Sélection d'une édition

    La Fonderie Paquette

    La Société d’histoire de La Prairie-de-la-Magdeleine s’est enrichie récemment d’un document relatant l’histoire d’une des grandes entreprises de la municipalité durant la première moitié du XXe siècle, la Fonderie Paquette. De ses débuts en 1920 jusqu’à la dissolution de sa charte en 1978, en passant par son déménagement à Saint-Jean-sur-Richelieu en 1963, tout y est décrit en ordre chronologique.

    Plusieurs photos agrémentent la lecture de l’ouvrage dont une sur les ouvriers de la fonderie vers les années 1935.

    « C’est en écrivant la généalogie familiale que m’est venue l’idée de concentrer mes recherches sur la fonderie. Bien peu avait été écrit sur le sujet, quelques photos c’est tout. Malheureusement, tous ceux et celles qui auraient pu m'aider dans mes recherches sont décédés depuis longtemps. J'aurais voulu décrire quelle sorte d'homme était mon grand-père Albert Paquette.

    Fils d'ouvrier, mouleur de formation demeurant sur la rue de Gaspé à Montréal, il n'a pas hésité à l'âge de 32 ans à acheter une fonderie à La Prairie et y déménager sa famille déjà composée de huit enfants. Six autres allaient naître à La Prairie ».

    La Société d’histoire de La Prairie-de-la-Magdeleine s’est enrichie récemment d’un document relatant l’histoire d’une des grandes entreprises de la municipalité durant la première moitié du XXe siècle, la Fonderie Paquette. De ses débuts en 1920 jusqu’à la dissolution de sa charte en 1978, en passant par son déménagement à Saint-Jean-sur-Richelieu en 1963, tout y est décrit en ordre chronologique. Plusieurs photos agrémentent la lecture de l’ouvrage dont une sur les ouvriers de la fonderie vers les années 1935. « C’est en écrivant la généalogie familiale que m’est venue l’idée de concentrer mes recherches sur la fonderie. Bien peu avait été écrit sur le sujet, quelques photos c’est tout. Malheureusement, tous ceux et celles qui auraient pu m'aider dans mes recherches sont décédés depuis longtemps. J'aurais voulu décrire quelle sorte d'homme était mon grand-père Albert Paquette. Fils d'ouvrier, mouleur de formation demeurant sur la rue de Gaspé à Montréal, il n'a pas hésité à l'âge de 32 ans à acheter une fonderie à La Prairie et y déménager sa famille déjà composée de huit enfants. Six autres allaient naître à La Prairie »....