
- Au jour le jour, avril 1995
Généalogie de Hélène Trudeau (suite)
Hélène Trudeau
Née à Montréal le 11 août 1931, Hélène Trudeau fait ses études chez les Sœurs de Sainte-Anne, jusqu’au Collège Marie-Anne de Lachine, et termine par deux années au Collège Jésus-Marie, où elle obtient un B.A.. De son mariage à René Rivees, le 19 juillet 1954, naissent six enfants. En 1968, trois années d’études à l’Université de Montréal débouchent sur un Bac. en traduction. Entrée chez Bell Canada en 1971, elle consacre vingt ans comme traductrice puis réviseure, à fournir du français clair à l’intention des collègues de services techniques, financiers, juridiques et administratifs.
En 1975, premier essai d’enseignement à l’Éducation permanente de l’Université de Montréal, tâche difficile à concilier avec la vie familiale. De 1987 à 1991, au département de Linguistique de l’U. de M., charges de cours en traduction/rédaction économique, commerciale et financière.
Elle choisit de se rapprocher de ses racines au milieu des années 80. À son vieux père, qui n’avait pas « Candiac » en mémoire, elle devait préciser qu’il habitait « Candiac de La Prairie », à quoi il répliquait un « La Prairie de la Magdeleine » rassurant pour lui. Elle savoure maintenant la retraite entourée d’amis férus d’histoire et de quatre petits-enfants qui porteront à leur tour le flambeau de la langue et de la culture françaises.
Estienne Truteau
Notre ancêtre a 17 ans lorsqu’il s’embarque sur le Saint-André, à La Rochelle, le 2 juillet 1659. Dix ans plus tard, il est un maître charpentier et un charron très en demande. De Ville-Marie, où d’après les contrats recensés, il a fait ses premiers achats de terrain et réalisé ses premières constructions, il étend son patrimoine à la seigneurie de Longueuil, car il possède déjà une « habitation » de 3 arpents sur 20 lorsque Charles le Moyne lui accorde une concession en 1675. Estienne Trudeau fut un entrepreneur, un père soucieux de bien établir ses enfants et un homme d’honneur respectueux de ses engagements. On dit qu’il avait « le caractère un peu vif ».
Louis-Joseph Trudeau
On en disait autant de mon grand-père qui nous semblait l’un des représentants directs du bon Dieu à Saint-Rémi. Médecin, il a pratiqué près de 1 500 accouchements dans les maisons de la région, de 1896 à 1940. Il était aussi pharmacien, avait une chaise de dentiste, vendait des lunettes et même des assurances. Pour nous, il aura été surtout celui qui consolait d’un chagrin, tirait de délicieux chocolats des pots alignés sur le comptoir vitré et offrait à ses petits-enfants son fameux sirop de framboise de la même couleur que le Cherry brandy servi aux adultes.
Référence : La généalogie a été établie en 1967 par le Père Paul-Albert Trudeau, c.s.v. qui fut longtemps archiviste à la maison Saint-Viateur, à Outremont.

- Au jour le jour, avril 1995
Généalogie de Hélène Trudeau
Hélène Trudeau |
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Charles-Henri Trudeau |
Saint-Rémi de Napierville 27 mai 1924 |
Edmond Cusson |
Louis-Joseph Trudeau Léontine Huguet-Latour |
Saint-Rémi de Napierville 19 avril 1892 |
Charles Huguet-Latour Henriette Lériger/Laplante |
Louis Trudeau Euphrasie Vanchesteing |
Saint-Michel de Napierville 25 septembre 1860 |
Jean-Baptiste Vanchesteing Flavie Bisson |
Louis Trudeau Marie-Louise Dupuis |
Saint-Philippe de La Prairie 19 novembre 1838 |
Michel Dupuis Josephte Boire |
Louis-Michel Trudeau Marguerite Gagné |
Saint-Philippe de La Prairie 11 juillet 1808 |
Amable Gagné Marie Hamelin |
Jean-Louis Trudeau Marie Larchevêque |
Saint-François d'Assise Longue-Pointe 1er août 1768 |
Joseph Larchevêque Marie-Anne James/Langlois/Sansoucy |
Pierre-Joseph Trudeau Marie-Josephte Baudreau |
Longue-Pointe 6 juin 1735 |
Paul Baudreau/Graveline Marie Tessier |
Pierre Truteau Marie-Charlotte Mesnard |
Notre-Dame de Montréal 10 novembre 1698 |
Jean-Baptiste Mesnard Marguerite Estienne |
Estienne Truteau Adrienne Barbier |
Notre-Dame de Montréal 10 janvier 1667 |
Gilbert Barbier Catherine de la Vaux |
François Truteau Catherine Martinier |
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- Au jour le jour, mars 1995
Généalogie de la famille Perron
Christian et Suzanne | ||
Léopold Perron Françoise Jacques |
Christ-Roi, La Prairie 14 septembre 1957 |
Joseph Jacques Léa Montreuil |
Armand Perron Lucille Larivière |
La Prairie 03 septembre 1919 |
Hylas Larivière Ernestine Martel |
Wilfrid Perron Emma Heins |
La Prairie 06 novembre 1888 |
François Heins Mathurine Charade |
Joseph Perron Philomène Saint-Denis |
Saint-Philippe de La Prairie 12 août 1856 |
François Saint-Denis Claire Lacaille |
Joseph Perron Marie-Anne Bousquet |
Saint-Philippe de La Prairie 20 juillet 1818 |
Joseph Bousquet Marie-Anne Vasseur |
Joseph Perron Marie-Élizabeth Monet |
Saint-Philippe de La Prairie 14 janvier 1793 |
François Monet Josephte Surprenant |
Joseph Perron Félicité Tremblay |
Petite-Rivière-St-François 13 janvier 1768 |
Louis Tremblay Ursule Simard |
François Perron Marie-Charlotte Bouchard |
Petite-Rivière-St-François 07 février 1746 |
François Bouchard Marguerite Simard |
Antoine Peron Jeanne Tremblay |
Ange-Gardien 15 janvier 1691 |
Pierre Tremblay Jeanne Achon |
Daniel-Frs Peron dit Suire Louise Gargotin |
Château-Richer 26 février 1664 |
Jacques Gargotin Françoise Bernard |
François Peron Jeanne Suire |
La Rochelle |
André Suire Marie Rault |
Jean Peron Marie Pineau |
La Rochelle, Aunis, Charante-Maritime, France |

- Au jour le jour, mars 1995
Généalogie de la famille Perron (suite)
Léopold Perron
Né à La Prairie le 10 Juin 1928, issu d'une famille de 14 enfants (9 filles, 5 garçons), Léopold a fait ses études à La Prairie. Très jeune il dut abandonner ses cours pour aider ses parents. Son cheminement l'amena à 16 ans, comme beaucoup de jeunes de son époque, chez un cultivateur qui l'engagea au salaire de 1,50$ pour sept jours et ce, durant un an et demi.
À dix-huit ans, il entrait à la briqueterie « La Prairie and Tiles » (Saint-Laurent) avec un salaire de 0,37$ de l'heure. Après deux ans, il se retrouve à l’Hôtel La Source avec une rémunération plus généreuse. En 1950, il peut s'acheter une automobile Ford et fait du taxi avec son oncle Amédée Perreault. En 1951, Charles Lajoie l'engage comme journalier, par la suite comme cascadeur sur les pistes de courses de plusieurs provinces; il glissait dans le feu et faisait passer un véhicule sur son corps. En 1953, un accident en faisant la cascade du feu met fin à sa carrière d'homme de spectacle forain.
En 1954, le corps de police de La Prairie accepte sa candidature. Il sera plus de 35 ans au service de la population de La Prairie, gravissant les échelons de policier à chef-intérimaire; il était en charge du département des enquêtes criminelles lorsque la retraite le convie.
Toujours actif, il décide de se lancer dans la politique municipale, où il représente les gens du quartier No 6 depuis 1991 à titre d'échevin.
Daniel-François Peron dit Suire
Né à La Rochelle, le 25 novembre 1638, enfant naturel de François Peron, marchand, et de Jeanne Suire, tous deux de foi calviniste, François Peron dit Suire est baptisé le dimanche 26 décembre 1638.
L'acte de baptême, ci-dessous, fut retracé dans les registres de l'état civil protestant de Dompierre-sur-Mer et de Bourgneuf après six ans de recherche. Les parents de Jeanne auraient-ils souhaité voiler ainsi une naissance hors mariage?
Un peu avant la naissance, le 5 novembre 1638, François fait cession et transport de ses droits et actions à Jeanne devant le notaire Gastureau.
François Peron, riche marchand de la Rochelle – centre calviniste actif- né en septembre 1615, ne s'est jamais marié. Jeanne Suire épousa Nicolas Bernard, catholique et portefaix de métier.
C'est à bord du Taureau que l'ancêtre Daniel-François franchit l'Atlantique pour la première fois en 1657 comme représentant de commerce. Rentré à La Rochelle après quelques mois, son père lui donne une procuration pour le représenter en Nouvelle-France. Il se rembarque sur l'Aigle Blanc en 1663 pour se fixer définitivement dans la colonie.
Pour s'établir dans la colonie et y épouser Louise Gargotin, une fille du Roi, il dut abjurer la foi Calviniste ce qui mécontenta tellement son père que celui-ci le déshérita et le priva de la procuration de ses affaires en Nouvelle-France en apprenant la nouvelle. Daniel-François, ne perdit rien, son père étant décédé cousu de dettes.
Le couple se fixa à l'Ange-Gardien et eut six enfants: Antoine, Marie, Marie-Madeleine, Jean, Anne et François.

- Au jour le jour, février 1995
Généalogie de Claude Robert (suite)
CLAUDE ROBERT
Né à Saint-Rémi de Napierville le 2 décembre 1930, fils aîné de cultivateur, il fit ses études classiques au Séminaire de Saint-Jean-sur-Richelieu et au collège Marie-Médiatrice. Puis, il est devenu un universitaire multidisciplinaire: la littérature, l'administration et le cinéma. En 1952, il commence une carrière de 16 ans à Radio-Canada qu'il termine à titre de directeur de production de la série D'Iberville. Ensuite, il part pour l'Europe pour parfaire ses connaissances en littérature et il séjourne en France, en Espagne, en Italie, en Grèce et en Allemagne. Revenu au Québec, il devient le directeur général adjoint à Radio-Québec. Il oeuvrera pendant 20 ans principalement à titre de vice-président. Enfin, la retraite lui tend les bras et il commet son premier roman « Y parait que … ». Étant encore un homme d'avant-garde, il se paie le luxe d'un cancer. Ébréché par les inconvénients de la chimiothérapie, il commence à s'adonner à la généalogie pour balayer de sa tête l'anxiété des préarrangements. Il devient sociétaire de la Société Historique de La Prairie de la Magdeleine et du Club de Généalogie de Longueuil. Il s'accroche à la généalogie comme un noyé à une roche, le cancer retraite et il recommence à écrire: « Comment faire un livre de famille », « Les Patenaude », « Les Lefrançois », « Les de Varennes », « Les Coutu ». Aujourd'hui, après avoir été secrétaire du Club de Généalogie de Longueuil, il est le président directeur général. Il travaille environ 70 heures par semaines et il aimerait pouvoir en faire plus.
LES ROBERT
Claude Robert est un descendant direct du patriote Joseph-Marie Robert, pendu sur un échafaud au-dessus du portail de la prison du Pied-du-Courant, le 18 janvier 1839. Son arrière-arrière-grand-mère Zoé Robert était la fille du patriote et son arrière-arrière-grand-père Pierre Robert était au même titre que le patriote des descendants de François Robert et de Marie Lanctôt.
Son premier ancêtre Louis, dont le père André Robert était propriétaire du cabaret "le Lion d'argent" à la Rochelle, quitta le port de La Rochelle le 24 mai 1665 à bord du Saint-Sébastien pour arriver à Québec le 14 septembre 1665. Il vécut en premier lieu à Trois-Rivières puis à Boucherville. Il était soldat dans le régiment Carignan-Salières, laboureur et surtout cordonnier. Au grand dam d'Yves St-Laurent, Louis Robert griffait ses chaussures comme ceci: LR.
LA DEVISE DE CLAUDE ROBERT:
Il n’y a rien d’impossible si tu y crois

- Au jour le jour, février 1995
Généalogie de Claude Robert
Claude Robert | ||
Hervé Robert Gabrielle Patenaude |
Ste-Philomène 24 octobre 1928 |
Zénon Patenaude Eva Lécuyer |
Ulricque Robert Eugénie de Montigny |
La Prairie 26 septembre 1887 |
François de Montigny Claire Marotte |
Onésime Robert Adèle Lanctôt |
St-Michel 07 juillet 1857 |
François Lanctôt Amable Davis |
Pierre Robert Zoé Robert |
St-Philippe 15 juin 1828 |
Joseph Robert Josephte Lanctôt |
Pierre Robert Marie Quintal |
St-Constant 15 novembre 1802 |
François Quintal Marie Hébert |
Pierre Robert Marie-Josephte Patenôtre |
St-Philippe 26 novembre 1764 |
Joseph Patenôtre Marie Deneau |
François Robert Marie-Charlotte Robin |
Longueuil 11 mai 1739 |
Michel Robin Angélique Dupré |
François Robert Marie Lanctôt |
Longueuil 26 juin 1712 |
François Lanctôt Marguerite Ménard |
Louis Robert Marie Bourgery |
Trois-Rivières 25 novembre 1666 |
Jean-Baptiste Bourgery Marie Gendre |
André Robert Catherine Bonain |
Ste-Marguerite Larochelle, Aunis, Fr. |
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Pierre Robert Léonne Rembault |
Breuilaufa Haute-Vienne, France |

- Au jour le jour, décembre 1994
Généalogie de René Jolicoeur et origine du nom Pilet
Natif de Granby. Diplômé en technique du Génie Civil. Fonctionnaire municipal à Verdun. Impliqué dans différents organismes locaux. Collabore dans une levée de fonds pour le financement de la S.H.L.M. il y a quelques années. C'est un passionné de l'histoire. Il a même suivi un cours de paléographie en vue de se familiariser avec les écritures anciennes. Il poursuit présentement sa recherche sur sa famille en France, en Suisse et au Québec, et ce depuis 12 ans.
M. Jolicœur a eu la courtoisie de nous communiquer quelques-unes de ses trouvailles.
Origine du nom Pilet
« Avant sa mort, survenue en 877, Charles le Chauve avait créé un duché de Bourgogne en faveur de son beau-frère, Boson, qui était roi de Bourgogne-Provence de 879 à 887. Le nom Pilet fut rencontré pour la première fois en Bourgogne où la famille possédait sa place d'origine à Chantrans ».
(Extrait de l'origine de la famille Pilet par « La Maison des Noms »).
Cette ville existe toujours aujourd'hui et est située dans la vallée de la Loue à une trentaine de kilomètres au sud de Besançon.
Mon ancêtre Louis Pilet a dû quitter Paris vers 1714 pour venir s'établir en Nouvelle-France. Il s'est marié à l'âge de 29 ans avec Louise-Thérèse Barbeau (Boisdoré), le 19 février 1727 à Notre-Dame de Québec. Il est alors sergent dans l'armée. Dans un contrat et acte de mariage, on retrouve le nom de Sieur François Amariton, capitaine d'une compagnie du détachement de la marine.
Recensement de Québec en 1948 : Louis Pilet âgé de 48 ans. Vers 1749, lors d'un recensement à Louisbourg (N.E.), on retrace notre Pilet, sergent dans la Compagnie de Ste-Marie, régiment de Karrer, régiment Suisse. Lors du mariage de son fils Vincent-Maurice en 1752, il est écrit dans son acte « fils de feu Louis Pilet dit Joli-cœur sergent dans les troupes ».
Vincent-Maurice est forgeron et employé dans la « forge de la construction à Québec ». Même s'il ne sait pas écrire, ni lire, c'est un homme avisé et débrouillard. Jeune marié et déjà qu’il est en affaires. Il vend un terrain à son beau-frère à l'Île d'Orléans (Notaire 16-03-1754).
Un peu plus tard, vers 1765, alors qu’il est habitant de la paroisse de St-Pierre de la Rivière du Sud, il vend un autre terrain à Sieur Jacques Murray, écuyer. Capitaine général gouverneur en chef de la province de Québec, seigneur et propriétaire des terres, fief et seigneurie de la Côte de Lauzon dite la Pointe de Lévy (Notaire Saillant 10-06-1765).
Généalogie de René Jolicœur
Alexandre et Émilie |
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René Jolicœur Johanne Leroux |
Notre-Dame de la Garde Verdun 5 novembre 1977 |
Paul-Émile Leroux Gertrude Laberge |
Dorilas Jolicœur Jeanne-D’Arc Paré |
Notre-Dame de Bellerive Valleyfield 19 août 1944 |
Arthur Paré Aurore Faucher |
William Jolicœur Marie Bernard |
St-Victor de Tring Beauce 3 juillet 1906 |
Elzéard Bernard Emma Fecteau |
Ludger Jolicœur Marie-Adèle Cloutier |
St-Victor de Tring 3 février 1874 |
Olivier Cloutier Esther Pageau |
Magloire Pilet dit Joli-cœur Louise Roy |
St-François D’Assise Beauce 12 janvier 1836 |
Thomas Roy Marie-Anne Bisson |
André Pilet dit Joli-cœur Marie-Charlotte Bégin |
St-Henri de Lévis 22 février 1802 |
Louis Bégin Geneviève Lacasse |
Vincent-Maurice Pilet dit Joli-cœur Marie-Geneviève Godbout |
St-Laurent Île d’Orléans 6 novembre 1752 |
Antoine Godbout Geneviève Rouleau |
Louis Pilet dit Joli-cœur Louise-Thérèse Barbeau |
Notre-Dame Québec 19 février 1727 |
Jean-François Barbeau dit Boisdoré Françoise de Noyon |
Jean Pilet Marie Roussin |
Saint-Étienne du Mont Ville de Paris |
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- Au jour le jour, septembre 1994
Généalogie de Catherine Fortin
Re : Généalogie de Mme Jacqueline Pigeon.
Une coquille s'est glissée dans le « Au jour le jour » de juin. Le prénom de l'époux de Jacqueline aurait dû se lire non pas Charles mais, feu Alphonse Moquin ingénieur, fils de Charles et de Laurette Brossard. Regrets et sincères excuses.
***
Ce mois-ci, les Fortin
Selon nos recherches, il y aurait 4 souches de Fortin qui se sont établies en Nouvelle-France.
Julien Fortin Bellefontaine, originaire de Mamers Sarthe (1621-1676) coseigneur de Beaupré.
François Fortin médecin (1639-1670) époux de Marie Jolliet, sœur de Louis Jolliet explorateur et découvreur du Mississipi. Il était aussi hydrographe du roi.
Pierre Fortin (1715-1741) originaire de Rouen, marchand à Montréal, épousa Françoise Le Pailleur fille de Michel Le Pailleur notaire Royal, et de Catherine Jérémie, la première herboriste.
Pierre Fortin (1797-1868) s'établit à La Prairie dans les années 1830. Entrepreneur en menuiserie. Il contractait mariage en avril 1830 à Verchères avec Julie Duvernay sœur ainée de Ludger Duvernay, fondateur du journal « La Minerve » et de la Société Saint-Jean-Baptiste (1834).
7ème génération : Amable Réjero, Regereau.
Nous constatons dans le livre de Référence de Terrebonne que le nom « Regereau » a deux orthographes différentes.
René Jetté, auteur du Dictionnaire généalogique du Québec et du Répertoire des noms de famille du Québec, normalise à Regereau le nom de l'épouse, celui-ci apparaît dans les registres pour la première fois en 1758.
Généalogie de Catherine Fortin
Catherine Fortin |
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Claude Fortin |
Candiac 1er août 1970 |
Suzanne Barbeau (fille de René et Mathilde Rochon) |
André Fortin |
Montréal Saint-Louis-de-Gonzague 7 février 1942 |
Gabrielle Lalande (fille de Michel et Berthe Chaurette) |
Albert Fortin |
Montréal La-Nativité-de-la-Sainte-Vierge 8 mai 1911 |
Béatrice St-Arnaud (fille de Joseph et Georgette Le Houillé) |
Frédéric Fortin |
Notre-Dame de Montréal 17 octobre 1865 |
Adélaïde Lafrance Daragon (fille d’Antoine et Louise Renoud) |
Pierre-Antoine Fortin |
Terrebonne 19 septembre 1825 |
Marguerite Barret (fille de Michel et Catherine Farell) |
Pierre Fortin |
Île-Jésus Saint-François-de-Sales 19 septembre 1796 |
M. Amable Réjero (fille de Louis et M. Josephte Bouchette) |
Pierre Fortin |
Terrebonne 22 octobre 1764 |
M. Josephe Comparet (fille de François et M. Josephte Bélisle) |
Pierre-Nic. Fortin |
Notre-Dame de Québec 5 mars 1737 |
Françoise Le Pailleur (fille de F. Michel et Cat.-Gertrude Jérémie) |
Pierre Fortin |
De Saint-Pierre de Rouen, Normandie |
Catherine Legras |