Conférences

L’Île-Perrot de 1672 à 1765

Au confluent des grandes routes qu’empruntent les explorateurs, les militaires et les populations amérindiennes, l’île joue souvent le rôle de point de ralliement pour ceux qui se dirigent vers les forts et les établissements français à l’intérieur du continent. C’est ainsi que s’organise un lieu de vie dynamique où se croisent des gens aux multiples destins : soldats, esclaves, marquise, évêque, commerçants, meuniers, fermiers, missionnaires, aubergistes, bûcherons, voyageurs… quelques-uns choisissent de demeurer sur place et forment un noyau dont les descendants habitent encore aujourd’hui l’Île-Perrot.

Rives et Dérives : la communauté de La Prairie et le fleuve Saint-Laurent : 1667-1900

Pour protéger le village des impressionnantes « eaux montées » » chargées de glace

Plaisir d’amour et crainte de Dieu

Toutes les sociétés ont imposé des limites à l’usage des plaisirs. Le conférencier propose un survol de la culture sexuelle ancienne dans un contexte québécois. Les péchés sexuels feront l’objet d’un examen détaillé. L’arbitrage des prêtres passe par le confessionnal. Il existe des actes que le curé n’a pas le pouvoir de pardonner. Ces péchés sont décrits à l’évêque qui impose telle ou telle pénitence.

Châteauguay et sa rivière

À l’arrivée des Européens, la rivière de Châteauguay était une voie de communication importante utilisée par le Amérindiens depuis des millénaires. Lorsque le marchand de fourrures Charles Le Moyne prit possession de la seigneurie en 1673, son objectif était tout d’abord d’établir un comptoir de traite fortifié sur l’ile St-Bernard et de profiter de cet axe de transport utilisé par les Iroquois. Des colons s’établirent sur les rives du lac St-Louis et de la rivière de Châteauguay. Plus tard, la rivière de Châteauguay deviendra jusqu’à la Conquête une véritable « autoroute » » de transport du bois coupé le long de ses berges.

« 

L’Affaire Raizenne

Cette conférence présentera un vidéo d’environ 50 minutes qui relate l’histoire des 150 massacres commis par les canadiens-français dans les années 1700 en Nouvelle-Angleterre, spécialement celui de Deerfield au Massachusetts, la prise de captifs par les indiens, la longue marche vers le Canada, leur captivité, leur changement de culture et de religion, à Montréal et à Oka, et leurs descendants jusqu’à nos jours.

Marguerite Viard, fille du roi devenue cleptomane

Marguerite Viard est une femme pratiquement inconnue en Nouvelle-France. Orpheline de père, elle arrive à Québec en 1671 avec le contingent des filles du roi. Après la rupture de deux contrats de mariage, elle épouse un soldat pour venir fonder un foyer à Chambly. Devenue veuve avec quatre enfants, elle se marie avec un maçon de Saint-Lambert. C’est à cet endroit que Marguerite aurait commençé à commettre des vols chez ses voisins.

Jos Montferrand, roi des forêts de l’Outaouais ou pilier de tavernes

Homme robuste, mesurant près de deux mètres, Montferrand sera tour à tour bûcheron, contremaître, draveur, cajeux et véritable modèle de fierté pour les francophones. Malheureusement, il a parfois mauvaise réputation et certains le considèrent comme un pilier de tavernes. Venez démystifier Montferrand et découvrir les différentes facettes de ce personnage fascinant de notre histoire.

Marguerite, première partie des chroniques de Chambly

Les chroniques de Chambly se veulent une vaste fresque de la bourgeoisie canadienne-française à l’époque du Bas-Canada. Qui étaient ces gens qui vivaient à Chambly autrefois, familles nobles et bourgeoises, médecins, notaires, marchands, curés, riches habitants et autres notables ? Comment vivaient-ils ? Ces notables ont reçu quel genre d’instruction ? Sont-ils cultivés ? À quoi occupent-ils leurs loisirs ? Louise Chevrier a épluché les sources premières de l’histoire : registres de paroisses, archives notariales, journaux et divers autres documents.

Morts accidentelles et violentes sous le régime français

En Nouvelle-France les causes de décès furent multiples. À part les épidémies et les autres maladies non épidémiques les habitants furent victimes de morts accidentelles et violentes… Plus de 2000 colons périrent de manières accidentelles ou violentes. Dans cette conférence, nous allons aborder ces différentes causes de décès : Noyades, naufrages, guerres, incendies, accidents de toute nature, les duels, les meurtres et les exécutions.

Pierre Lemoyne d’Iberville

Le conférencier fera rapport de ses plus récentes recherches dans les Archives de La Havane de Cuba, ville où est mort notre héros national : ‘Pierre le Moyne d’Iberville’ Sa sépulture est inscrite dans les registres de la cathédrale de La Havane, le même jour que le gouverneur et capitaine général de l’île de Cuba : ‘Don Pedro Alvarez de Villarin’, tous deux morts mystérieusement le même jour. Est-ce un complot britannique d’empoisonnement ou suite à une épidémie de fièvre jaune? Pourquoi d’Iberville est-il à Cuba en l’année 1706 et qui est ce second personnage mort à La Havane en 1710 sous le nom de Moin de Berbila?

Soumettre un rapport

Formulaire de rapport

Hidden
Hidden
Hidden
Nom
Hidden
This field is for validation purposes and should be left unchanged.