Sélection d'une édition

    Nouvelles

    Le ministère de la Culture en Montérégie

    Mardi, 18 juin 1996, les représentants du ministère de la Culture en Montérégie, bureau de St-Jean, soit :

    – M. Louis Coté, responsable de l'aide aux municipalités, mise en valeur du Patrimoine

    – M. Richard St-Pierre, responsable de l'archéologie el de l'aide aux organismes en matière du Patrimoine

    – M. Normand Rodrigue, responsable du Patrimoine bâti

    – Mme Danielle Thériault, directrice générale du bureau de St-Jean

    – M. Bernard Marel, urbaniste pour La ville de La Prairie

    ont effectué une visite officielle dans le Vieux-La Prairie et rencontré le Conseil de la SHLM.

    Mme Danielle Thériault en était à sa première visite dans l'arrondissement historique de La Prairie dont elle a fait valoir l'important potentiel. Elle a été impressionnée par l'ampleur des travaux de recherche et la quantité et la qualité de nos publications.

    Les membres du conseil municipal de La Prairie et la SHLM

    Par résolution du conseil, en date du 14 mai 1996, M. Claude Taillefer a été désigné représentant de la Ville auprès du Conseil de la SHLM. Dans le quartier que représente M. Taillefer à titre de conseiller, se trouve l'arrondissement historique. M. Taillefer a, depuis toujours, montré un intérêt marqué pour le Vieux-La Prairie. La SHLM se réjouit de cette nomination et remercie M. Taillefer ainsi que le conseil municipal.

    Décès

    Est décédée récemment madame Claire Robert, sœur de M. Viateur Robert.

    Le ministère de la Culture en Montérégie Mardi, 18 juin 1996, les représentants du ministère de la Culture en Montérégie, bureau de St-Jean, soit : – M. Louis Coté, responsable de l'aide aux municipalités, mise en valeur du Patrimoine – M. Richard St-Pierre, responsable de l'archéologie el de l'aide aux organismes en matière du Patrimoine – M. Normand Rodrigue, responsable du Patrimoine bâti – Mme Danielle Thériault, directrice générale du bureau de St-Jean - M. Bernard Marel, urbaniste pour La ville de La Prairie ont effectué une visite officielle dans le Vieux-La Prairie et rencontré le Conseil de la SHLM. Mme Danielle Thériault en était à sa première visite dans l'arrondissement historique de La Prairie dont elle a fait valoir l'important potentiel. Elle a été impressionnée par l'ampleur des travaux de recherche et la quantité et la qualité de nos publications. Les membres du conseil municipal de La Prairie et la SHLM Par résolution du conseil, en date du 14 mai 1996, M. Claude Taillefer a été désigné représentant de la Ville auprès du Conseil de la SHLM. Dans le quartier que représente M. Taillefer à titre de conseiller, se trouve l'arrondissement historique. M. Taillefer a, depuis toujours, montré un intérêt marqué pour le Vieux-La Prairie. La SHLM se réjouit de cette nomination et remercie M. Taillefer ainsi que le conseil municipal. Décès Est décédée récemment madame Claire Robert, sœur de M. Viateur Robert....

    Généalogie : Desnoyers dit Demaray

    Yves Des Noyers

    Nicole Lamer

    Christ-Roi de La Prairie

    23 juillet 1977

    Réal Lamer

    Gisèle Livock

    Rolland Des Noyers

    Ghislaine Hamel

    Saint-Michel de Rougemont

    26 juin 1952

    Donat Hamel

    Cécile Allard

    Pierre Desnoyers

    Éliane Beaulieu

    Sainte-Angèle de Monnoir, cté de Rouville

    24 octobre 1911

    Pierre-Euclide Bertrand dit Beaulieu

     

    Adélina Nadeau

    Joseph Desnoyers dit Demaray

    Axilda L’Homme

    Sainte-Brigide D’Iberville

    3 novembre 1874

    Joseph L’Homme

    Marguerite Cyr

    Jacques Desnoyers dit Demaray

    Julie Benoit dit Livernois

    Sainte-Brigide D’Iberville

    19 janvier 1846

    Joseph Benoît dit Livernois

    Julie L’Oiseau

    Jacques Desnoyers dit Demaray

    Agathe Lapré

    Saint-Jean-Baptiste, cté Rouville

    4 novembre 1806

    Frédéric-Christian Lapré

    Marie Carle dit Bellegarde

    Pierre de Noyer dit Demaray

    Marie Josette Cochon

    Saint-Joseph de Chambly

    19 août 1771

    Charles Cochon

    Marie-Françoise Dion

    Pierre Desnoyers dit Demaray

    Marie-Josephte Létourneau

    Saint-Joseph de Chambly

    5 juin 1737

    Bernard Létourneau

    Hélène Paquet

    Jean Desnoyers dit Demaray

    Marie-Thérèse Ménard dit Lafontaine, veuve de Jean-Baptiste Deniau

    Saint-Antoine de Longueuil, 29 février 1724

    marié à la Gaumine en 1709.

    Réhabilitation à Sainte-Famille de Boucherville le 28 février 1724.

    Jacques Ménard dit Lafontaine

    Catherine Forestier (Fortier) de Mervent, arr. de Fontenay-le-Comte, Poitou (Vendée), France.

    Mariage à La Gaumine (en France, sous Louis XIII et XIV). L’instigateur de ces épousailles improvisées est un certain Gaumin qui « se présenta devant son curé avec sa promise et deux témoins. Les deux amants exprimèrent, devant leur curé et les témoins, leur consentement matrimonial et s’en retournèrent chez eux. Ils prétendirent ensuite qu’ils avaient satisfait au décret et qu’ils étaient régulièrement mariés. De là le nom de mariage à la Gaumine, rare en N.-F. Ceux qui suivirent Gaumin allongèrent encore la corde. Ils entraient dans l’église pendant une messe quelconque, se mettaient dans le même banc puis, au moment de l’Élévation, se donnaient la main devant les deux témoins qu’ils avaient amenés. Le mariage était sans autre formalité ».

    Notre ami Rolland est né à Sainte-Angèle-de-Monnoir, comté de Rouville, le 11 janvier 1932, fils de cultivateur, benjamin d’une famille de 18 enfants. Il fit ses premières études à Sainte-Angèle-de-Monnoir. Il arriva sur le marché du travail en 1948 comme meunier à la Société Coopérative Agricole de Sainte-Angèle-de-Monnoir pendant cinq ans et gérant secrétaire pendant sept ans. Il arrive à La Prairie en 1961, y continue ses études à la polyvalente de la Magdeleine le soir, et ensuite au cégep de Longueuil en administration, gestion, droit et relations humaines. En 1960, il commence à travailler pour la compagnie Agrico Canada Ltée à Chambly pour une durée de vingt-deux ans. Il est représentant pour les ventes d’engrais chimiques et accède au poste d’assistant gérant. Son employeur lui paie des cours en marketing et en agronomie à Buffalo, NY, à l’Université d’Indianapolis et aussi à Sarasota, Floride. De 1982 à 1994, il est à l’emploi de William Houde Ltée comme vendeur d’engrais chimiques en province et de céréales de semences et fourragères. M. Des Noyers a une retraite très active depuis dix ans il fait partie de la chorale Chant O Vent de Candiac.

    Jean Desnoyers dit Demaray

    Après dix ans de recherches intenses, mon ancêtre Jean Desnoyers dit Demaray était d’origine inconnue. Connaissant la date de sa naissance, le sept septembre 1677, et celle de son décès, le six mars 1763, je consulte les archives disponibles au local de la Société historique, à la Bibliothèque municipale de Montréal et aux Archives nationales de Québec. Un jour, la Société reçoit de nouveaux livres sur les origines des Québécois (Indiens compris) provenant des Universités de Montréal et Québec.

    Ce fut pour moi le vrai départ. Jean Desnoyers dit Demaray était bien mon ancêtre. J’ai ensuite consulté le registre sur les Indiens du Québec, j’y ai découvert son baptême. Le parrain avait pour nom Desnoyers, et l’enfant Jean était le fils de Meskarominit, ce qui veut dire Demaray en abénaquis, et de Colette, tous deux Indiens de la réserve de la Mission Saint-Joseph de Sillery à Québec.

    Selon le Père Léo-Paul Hébert de Joliette, il est bien possible que le petit Jean ait été élevé par son parrain. J’ai visité la réserve indienne abénaquise d’Odanak à Pierreville, le tiers des Indiens portent des noms de blancs. Donc, pour Desnoyers, il n’est pas étonnant, disent-ils, qu’on entende Desnoyers dit Demaray.

    J’ai communiqué alors avec plusieurs communautés religieuses, dont celle des Frères de l’Instruction chrétienne; ce fut le Père Adrien Pouliot, aumônier, 86 ans, archiviste-historien retraité, qui me servit de guide dans tous les registres des Églises et de la Cathédrale de Québec. Mais c’est aux Archives nationales que nous avons trouvé les registres des Indiens; notre petit Jean était bien là. Voici, traduit du latin par le père Pouliot, ce qu’on pouvait lire le 8 décembre 1677.

    « Je Jacques Vauthier, j’ai baptisé sans les cérémonies un enfant abénaquis d’un jour né ayant comme père de Meskarominit, catéchumène abénaquis, et comme mère de Colette abénaquise, tous deux mariés. Le nom de Jean lui a été destiné. Les cérémonies furent supplées par après le 12 décembre. Le parrain fut le nommé Desnoyers. Le 12 décembre, les cérémonies ont été complétées. »

    J’ai poursuivi mes recherches à Québec et aux environs et je n’ai trouvé qu’un seul Desnoyers, dont le prénom était Charle. Il était propriétaire terrien. Peut-être était-ce lui, le fameux parrain que je cherchais.

    Pour finir, Jean Desnoyers dit Demaray s’est marié à Boucherville à Marie-Thérèse Ménard dit Lafontaine; de leur union naquirent huit enfants. Ils demeuraient dans le Rang Tremblay à Longueuil. Il était soldat de la Compagnie Levilliers, décédé et inhumé à Saint-Philippe le 6 mars 1763 à 86 ans.

    PS : Ceci est le compte-rendu de mes recherches officieuses de l’année 1988.

    Yves Des Noyers Nicole Lamer Christ-Roi de La Prairie 23 juillet 1977 Réal Lamer Gisèle Livock Rolland Des Noyers Ghislaine Hamel Saint-Michel de Rougemont 26 juin 1952 Donat Hamel Cécile Allard Pierre Desnoyers Éliane Beaulieu Sainte-Angèle de Monnoir, cté de Rouville 24 octobre 1911 Pierre-Euclide Bertrand dit Beaulieu   Adélina Nadeau Joseph Desnoyers dit Demaray Axilda L’Homme Sainte-Brigide D’Iberville 3 novembre 1874 Joseph L’Homme Marguerite Cyr Jacques Desnoyers dit Demaray Julie Benoit dit Livernois Sainte-Brigide D’Iberville 19 janvier 1846 Joseph Benoît dit Livernois Julie L’Oiseau Jacques Desnoyers dit Demaray Agathe Lapré Saint-Jean-Baptiste, cté Rouville 4 novembre 1806 Frédéric-Christian Lapré Marie Carle dit Bellegarde Pierre de Noyer dit Demaray Marie Josette Cochon Saint-Joseph de Chambly 19 août 1771 Charles Cochon Marie-Françoise Dion Pierre Desnoyers dit Demaray Marie-Josephte Létourneau Saint-Joseph de Chambly 5 juin 1737 Bernard Létourneau Hélène Paquet Jean Desnoyers dit Demaray Marie-Thérèse Ménard dit Lafontaine, veuve de Jean-Baptiste Deniau Saint-Antoine de Longueuil, 29 février 1724 marié à la Gaumine en 1709. Réhabilitation à Sainte-Famille de Boucherville le 28 février 1724. Jacques Ménard dit Lafontaine Catherine Forestier (Fortier) de Mervent, arr. de Fontenay-le-Comte, Poitou (Vendée), France. Mariage à La Gaumine (en France, sous Louis XIII et XIV). L’instigateur de ces épousailles improvisées est un certain Gaumin qui « se présenta devant son curé avec sa promise et deux témoins. Les deux amants exprimèrent, devant leur curé et les témoins, leur consentement matrimonial et s’en retournèrent chez eux. Ils prétendirent ensuite qu’ils avaient satisfait au décret et qu’ils étaient régulièrement mariés. De là le nom de mariage à la Gaumine, rare en N.-F. Ceux qui suivirent Gaumin allongèrent encore la corde. Ils entraient dans l’église pendant une messe quelconque, se mettaient dans le même banc puis, au moment de l’Élévation, se donnaient la main devant les deux témoins qu’ils avaient amenés. Le mariage était sans autre formalité ». Notre ami Rolland est né à Sainte-Angèle-de-Monnoir, comté de Rouville, le 11 janvier 1932, fils de cultivateur, benjamin d’une famille de 18 enfants. Il fit ses premières études à Sainte-Angèle-de-Monnoir. Il arriva sur le marché du travail en 1948 comme meunier à la Société Coopérative Agricole de Sainte-Angèle-de-Monnoir pendant cinq ans et gérant secrétaire pendant sept ans. Il arrive à La Prairie en 1961, y continue ses études à la polyvalente de la Magdeleine le soir, et ensuite au cégep de Longueuil en administration, gestion, droit et relations humaines. En 1960, il commence à travailler pour la compagnie Agrico Canada Ltée à Chambly pour une durée de vingt-deux ans. Il est représentant pour les ventes d’engrais chimiques et accède au poste d’assistant gérant. Son employeur lui paie des cours en marketing et en agronomie à Buffalo, NY, à l’Université d’Indianapolis et aussi à Sarasota, Floride. De 1982 à 1994, il est à l’emploi de William Houde Ltée comme vendeur d’engrais chimiques en province et de céréales de semences et fourragères. M. Des Noyers a une retraite très active depuis dix ans il fait partie de la chorale Chant O Vent de Candiac. Jean Desnoyers dit Demaray Après dix ans de recherches intenses, mon ancêtre Jean Desnoyers dit Demaray était d’origine inconnue. Connaissant la date de sa naissance, le sept septembre 1677, et celle de son décès, le six mars 1763, je consulte les archives disponibles au local de la Société historique, à la Bibliothèque municipale de Montréal et aux Archives nationales de Québec. Un jour, la Société reçoit de nouveaux livres sur les origines des Québécois (Indiens compris) provenant des Universités de Montréal et Québec. Ce fut pour moi le vrai départ. Jean Desnoyers dit Demaray était bien mon ancêtre. J’ai ensuite consulté le registre sur les Indiens du Québec, j’y ai découvert son baptême. Le parrain avait pour nom Desnoyers, et l’enfant Jean était le fils de Meskarominit, ce qui veut dire Demaray en abénaquis, et de Colette, tous deux Indiens de la réserve de la Mission Saint-Joseph de Sillery à Québec. Selon le Père Léo-Paul Hébert de Joliette, il est bien possible que le petit Jean ait été élevé par son parrain. J’ai visité la réserve indienne abénaquise d’Odanak à Pierreville, le tiers des Indiens portent des noms de blancs. Donc, pour Desnoyers, il n’est pas étonnant, disent-ils, qu’on entende Desnoyers dit Demaray. J’ai communiqué alors avec plusieurs communautés religieuses, dont celle des Frères de l’Instruction chrétienne; ce fut le Père Adrien Pouliot, aumônier, 86 ans, archiviste-historien retraité, qui me servit de guide dans tous les registres des Églises et de la Cathédrale de Québec. Mais c’est aux Archives nationales que nous avons trouvé les registres des Indiens; notre petit Jean était bien là. Voici, traduit du latin par le père Pouliot, ce qu’on pouvait lire le 8 décembre 1677. « Je Jacques Vauthier, j’ai baptisé sans les cérémonies un enfant abénaquis d’un jour né ayant comme père de Meskarominit, catéchumène abénaquis, et comme mère de Colette abénaquise, tous deux mariés. Le nom de Jean lui a été destiné. Les cérémonies furent supplées par après le 12 décembre. Le parrain fut le nommé Desnoyers. Le 12 décembre, les cérémonies ont été complétées. » J’ai poursuivi mes recherches à Québec et aux environs et je n’ai trouvé qu’un seul Desnoyers, dont le prénom était Charle. Il était propriétaire terrien. Peut-être était-ce lui, le fameux parrain que je cherchais. Pour finir, Jean Desnoyers dit Demaray s’est marié à Boucherville à Marie-Thérèse Ménard dit Lafontaine; de leur union naquirent huit enfants. Ils demeuraient dans le Rang Tremblay à Longueuil. Il était soldat de la Compagnie Levilliers, décédé et inhumé à Saint-Philippe le 6 mars 1763 à 86 ans. PS : Ceci est le compte-rendu de mes recherches officieuses de l’année 1988....

    Généalogie de Robert Gagné

    Robert Gagné

    France Gervais

    P. de J. de Longueuil

    24 novembre 1990

    Hermas Gervais

    Léa Choquet

    Fernand Gagné

    Jeanne-d’Arc Poirier

    Saint-Henri de Montréal

    28 octobre 1950

    Isidore Poirier

    Eulalie Montpetit

    Alphonse Gagné

    Aglaé Imbeau

    Saint-François, Île d’Orléans

    28 septembre 1920

    Célestin Imbeau

    Geneviève Picard

    Gaudiose Gagné

    Marie Lacouline

    Saint-Roch de Québec

    13 octobre 1884

    Gaudias Lacouline

    Marie Thibault

    Fabien-Ferdinand Gagné

    Adélaïde-Victoire Thivierge

    Saint-François, Île d’Orléans

    28 août 1855

    Louis Thivierge

    Marthe Lacroix

    Louis Gagné

    Marguerite Verret

    Saint-Jean, Île d’Orléans

    16 janvier 1815

    Jean Verret

    Marie-Anne Charlan

    Louis dit Raphaël Gagné

    Marie-Geneviève Guyon dit Dion

    Saint-Jean, Île d’Orléans

    20 février 1792

    Augustin Guyon dit Dion

    Marie-Thérèse Delisle

    Louis Gagnier

    Isabelle Guérard dit Legras

    Saint-François, Île d’Orléans

    19 novembre 1764

    Charles Guérard

    Marie-Madeleine Lepage

    Raphaël Gagné

    Marie-Josephte Allaire

    Saint-François, Île d’Orléans

    4 juillet 1729

    Louis Allaire

    Anne Asselin

    Ignace Gagné

    Louise Tremblay

    L’Ange-Gardien, Montmorency

    6 novembre 1689

    Pierre Tremblay

     

    Anne Achon

    Louis Gasnier

    Marie Michel

    Saint-Martin, Igé, Orne

    Notaire Régnard, Perche, France, 11 juin 1638

    Pierre Michel

    Louise Gosri

    Louis Gasnier

    Marie Launay

    De Saint-Martin du Vieux-Bellême, arrondissement Mortagne, évêché de Chartres, Perche (Orne)

     

    Robert Gagné, archiviste de l'Association Gagné-Bellavance

    Né à Montréal en 1952, Robert Gagné habite Brossard depuis quelques années. Sa passion de l'histoire l'entraîne à suivre des cours de généalogie avec M. Claude Perrot et à obtenir un diplôme en instrumentation historique de généalogie à l’UQAM. Membre de l'Association de famille Gagné-Bellavance, il est nommé archiviste. Il a écrit un essai intitulé « Instrument de recherche concernant Pierre Ganier fils de Pierre Ganier et Marguerite Rosée ».

    Le patronyme Gagné a subi plusieurs transformations au cours des siècles. À l'origine il s'écrit Gasnier et prend lentement les formes populaires de Gagné et Gagnier.

    Louis Gasnier, né le 13 septembre 1612, est le cadet d'une famille de quatre enfants : Noël, Jacques, Pierre et Louis. Seul Louis et Pierre viendront au Canada. Fils de Louis Gasnier et Marie Launay, Louis travaille avec son père comme meunier à Guémansais, puis au moulin de Courtoulin dans la province du Perche. Il épouse en 1638 Marie Michel à l'église Saint-Martin, à Igé dans le département de l'Orne.

    Louis et Marie vivent à Igé et rêvent du Nouveau monde. Ils ont eu deux enfants lorsque la famille Gasnier traverse l'océan et fait baptiser à Québec, le 20 septembre 1644, une fille qu'elle nomme Marie. Deux ans plus tard, les Gasnier s'installent à la ferme Saint-Charles du Cap-Tourmente, où Louis exerce le métier de laboureur pour le compte de la Compagnie des Cent Associés.

    Le 20 octobre 1650, on lui concède une terre de cinq arpents non loin du futur site Sainte-Anne de Beaupré. Au printemps 1661, Louis disparaît soudain avec un de ses voisins, Louis Guimond. Un manuscrit conservé au Séminaire de Québec révèle qu'à huit heures du matin commença le massacre de plusieurs personnes à Beaupré. Les Relations des jésuites mentionnent une lettre du captif J. François Hertel : « connaissez-vous Louis Guimond pris cet été?… » Il est très probable que Louis Gasnier fut pris par les indiens à cette occasion. Finalement, l'inventaire des biens de Louis Gasnier et Louis Guimond fut rédigé le même jour, soit le 14 juillet 1661.

    Au mystère de la disparition des deux Louis s'ajoute une certaine confusion. Lequel des deux fut le premier miraculé de Sainte-Anne de Beaupré en 1658? L'abbé Morel mentionne le nom de Louis Guimond dans sa première liste des « Miracles arrivés en l'église de Sainte-Anne… », mais dans sa seconde liste rédigée en 1687 et plus complète, le nom de Louis Gasnier remplace celui de Louis Guimond. Le mystère reste entier.

    COMPLÉMENT

    Trois souches de Gagné se partagent la descendance de ce nom au Canada. François Gagné dit Poitevin, fils de Jean et d'Andrée Roussette. Il épouse à Trois-Rivières Jeanne Vanasse le 3 novembre 1695. Les deux autres, deux frères, sont parmi les pionniers du Régime français : Pierre et Louis Gasnier. Fils de Louis Gasnier et Marie Launay, Pierre épouse Marguerite Rosée vers 1639, à Saint-Côme de Vair. Le couple se retrouve Québec à l'été 1653.

    Cet ancêtre décède sur la côte de Beaupré en 1656. Suite à sa mort, sa veuve Marguerite Rosée ira s'installer à Montréal avec trois de ses enfants : Pierre, Nicolas et Marguerite. Seul son fils Louis demeure sur la côte de Beaupré. Louis, surnommé Bellavance, fut gratifié par Jean Talon en 1672 d'une seigneurie au Cap St-Ignace, qu'il partage avec Nicolas Gamache. Plusieurs de ses descendants portent aujourd’hui le nom de Bellavance.

    Pierre, le second enfant de Marguerite Rosée, s'installe à La Prairie. Il épouse Catherine Daubigeon le 19 novembre 1670, à l'église de la Nativité de La Prairie. Ce mariage est d'ailleurs le premier inscrit au registre paroissial. Pierre, grâce à son courage, sera le premier capitaine de Milice à La Prairie. Il décède le 26 mars 1726 à l'âge de 81 ans.

    Robert Gagné France Gervais P. de J. de Longueuil 24 novembre 1990 Hermas Gervais Léa Choquet Fernand Gagné Jeanne-d’Arc Poirier Saint-Henri de Montréal 28 octobre 1950 Isidore Poirier Eulalie Montpetit Alphonse Gagné Aglaé Imbeau Saint-François, Île d’Orléans 28 septembre 1920 Célestin Imbeau Geneviève Picard Gaudiose Gagné Marie Lacouline Saint-Roch de Québec 13 octobre 1884 Gaudias Lacouline Marie Thibault Fabien-Ferdinand Gagné Adélaïde-Victoire Thivierge Saint-François, Île d’Orléans 28 août 1855 Louis Thivierge Marthe Lacroix Louis Gagné Marguerite Verret Saint-Jean, Île d’Orléans 16 janvier 1815 Jean Verret Marie-Anne Charlan Louis dit Raphaël Gagné Marie-Geneviève Guyon dit Dion Saint-Jean, Île d’Orléans 20 février 1792 Augustin Guyon dit Dion Marie-Thérèse Delisle Louis Gagnier Isabelle Guérard dit Legras Saint-François, Île d’Orléans 19 novembre 1764 Charles Guérard Marie-Madeleine Lepage Raphaël Gagné Marie-Josephte Allaire Saint-François, Île d’Orléans 4 juillet 1729 Louis Allaire Anne Asselin Ignace Gagné Louise Tremblay L’Ange-Gardien, Montmorency 6 novembre 1689 Pierre Tremblay   Anne Achon Louis Gasnier Marie Michel Saint-Martin, Igé, Orne Notaire Régnard, Perche, France, 11 juin 1638 Pierre Michel Louise Gosri Louis Gasnier Marie Launay De Saint-Martin du Vieux-Bellême, arrondissement Mortagne, évêché de Chartres, Perche (Orne)   Robert Gagné, archiviste de l'Association Gagné-Bellavance Né à Montréal en 1952, Robert Gagné habite Brossard depuis quelques années. Sa passion de l'histoire l'entraîne à suivre des cours de généalogie avec M. Claude Perrot et à obtenir un diplôme en instrumentation historique de généalogie à l’UQAM. Membre de l'Association de famille Gagné-Bellavance, il est nommé archiviste. Il a écrit un essai intitulé « Instrument de recherche concernant Pierre Ganier fils de Pierre Ganier et Marguerite Rosée ». Le patronyme Gagné a subi plusieurs transformations au cours des siècles. À l'origine il s'écrit Gasnier et prend lentement les formes populaires de Gagné et Gagnier. Louis Gasnier, né le 13 septembre 1612, est le cadet d'une famille de quatre enfants : Noël, Jacques, Pierre et Louis. Seul Louis et Pierre viendront au Canada. Fils de Louis Gasnier et Marie Launay, Louis travaille avec son père comme meunier à Guémansais, puis au moulin de Courtoulin dans la province du Perche. Il épouse en 1638 Marie Michel à l'église Saint-Martin, à Igé dans le département de l'Orne. Louis et Marie vivent à Igé et rêvent du Nouveau monde. Ils ont eu deux enfants lorsque la famille Gasnier traverse l'océan et fait baptiser à Québec, le 20 septembre 1644, une fille qu'elle nomme Marie. Deux ans plus tard, les Gasnier s'installent à la ferme Saint-Charles du Cap-Tourmente, où Louis exerce le métier de laboureur pour le compte de la Compagnie des Cent Associés. Le 20 octobre 1650, on lui concède une terre de cinq arpents non loin du futur site Sainte-Anne de Beaupré. Au printemps 1661, Louis disparaît soudain avec un de ses voisins, Louis Guimond. Un manuscrit conservé au Séminaire de Québec révèle qu'à huit heures du matin commença le massacre de plusieurs personnes à Beaupré. Les Relations des jésuites mentionnent une lettre du captif J. François Hertel : « connaissez-vous Louis Guimond pris cet été?... » Il est très probable que Louis Gasnier fut pris par les indiens à cette occasion. Finalement, l'inventaire des biens de Louis Gasnier et Louis Guimond fut rédigé le même jour, soit le 14 juillet 1661. Au mystère de la disparition des deux Louis s'ajoute une certaine confusion. Lequel des deux fut le premier miraculé de Sainte-Anne de Beaupré en 1658? L'abbé Morel mentionne le nom de Louis Guimond dans sa première liste des « Miracles arrivés en l'église de Sainte-Anne... », mais dans sa seconde liste rédigée en 1687 et plus complète, le nom de Louis Gasnier remplace celui de Louis Guimond. Le mystère reste entier. COMPLÉMENT Trois souches de Gagné se partagent la descendance de ce nom au Canada. François Gagné dit Poitevin, fils de Jean et d'Andrée Roussette. Il épouse à Trois-Rivières Jeanne Vanasse le 3 novembre 1695. Les deux autres, deux frères, sont parmi les pionniers du Régime français : Pierre et Louis Gasnier. Fils de Louis Gasnier et Marie Launay, Pierre épouse Marguerite Rosée vers 1639, à Saint-Côme de Vair. Le couple se retrouve Québec à l'été 1653. Cet ancêtre décède sur la côte de Beaupré en 1656. Suite à sa mort, sa veuve Marguerite Rosée ira s'installer à Montréal avec trois de ses enfants : Pierre, Nicolas et Marguerite. Seul son fils Louis demeure sur la côte de Beaupré. Louis, surnommé Bellavance, fut gratifié par Jean Talon en 1672 d'une seigneurie au Cap St-Ignace, qu'il partage avec Nicolas Gamache. Plusieurs de ses descendants portent aujourd’hui le nom de Bellavance. Pierre, le second enfant de Marguerite Rosée, s'installe à La Prairie. Il épouse Catherine Daubigeon le 19 novembre 1670, à l'église de la Nativité de La Prairie. Ce mariage est d'ailleurs le premier inscrit au registre paroissial. Pierre, grâce à son courage, sera le premier capitaine de Milice à La Prairie. Il décède le 26 mars 1726 à l'âge de 81 ans....

    Généalogie de Paul Sainte-Marie

    Claudette et Jacques

     

     

    Paul Sainte-Marie

    Jeannette Larivière

    La Nativité de La Prairie

    12 décembre 1942

    Alfred Larivière

    Alice Raymond

    Adolphe Sainte-Marie

    Marie-Éva Sainte-Marie

    La Nativité de La Prairie

    28 octobre 1902

    Victor Sainte-Marie

    Élisabeth Brossard

    Pierre-Adolphe Sainte-Marie

    Sophie Brosseau

    La Nativité de La Prairie

    16 octobre 1849

    Joseph Brosseau

    Marguerite Lefort dit Prairie

    Louis-Amable Sainte-Marie

    Suzanne Barbeau dit Boisdoré

    La Nativité de La Prairie

    12 juillet 1825

    Louis Barbeau dit Boisdoré

    Suzanne Hébert

    Pierre-Paul Sainte-Marie

    Marguerite Bourassa

    La Nativité de La Prairie

    19 février 1781

    François Bourassa

    Agnès Lefebvre

    Louis Sainte-Marie

    Madeleine Marcil

    Saint-Antoine-de-Padoue de Longueuil

    10 avril 1747

    Charles Marcil

    Marie Surprenant dit Lafontaine

    François Marie

    Marguerite Bourbon

    Saint-Antoine-de-Padoue de Longueuil

    26 janvier 1705

    Jean Bourbon

    Marie-Anne Benoît dit Livernois

    Louis Marie

    Mathurine Goard

    Notre-Dame de Montréal

    31 mai 1667

    Gilles Goard

    Catherine Léger

    Louis Marie

    Marguerite Peigne

    De Saint-Symphorien, ville, arrondissement et archevêché de Tours en Touraine (Indre-et-Loire)

    France

    Louis, époux de Mathurine, est venu en qualité de soldat de la compagnie de La Varenne au régiment de Carignan.

    Claudette et Jacques     Paul Sainte-Marie Jeannette Larivière La Nativité de La Prairie 12 décembre 1942 Alfred Larivière Alice Raymond Adolphe Sainte-Marie Marie-Éva Sainte-Marie La Nativité de La Prairie 28 octobre 1902 Victor Sainte-Marie Élisabeth Brossard Pierre-Adolphe Sainte-Marie Sophie Brosseau La Nativité de La Prairie 16 octobre 1849 Joseph Brosseau Marguerite Lefort dit Prairie Louis-Amable Sainte-Marie Suzanne Barbeau dit Boisdoré La Nativité de La Prairie 12 juillet 1825 Louis Barbeau dit Boisdoré Suzanne Hébert Pierre-Paul Sainte-Marie Marguerite Bourassa La Nativité de La Prairie 19 février 1781 François Bourassa Agnès Lefebvre Louis Sainte-Marie Madeleine Marcil Saint-Antoine-de-Padoue de Longueuil 10 avril 1747 Charles Marcil Marie Surprenant dit Lafontaine François Marie Marguerite Bourbon Saint-Antoine-de-Padoue de Longueuil 26 janvier 1705 Jean Bourbon Marie-Anne Benoît dit Livernois Louis Marie Mathurine Goard Notre-Dame de Montréal 31 mai 1667 Gilles Goard Catherine Léger Louis Marie Marguerite Peigne De Saint-Symphorien, ville, arrondissement et archevêché de Tours en Touraine (Indre-et-Loire) France Louis, époux de Mathurine, est venu en qualité de soldat de la compagnie de La Varenne au régiment de Carignan. ...

    Dons

    Lamarche, Guy et Marcel, Répertoire des mariages des femmes Lamarche, Guy Lamarche éditeur, don de l’auteur Marcel Lamarche.

    Beauvais, Tom. The Beauvais family Newsletter, Summer 1994 to Spring 1995, Vol. 1 No 1 to Vol. 2 No 4.

    Lamarche, Guy et Marcel, Répertoire des mariages des femmes Lamarche, Guy Lamarche éditeur, don de l’auteur Marcel Lamarche. Beauvais, Tom. The Beauvais family Newsletter, Summer 1994 to Spring 1995, Vol. 1 No 1 to Vol. 2 No 4....

    Errata

    Heureusement que Mgr Courville a le sens de l’humour. En effet, dans la généalogie du mois d’octobre, nous l’avons marié à sa mère; à la première ligne, on devrait voir Joseph Courville. Nous nous en excusons.

    Une deuxième erreur s’est glissée dans le texte qui suivait la généalogie : sous le blason, on devrait avoir la ligne suivante : L’Ancêtre Clément Lériger sieur de Laplante, enseigne dans les troupes de la Marine, arriva au pays en 1685 à 23 ans avec M. de Denonville.

    Heureusement que Mgr Courville a le sens de l’humour. En effet, dans la généalogie du mois d’octobre, nous l’avons marié à sa mère; à la première ligne, on devrait voir Joseph Courville. Nous nous en excusons. Une deuxième erreur s’est glissée dans le texte qui suivait la généalogie : sous le blason, on devrait avoir la ligne suivante : L’Ancêtre Clément Lériger sieur de Laplante, enseigne dans les troupes de la Marine, arriva au pays en 1685 à 23 ans avec M. de Denonville....

    Dons

    de Marcel Fournier

    Microéditions de la Bibliothèque, catalogue 1994. Bibliothèque nationale du Québec.

    de François Moquin

    Le livre des Moquin du monde entier, Héritage Familial Halbert. 1995
     

    de Alice Bouthillier

    Aline Martinet et François Turbide. La pointe de Grande Entrée, Un Siècle de petite histoire, Les Éditions arrimage, Montmagny. 1993. 111 p.

    Abbé L. Auger. "Fleurs de Lys et Léopards" Vendéens au Canada au 17e et 18e siècles, Vendée, 1990. l90p.

    Diocèse de Saint-Jean-Longueuil. Nous en sommes témoins. Service de l'information et Secrétariat général du diocèse de Saint Jean-Longueuil. 1984.

    de Jean Laprotte f.i.c.

    Répertoire des Frères de l'instruction chrétienne en Amérique du Nord (cahier a)

    de Marcel Fournier Microéditions de la Bibliothèque, catalogue 1994. Bibliothèque nationale du Québec. de François Moquin Le livre des Moquin du monde entier, Héritage Familial Halbert. 1995   de Alice Bouthillier Aline Martinet et François Turbide. La pointe de Grande Entrée, Un Siècle de petite histoire, Les Éditions arrimage, Montmagny. 1993. 111 p. Abbé L. Auger. "Fleurs de Lys et Léopards" Vendéens au Canada au 17e et 18e siècles, Vendée, 1990. l90p. Diocèse de Saint-Jean-Longueuil. Nous en sommes témoins. Service de l'information et Secrétariat général du diocèse de Saint Jean-Longueuil. 1984. de Jean Laprotte f.i.c. Répertoire des Frères de l'instruction chrétienne en Amérique du Nord (cahier a)...

    Prompt rétablissement

    À monsieur Jean-Paul Domingue, qui a dû faire un séjour à l’hôpital, nous lui offrons nos meilleurs vœux de prompt rétablissement et de bonne santé.

    À monsieur Jean-Paul Domingue, qui a dû faire un séjour à l’hôpital, nous lui offrons nos meilleurs vœux de prompt rétablissement et de bonne santé....

    Projets en cours

    1. Baptêmes et sépultures de 1667 à 1990

    Jean L’Heureux dirige une équipe de quatre chercheurs. C’est un projet de très grande envergure qui exige beaucoup de temps et d’énergie.

     

    2. Article 25

    Ce projet subventionné par le gouvernement fédéral est sous la direction de madame Patricia McGee-Fontaine secondée de monsieur Marcel Lamarche. Deux personnes sont employées : 1 archiviste et 1 technicien en arpentage qui tuilise le logiciel Autocad.

     

    3. Stagiaire en archivistique

    Supervisé par madame Patricia McGee-Fontaine.

     

    4. Bénévolat

    Étudiante de CEGEP au Bacc. International, Travail d’archive dans les Rapports de l’Archiviste de la province de Québec.

    1. Baptêmes et sépultures de 1667 à 1990 Jean L’Heureux dirige une équipe de quatre chercheurs. C’est un projet de très grande envergure qui exige beaucoup de temps et d’énergie.   2. Article 25 Ce projet subventionné par le gouvernement fédéral est sous la direction de madame Patricia McGee-Fontaine secondée de monsieur Marcel Lamarche. Deux personnes sont employées : 1 archiviste et 1 technicien en arpentage qui tuilise le logiciel Autocad.   3. Stagiaire en archivistique Supervisé par madame Patricia McGee-Fontaine.   4. Bénévolat Étudiante de CEGEP au Bacc. International, Travail d’archive dans les Rapports de l’Archiviste de la province de Québec....

    Bonjour chers amis

    Au fil des jours au local de la S.H.L.M. s'amènent des visiteurs venus d'un peu partout. Certains sont à la recherche de renseignements sur l'histoire, leur famille, etc. D'autres viennent visiter le local, s'informer des activités qui s'y déroulent, etc. Les quelques membres présents accueillent ces visiteurs et essayent de les satisfaire.

    Au fil des jours au local de la S.H.L.M. s'amènent des visiteurs venus d'un peu partout. Certains sont à la recherche de renseignements sur l'histoire, leur famille, etc. D'autres viennent visiter le local, s'informer des activités qui s'y déroulent, etc. Les quelques membres présents accueillent ces visiteurs et essayent de les satisfaire....