup de son temps à la famille ainsi qu'à de nombreuses activités. Marguillier de la paroisse de la Nativité, guide touristique, bazar missionnaire …

    Petit potin : saviez-vous que le centre commercial « Les galeries d'Anjou » a été construit sur une petite terre appartenant au père de Jacqueline.

     

    Jacqueline Pigeon St-Léonard de Port Maurice 03-05-1958 Charles Moquin (Alphonse et Laurette Brossard) Télesphore Pigeon Saint-Léonard 19-10-1921 Maria Pigeon (Fabien et Marie-Louise Corbeil) Antoine Pigeon St-François d’Assise Longue Pointe 2-10-1875 Catherine Pépin (Henry et Catherine Chartier Robert) Antoine Pigeon Sault-au-Récollet 06-02-1849 Émilie Dagenais (François et Magdeleine Corbeil) Jean-Baptiste Pigeon Longue-Pointe 24-01-1822 M. Josephte Archambault (Jean-Baptiste et M. Agnes Turcot) Antoine Pigeon Longue-Pointe 24-01-1785 Agathe Dufresne (Antoine et M. Archange Bouteillier) Antoine Pigeon Boucherville 22-07-1749 M. Anne Lamoureux (Louis et Madeleine Babin) François Pigeon Pointe-aux-Trembles 15-10-1697 Madeleine Étienne (Philippe et Marie Gravois) Pierre Pigeon Montréal 20-11-1662 Jeanne Godard ([veuve de Simon Roy] Robert et Antoinette Grandpierre de Charly-sur-Marne, diocèse de Soissons, Champagne) Claude Pigeon De Ste-Geneviève, bourg de Vauves, près de Paris, Île de France Françoise Philippe   Pierre Pigeon, compagnon de Lambert Closse, ancêtre Québécois, quitte sa banlieue de Ste-Geneviève de Vauves près de Paris en 1662 pour s'embarquer à La Rochelle à destination de Ville Marie.       Les parents de Jacqueline avaient un lien commun de parenté, ce qui était fréquent. Maria était la fille de Fabien qui était le frère d'Antoine. Voici les descendants de Jacqueline et de feu Alphonse Moquin : Odette, Agathe, Élise, Isabelle, plus six mignons petits enfants. Jacqueline partage beaucoup de son temps à la famille ainsi qu'à de nombreuses activités. Marguillier de la paroisse de la Nativité, guide touristique, bazar missionnaire ... Petit potin : saviez-vous que le centre commercial « Les galeries d'Anjou » a été construit sur une petite terre appartenant au père de Jacqueline.  ...

    Nouvelles

    Chers amis,

    Depuis quelques jours déjà, les vestiges de la première palissade de bois à La Prairie alimentent nos conversations d'archéologue en herbe. Les hypothèses élaborées semblent se concrétiser quant à l'emplacement du fort de La Prairie. Monsieur Marcel Lamarche nous en parle dans les pages qui suivent.
     

    Exposition à la Bibliothèque de La Prairie

    Du 13 avril au 18 août 1994 se tient à la Bibliothèque une exposition de FAÏENCES, une collection regroupée par Jean-Claude Charuest. Vous ferez un voyage autour du monde en admirant de très belles pièces (assiettes, bols, pots, porte-fleurs … ) provenant de France, d'Italie, Portugal, Hollande, Autriche, Allemagne, Hongrie, Russie, Égypte, Maroc, Mexique, Colombie, Angleterre. Vous trouverez cette exposition au Complexe Saint-Laurent : 500, rue Saint-Laurent, La Prairie, 659-9135.
     

    Naissance

    Nos bons vœux de bonheur accompagnent les parents Guy Bergeron et Brigitte Fortin pour la naissance de bébé Louis-Olivier le 20 avril 1994.
     

    Prompt rétablissement

    Nous offrons nos meilleurs vœux de prompt rétablissement à Yolande et Réal Cuillierrier. Bon retour à la santé!

    Chers amis, Depuis quelques jours déjà, les vestiges de la première palissade de bois à La Prairie alimentent nos conversations d'archéologue en herbe. Les hypothèses élaborées semblent se concrétiser quant à l'emplacement du fort de La Prairie. Monsieur Marcel Lamarche nous en parle dans les pages qui suivent.   Exposition à la Bibliothèque de La Prairie Du 13 avril au 18 août 1994 se tient à la Bibliothèque une exposition de FAÏENCES, une collection regroupée par Jean-Claude Charuest. Vous ferez un voyage autour du monde en admirant de très belles pièces (assiettes, bols, pots, porte-fleurs ... ) provenant de France, d'Italie, Portugal, Hollande, Autriche, Allemagne, Hongrie, Russie, Égypte, Maroc, Mexique, Colombie, Angleterre. Vous trouverez cette exposition au Complexe Saint-Laurent : 500, rue Saint-Laurent, La Prairie, 659-9135.   Naissance Nos bons vœux de bonheur accompagnent les parents Guy Bergeron et Brigitte Fortin pour la naissance de bébé Louis-Olivier le 20 avril 1994.   Prompt rétablissement Nous offrons nos meilleurs vœux de prompt rétablissement à Yolande et Réal Cuillierrier. Bon retour à la santé!...

    Fouilles archéologiques sur les lots 94 et 95 à La Prairie

    Suite à l’incendie de la taverne Laprairie, au 107 de la rue Saint-Georges à La Prairie, durant l'hiver 1993-94, la SHLM demandait au Ministère des Affaires culturelles du Québec que des fouilles archéologiques, en vue de retrouver les vestiges de la palissade du fort de La Prairie, soient entreprises sur ce site, avant la reconstruction d'un nouvel immeuble à cet endroit. La SHLM soumettait alors avec sa demande au ministère un dossier fort complet incluant la liste des occupations successives des lots 94 et 95 (107 Saint-Georges) ainsi que des plans montrant la localisation de la palissade.

    Avec l'aide financière de la ville de La Prairie et d'une subvention consentie par le député Lazure, le Ministère accordait un contrat à une firme montréalaise d'archéologues. A cause de budgets limités, le travail de ces archéologues devait se limiter à un forage exploratoire et la soumission d'un rapport.

    Le 1 juin 1994, l'archéologue François Verronneau procède donc au forage de trois trous du côté de la rue Saint-Ignace, dans l'ancien stationnement de la taverne Laprairie. L'analyse sommaire des sols ainsi recueillis ne révèle rien qui puisse nous laisser croire à l'existence de la palissade à ces endroits. Mais, l'archéologue se propose de recommander, dans son rapport au Ministère, qu'une surveillance archéologique soit faite lors de l'excavation de la cave du nouvel immeuble qui doit être construit sur le site de la taverne.

    Le 6 juin, les travaux d'excavation commencent avant même que l’archéologue ait soumis son rapport, donc sans que celui-ci ait eu le mandat de faire une surveillance. A défaut, une surveillance des excavations est donc assurée bénévolement par des membres de la SHLM. Les travaux effectués ce premier jour, qui consistent principalement à enlever le recouvrement des stationnements et d'enlever du site les rebuts de la démolition de la vielle taverne n'apportent rien de nouveau dans la recherche des vestiges de la palissade.

    L'excavation se poursuit le lendemain, toujours sous la surveillance de membres de la SHLM. L'opérateur de l'excavatrice, mis au courant de la forte possibilité de découvertes archéologiques lors de l'excavation, est très coopératif.

    Lorsque l'excavation atteint un niveau d’environ huit pieds, alors dans un sol sablonneux, cinq pieux de bois de longueur variant d'environ 6 à 36 pouces sont alors excavés. Les endroits où ces morceaux de pieux ont été trouvés forment un patron qui correspond presque exactement au plan qui avait été fait de la palissade à cet endroit. Il ne fait donc pas de doute aux membres de la SHLM qui surveillent les travaux que ce sont bien des pieux de la vieille palissade.

    L'archéologue est alors informé par téléphone de cette découverte et il promet d'être présent le lendemain matin. D'autres articles tel vaisselle, poterie, bouteilles, etc. sont aussi retirés de la terre excavée.

    Le matin du 8 juin, vers huit heures trente, les archéologues François Verronneau et Pierre Cardinal se présentent sur le site. Le creusage étant alors complètement terminé, de la pierre concassée a même été déversée dans une partie de l'excavation. Mais dans la partie non encore recouverte de pierres concassées on peut très clairement entrevoir des traces noires sur le sable moins foncé. Les archéologues détectent tout de suite qu'il s'agit là des vestiges d'une tranchée qui avait été creusée pour y recevoir les pieux de la palissade. On peut voir aussi ce qui serait probablement le site d'une autre construction hors de la palissade mais postérieure à celle-ci. D'autres pieux sont aussi visibles dans la tranchée.

    Les médias sont avisés de ces découvertes, et tout est mis en œuvre pour retarder les travaux de construction et pour obtenir du Ministère que des fouilles archéologiques plus complètes soient faites sur ce site.

    En conclusion, cette première phase des fouilles nous aura permis d'abord de voir l'emplacement de la palissade construite en 1686 et même de toucher les pieux. De plus, elle nous aura aussi permis de vérifier l'exactitude des plans dressés à l'été 1993 par la SHLM dans lesquels on situait le vieux fort sur un plan du cadastre actuel. Mais elle soulève aussi des questions. Quel est cet emplacement immédiatement à l'extérieur de la palissade, de quand date-t-il? À quoi correspondent ces autres traces de tranchée tout près des fondations de l'ancienne taverne et adjacentes à celle de la palissade?

    Autant de questions qui rendront cette deuxième phase tant désirée encore plus intéressante.

    Suite à l’incendie de la taverne Laprairie, au 107 de la rue Saint-Georges à La Prairie, durant l'hiver 1993-94, la SHLM demandait au Ministère des Affaires culturelles du Québec que des fouilles archéologiques, en vue de retrouver les vestiges de la palissade du fort de La Prairie, soient entreprises sur ce site, avant la reconstruction d'un nouvel immeuble à cet endroit. La SHLM soumettait alors avec sa demande au ministère un dossier fort complet incluant la liste des occupations successives des lots 94 et 95 (107 Saint-Georges) ainsi que des plans montrant la localisation de la palissade. Avec l'aide financière de la ville de La Prairie et d'une subvention consentie par le député Lazure, le Ministère accordait un contrat à une firme montréalaise d'archéologues. A cause de budgets limités, le travail de ces archéologues devait se limiter à un forage exploratoire et la soumission d'un rapport. Le 1 juin 1994, l'archéologue François Verronneau procède donc au forage de trois trous du côté de la rue Saint-Ignace, dans l'ancien stationnement de la taverne Laprairie. L'analyse sommaire des sols ainsi recueillis ne révèle rien qui puisse nous laisser croire à l'existence de la palissade à ces endroits. Mais, l'archéologue se propose de recommander, dans son rapport au Ministère, qu'une surveillance archéologique soit faite lors de l'excavation de la cave du nouvel immeuble qui doit être construit sur le site de la taverne. Le 6 juin, les travaux d'excavation commencent avant même que l’archéologue ait soumis son rapport, donc sans que celui-ci ait eu le mandat de faire une surveillance. A défaut, une surveillance des excavations est donc assurée bénévolement par des membres de la SHLM. Les travaux effectués ce premier jour, qui consistent principalement à enlever le recouvrement des stationnements et d'enlever du site les rebuts de la démolition de la vielle taverne n'apportent rien de nouveau dans la recherche des vestiges de la palissade. L'excavation se poursuit le lendemain, toujours sous la surveillance de membres de la SHLM. L'opérateur de l'excavatrice, mis au courant de la forte possibilité de découvertes archéologiques lors de l'excavation, est très coopératif. Lorsque l'excavation atteint un niveau d’environ huit pieds, alors dans un sol sablonneux, cinq pieux de bois de longueur variant d'environ 6 à 36 pouces sont alors excavés. Les endroits où ces morceaux de pieux ont été trouvés forment un patron qui correspond presque exactement au plan qui avait été fait de la palissade à cet endroit. Il ne fait donc pas de doute aux membres de la SHLM qui surveillent les travaux que ce sont bien des pieux de la vieille palissade. L'archéologue est alors informé par téléphone de cette découverte et il promet d'être présent le lendemain matin. D'autres articles tel vaisselle, poterie, bouteilles, etc. sont aussi retirés de la terre excavée. Le matin du 8 juin, vers huit heures trente, les archéologues François Verronneau et Pierre Cardinal se présentent sur le site. Le creusage étant alors complètement terminé, de la pierre concassée a même été déversée dans une partie de l'excavation. Mais dans la partie non encore recouverte de pierres concassées on peut très clairement entrevoir des traces noires sur le sable moins foncé. Les archéologues détectent tout de suite qu'il s'agit là des vestiges d'une tranchée qui avait été creusée pour y recevoir les pieux de la palissade. On peut voir aussi ce qui serait probablement le site d'une autre construction hors de la palissade mais postérieure à celle-ci. D'autres pieux sont aussi visibles dans la tranchée. Les médias sont avisés de ces découvertes, et tout est mis en œuvre pour retarder les travaux de construction et pour obtenir du Ministère que des fouilles archéologiques plus complètes soient faites sur ce site. En conclusion, cette première phase des fouilles nous aura permis d'abord de voir l'emplacement de la palissade construite en 1686 et même de toucher les pieux. De plus, elle nous aura aussi permis de vérifier l'exactitude des plans dressés à l'été 1993 par la SHLM dans lesquels on situait le vieux fort sur un plan du cadastre actuel. Mais elle soulève aussi des questions. Quel est cet emplacement immédiatement à l'extérieur de la palissade, de quand date-t-il? À quoi correspondent ces autres traces de tranchée tout près des fondations de l'ancienne taverne et adjacentes à celle de la palissade? Autant de questions qui rendront cette deuxième phase tant désirée encore plus intéressante....

    Généalogie de Denis Lazure

    Thomas Lazure

    St-Cyprien de Napierville

    11 septembre 1917

    Berthe Durivage

    (fille de Benoit et Fridoline Trudeau)

    Jean-Baptiste Lazure

    St-Michel de Napierville

    24 octobre 1876

    Marie-Ida Montchamp

    (fille de Vital et Célonie Lanctôt)

    Basile Lazure

    St-Constant

    16 octobre 1837

    Émérante Longtin

    (fille de André et Suzanne Tremblay)

    Bazile Azure

    St-Constant

    21 novembre 1803

    Catherine Robidoux

    (fille de Antoine et Marie-Anne Ste-Marie)

    Antoine Azure

    Sorel

    6 avril 1769

    Marie-Louise Frappier

    (fille de Hilaire et Catherine Riel)

    Michel Dumurier dit Hazeur

    St-François-du-Lac

    30 avril 1731

    Marie-Madeleine Bibeau

    (fille de Pierre et Renée Parenteau)

     

    L’on ne connaît pas à ce jour l’origine de Michel. On sait qu’il est décédé à 91 ans, il serait donc né vers 1697. Le notaire Puyperoux de la Fosse lui attribue le nom Dumurier dit Hazeur vers le mois de mai 1733, soit 16 mois après son mariage.

     

    Documentation fournie par Laurent G. Lazure.

     

    Thomas Lazure St-Cyprien de Napierville 11 septembre 1917 Berthe Durivage (fille de Benoit et Fridoline Trudeau) Jean-Baptiste Lazure St-Michel de Napierville 24 octobre 1876 Marie-Ida Montchamp (fille de Vital et Célonie Lanctôt) Basile Lazure St-Constant 16 octobre 1837 Émérante Longtin (fille de André et Suzanne Tremblay) Bazile Azure St-Constant 21 novembre 1803 Catherine Robidoux (fille de Antoine et Marie-Anne Ste-Marie) Antoine Azure Sorel 6 avril 1769 Marie-Louise Frappier (fille de Hilaire et Catherine Riel) Michel Dumurier dit Hazeur St-François-du-Lac 30 avril 1731 Marie-Madeleine Bibeau (fille de Pierre et Renée Parenteau)   L’on ne connaît pas à ce jour l’origine de Michel. On sait qu’il est décédé à 91 ans, il serait donc né vers 1697. Le notaire Puyperoux de la Fosse lui attribue le nom Dumurier dit Hazeur vers le mois de mai 1733, soit 16 mois après son mariage.   Documentation fournie par Laurent G. Lazure.  ...

    Assemblée générale

    Nous vous rappelons que le 15 juin prochain se tiendra l'assemblée générale des membres de notre Société. Un poste de vice-président et de secrétaire seront à combler. Nous comptons sur votre participation afin d'assurer l'appui nécessaire et combien précieux pour maintenir la vivacité de notre organisme.

    Nous vous rappelons que le 15 juin prochain se tiendra l'assemblée générale des membres de notre Société. Un poste de vice-président et de secrétaire seront à combler. Nous comptons sur votre participation afin d'assurer l'appui nécessaire et combien précieux pour maintenir la vivacité de notre organisme....

    Activités de l’année 93-94 de la S.H.L.M.

    Parmi les projets de l'année 1993-1994, signalons la cueillette des données, la correction et les recherches complémentaires pour la publication d'un répertoire de baptêmes et sépultures informatisé s'échelonnant des années 1670 à 1994.

     

    Les jeunes étudiants des écoles primaires de La Prairie, niveau 3e année, utilisent un cahier pédagogique qui est le résultat de la collaboration de la S.H.L.M., de la commission scolaire du Goéland et du Ministère de la Culture. À l'aide de photos d’époque et de textes explicatifs les jeunes vont dans le passé (50 ans) et prennent connaissance de l'évolution et des différences entre hier et aujourd'hui.

     

    À partir des données puisées dans le Fonds administratif des Jésuites, nous avons produit 3 plans du Vieux La Prairie à différentes époques (1702, 1780 et 1836). Ces plans ont été superposés sur un plan cadastral de 1978.

     

    Notre bibliothèque, section histoire, a été classifiée puis informatisée.

     

    L'exposition actuellement en cours au local de la Société, est la somme des recherches effectuées pour huit familles pionnières de La Prairie, familles qui ont encore des descendants chez nous. Le cahier personnalisé diffuse une impressionnante documentation de ces familles : concessions de terres, actes notariés de ventes ou achats de terres, inventaire de biens après décès, généalogie en ligne directe, etc. Nous attachons une grande importance à la DIFFUSION des connaissances acquises lors de nos recherches.

     

    Nos nombreux membres-bénévoles qui travaillent assidûment sur les projets reçoivent l'aide d'employés que nous pouvons engager par le biais de subventions gouvernementales.

     

    Avec la belle saison commencent les visites guidées. Déjà, le 26 avril, nous avons reçu un groupe de 35 personnes de Valleyfield. Ces touristes ont visité l'église, l'arrondissement historique et le musée sous la direction de guides compétents.

     

    Suite à sa demande, la responsable des loisirs pour la Ville de Longueuil a reçu la documentation pour des visites de jeunes de camps de jour, pendant l'été. Ces jeunes dont l'âge varie de 5 à 12 ans seront transportés par autobus. Ces jeunes feront la visite de l'arrondissement historique accompagnés par nos guides-étudiants.

     

    L'été dernier, 1993, nous avons reçu au-delà de 3 000 visiteurs. Ceux-ci venaient de la région, du Québec et des États-Unis. Ils ont visité notre Vieux-La Prairie et plusieurs étaient venus dans l'espoir de recueillir des renseignements sur leur ancêtre originaire de La Prairie. Grâce à toutes nos données informatisées nous avons pu les renseigner à leur satisfaction.

     

    Grâce à l'appui constant de la Ville de La Prairie nous pouvons travailler dans des conditions matérielles qui font l'envie des Sociétés historiques environnantes. L'appui financier de nos députés nous aide également.

     

    En plus de ces événements, la réalisation d'un concert au profit de la Société ainsi que des activités plus courantes comme les conférences, la généalogie du mardi soir, la publication mensuelle du « Au jour le jour », enfin, une foule de gestes qui montrent que cette Société est bien vivante.

     

    Fondée en 1972, la S.H.L.M. a progressé d'une manière impressionnante. Merci à tous pour votre appui très précieux. Bienvenue à notre local où vous pourrez constater l'ampleur de nos réalisations.

    Parmi les projets de l'année 1993-1994, signalons la cueillette des données, la correction et les recherches complémentaires pour la publication d'un répertoire de baptêmes et sépultures informatisé s'échelonnant des années 1670 à 1994.   Les jeunes étudiants des écoles primaires de La Prairie, niveau 3e année, utilisent un cahier pédagogique qui est le résultat de la collaboration de la S.H.L.M., de la commission scolaire du Goéland et du Ministère de la Culture. À l'aide de photos d’époque et de textes explicatifs les jeunes vont dans le passé (50 ans) et prennent connaissance de l'évolution et des différences entre hier et aujourd'hui.   À partir des données puisées dans le Fonds administratif des Jésuites, nous avons produit 3 plans du Vieux La Prairie à différentes époques (1702, 1780 et 1836). Ces plans ont été superposés sur un plan cadastral de 1978.   Notre bibliothèque, section histoire, a été classifiée puis informatisée.   L'exposition actuellement en cours au local de la Société, est la somme des recherches effectuées pour huit familles pionnières de La Prairie, familles qui ont encore des descendants chez nous. Le cahier personnalisé diffuse une impressionnante documentation de ces familles : concessions de terres, actes notariés de ventes ou achats de terres, inventaire de biens après décès, généalogie en ligne directe, etc. Nous attachons une grande importance à la DIFFUSION des connaissances acquises lors de nos recherches.   Nos nombreux membres-bénévoles qui travaillent assidûment sur les projets reçoivent l'aide d'employés que nous pouvons engager par le biais de subventions gouvernementales.   Avec la belle saison commencent les visites guidées. Déjà, le 26 avril, nous avons reçu un groupe de 35 personnes de Valleyfield. Ces touristes ont visité l'église, l'arrondissement historique et le musée sous la direction de guides compétents.   Suite à sa demande, la responsable des loisirs pour la Ville de Longueuil a reçu la documentation pour des visites de jeunes de camps de jour, pendant l'été. Ces jeunes dont l'âge varie de 5 à 12 ans seront transportés par autobus. Ces jeunes feront la visite de l'arrondissement historique accompagnés par nos guides-étudiants.   L'été dernier, 1993, nous avons reçu au-delà de 3 000 visiteurs. Ceux-ci venaient de la région, du Québec et des États-Unis. Ils ont visité notre Vieux-La Prairie et plusieurs étaient venus dans l'espoir de recueillir des renseignements sur leur ancêtre originaire de La Prairie. Grâce à toutes nos données informatisées nous avons pu les renseigner à leur satisfaction.   Grâce à l'appui constant de la Ville de La Prairie nous pouvons travailler dans des conditions matérielles qui font l'envie des Sociétés historiques environnantes. L'appui financier de nos députés nous aide également.   En plus de ces événements, la réalisation d'un concert au profit de la Société ainsi que des activités plus courantes comme les conférences, la généalogie du mardi soir, la publication mensuelle du « Au jour le jour », enfin, une foule de gestes qui montrent que cette Société est bien vivante.   Fondée en 1972, la S.H.L.M. a progressé d'une manière impressionnante. Merci à tous pour votre appui très précieux. Bienvenue à notre local où vous pourrez constater l'ampleur de nos réalisations....

    Don

    La Société d'histoire de la Vallée du Richelieu, 1952-1992, par Diane Le Blanc, offert par Madame Nicole Poulin, présidente de la Société d'histoire du Haut-Richelieu.

    La Société d'histoire de la Vallée du Richelieu, 1952-1992, par Diane Le Blanc, offert par Madame Nicole Poulin, présidente de la Société d'histoire du Haut-Richelieu....