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    Genealogical Research Directory

    Connaissez-vous le GRD (Genealogical Research Directory)? C’est une publication éditée chaque année et qui contient plus de cent mille entrées de toutes sortes. Le GRD propose différents chapitres tels que l’annuaire des patronymes, des dates, des lieux, des recherches thématiques, des adresses de participants, des associations familiales, des clubs et associations et des annonces publicitaires.

    Un de nos membres a déjà eu la possibilité de consulter le GRD et de trouver une personne qui s’intéressait à un patronyme commun. Pour ceux qui n’ont pas le GRD et qui auraient des questions à poser, vous pourriez me contacter ou m’écrire à la société.

    Bien entendu, nous allons continuer nos généalogies mensuelles mais je vais essayer d’apporter des petites nouvelles ou différentes informations sur la généalogie.

    En attendant vos questions, je vous souhaite bonne généalogie.

    Connaissez-vous le GRD (Genealogical Research Directory)? C'est une publication éditée chaque année et qui contient plus de cent mille entrées de toutes sortes. Le GRD propose différents chapitres tels que l'annuaire des patronymes, des dates, des lieux, des recherches thématiques, des adresses de participants, des associations familiales, des clubs et associations et des annonces publicitaires. Un de nos membres a déjà eu la possibilité de consulter le GRD et de trouver une personne qui s'intéressait à un patronyme commun. Pour ceux qui n'ont pas le GRD et qui auraient des questions à poser, vous pourriez me contacter ou m'écrire à la société. Bien entendu, nous allons continuer nos généalogies mensuelles mais je vais essayer d'apporter des petites nouvelles ou différentes informations sur la généalogie. En attendant vos questions, je vous souhaite bonne généalogie....

    Généalogie de Lucien Lefrançois

    Lucien C. Lefrançois

    Germain Charron

    Mont Saint-Grégoire

    26 novembre 1938

    Hormisdas Charron

    Eugénie Auclair

    François Lefrançois

    Éva Collette

    Saint-Dominique, cté de Bagot

    09 juillet 1917

    Auguste Collette

    Hermine Duchesneau

    Joseph Lefrançois

    Mathilde Desjardins

    Sainte-Félicité de Matane

    20 avril 1874

    Jean Desjardins

    Marie Bérubé

    Joseph Lefrançois

    Marie Gagné

    Saint-Germain de Rimouski

    13 août 1831

    Joseph Gagné

    Marie Paré

    Ignace Lefrançois

    Rosalie Gravel

    Château-Richer

    8 novembre 1785

    Ignace Gravel

    Agnès Gagnon

    Louis Lefrançois

    Louise dite Geneviève Cloutier

    Château-Richer

    15 novembre 1751

    Louis Cloutier

    Geneviève Chaplain

    Charles Le François

    Véronique Quentin

    Ange-Gardien

    11 janvier 1722

    Louis Quentin

    Marie Mathieu

    Joseph Lefrançois

    Anne-Cécile Caron

    Sainte-Anne de Beaupré

    20 janvier 1698

    Robert Caron

    Marguerite Cloutier

    Charles Le François

    Marie-Madeleine Triot

    Notre-Dame de Québec

    10 septembre 1658

    Jacques Triot

    Catherine Guichart

    Charles Le François

    Suzanne Montigny

    De Saint-Pierre de Muchedent, arrondissement de Dieppe, archevêché de Rouen, Normandie (France)

     

    Lucien C. Le François

    Notre ami Lucien, qui se définit comme un guide touristique de Saint-Hyacinthe, a vu le jour sur les rives de la rivière Richelieu, à McMasterville, face au Mont Beloeil, le 17 juillet 1918. Son père travaille à la Poudrière « C. I. L. » de Beloeil. La famille s'installe à Saint-Hyacinthe à partir de 1923. Après s'être retire des affaires, Lucien continue de cultiver son amour pour l'histoire et la généalogie. Il est membre de dix sociétés d'histoire de la région et des deux principales sociétés généalogiques du Québec.

    Charles Le François (1626-1700)

    Originaire de Muchedent, arrondissement de Dieppe, en pleine Normandie, et fils do Charles François et de Suzanne Montigny, Charles Le François débarquait en Nouvelle-France, en 1650, à l'âge de 24 ans. Il épouse à Québec une Parisienne de 19 ans.

    Sur la côte de Beaupré, comprise entre la rivière Montmorency et la rivière du Petit-Pré « ou Lotinville », l'ancêtre acheta trois arpents de terre, longeant le fleuve Saint-Laurent, avec droits de chasse et de pêche. Il défricha son terrain et s'y construisit une maison de pierre. Son épouse lui donna ses trois premiers enfants à cet endroit. Après quatre ans de séjour, le 29 août 1663, il vendit sa propriété au sieur de Chastillon, au prix de 1 150 livres tournois. Il ne put assister à la fondation officielle de la paroisse l'Ange-Gardien « ou se trouvait son premier terrain », qui se détacha de la paroisse de Château-Richer, en 1664.

    La veuve de Pierre Le Gardeur lui vendit en 1667 un lopin de terre de trois arpents et cinq perches à Château-Richer sur la rive du fleuve. L'année suivante, il acquit une nouvelle propriété de 5 ½ arpents de front sur une 1 ½ lieue de profondeur, à une distance de 6 arpents de la rivière Petit-Pré. Il y demeura jusqu'à la fin de ses jours. Au recensement royal de 1681 l'ancêtre possédait 20 arpents de terre, 100 enfants, 2 fusils, 1 cheval, et 14 bêtes à cornes.

    De 1666 à 1700 il occupa diverses professions pour la Côte de Beaupré et le fief de l'Ange-Gardien; les seigneurs et sénéchaux de la région choisirent Charles comme estimateur de possessions mobilières des habitants, contrôleur des exécuteurs testamentaires, et médiateur pour les querelles de toutes sortes. On reconnaissait ainsi son impartialité et son sens de la justice.

    Fait remarquable

    De génération en génération il y a toujours un Lefrançois arpenteur depuis te régime français de 1732 à nos jours. Huit arpenteurs se sont succédé. 1732, Charles Le François à Ange-Gardien, arpenteur juré royal

    1749, Charles Le François fils à Ange-Gardien, arpenteur juré royal

    1823, Nicolas Le François à Ange-Gardien, arpenteur géomètre

    1848, Nicolas Venant Lefrançois à Ange-Gardien, arpenteur géomètre

    1856, Pierre Octave Lefrançois à Ange-Gardien, arpenteur géomètre

    1882, J. M. Émile Lefrançois à Québec, arpenteur géomètre

    1962, Marc Lefrançois à Ange-Gardien, arpenteur géomètre

    1979, Lefrançois et Lefrançois et Nault à Beauport, arpenteur géomètre

    Lucien C. Lefrançois Germain Charron Mont Saint-Grégoire 26 novembre 1938 Hormisdas Charron Eugénie Auclair François Lefrançois Éva Collette Saint-Dominique, cté de Bagot 09 juillet 1917 Auguste Collette Hermine Duchesneau Joseph Lefrançois Mathilde Desjardins Sainte-Félicité de Matane 20 avril 1874 Jean Desjardins Marie Bérubé Joseph Lefrançois Marie Gagné Saint-Germain de Rimouski 13 août 1831 Joseph Gagné Marie Paré Ignace Lefrançois Rosalie Gravel Château-Richer 8 novembre 1785 Ignace Gravel Agnès Gagnon Louis Lefrançois Louise dite Geneviève Cloutier Château-Richer 15 novembre 1751 Louis Cloutier Geneviève Chaplain Charles Le François Véronique Quentin Ange-Gardien 11 janvier 1722 Louis Quentin Marie Mathieu Joseph Lefrançois Anne-Cécile Caron Sainte-Anne de Beaupré 20 janvier 1698 Robert Caron Marguerite Cloutier Charles Le François Marie-Madeleine Triot Notre-Dame de Québec 10 septembre 1658 Jacques Triot Catherine Guichart Charles Le François Suzanne Montigny De Saint-Pierre de Muchedent, arrondissement de Dieppe, archevêché de Rouen, Normandie (France)   Lucien C. Le François Notre ami Lucien, qui se définit comme un guide touristique de Saint-Hyacinthe, a vu le jour sur les rives de la rivière Richelieu, à McMasterville, face au Mont Beloeil, le 17 juillet 1918. Son père travaille à la Poudrière « C. I. L. » de Beloeil. La famille s'installe à Saint-Hyacinthe à partir de 1923. Après s'être retire des affaires, Lucien continue de cultiver son amour pour l'histoire et la généalogie. Il est membre de dix sociétés d'histoire de la région et des deux principales sociétés généalogiques du Québec. Charles Le François (1626-1700) Originaire de Muchedent, arrondissement de Dieppe, en pleine Normandie, et fils do Charles François et de Suzanne Montigny, Charles Le François débarquait en Nouvelle-France, en 1650, à l'âge de 24 ans. Il épouse à Québec une Parisienne de 19 ans. Sur la côte de Beaupré, comprise entre la rivière Montmorency et la rivière du Petit-Pré « ou Lotinville », l'ancêtre acheta trois arpents de terre, longeant le fleuve Saint-Laurent, avec droits de chasse et de pêche. Il défricha son terrain et s'y construisit une maison de pierre. Son épouse lui donna ses trois premiers enfants à cet endroit. Après quatre ans de séjour, le 29 août 1663, il vendit sa propriété au sieur de Chastillon, au prix de 1 150 livres tournois. Il ne put assister à la fondation officielle de la paroisse l'Ange-Gardien « ou se trouvait son premier terrain », qui se détacha de la paroisse de Château-Richer, en 1664. La veuve de Pierre Le Gardeur lui vendit en 1667 un lopin de terre de trois arpents et cinq perches à Château-Richer sur la rive du fleuve. L'année suivante, il acquit une nouvelle propriété de 5 ½ arpents de front sur une 1 ½ lieue de profondeur, à une distance de 6 arpents de la rivière Petit-Pré. Il y demeura jusqu'à la fin de ses jours. Au recensement royal de 1681 l'ancêtre possédait 20 arpents de terre, 100 enfants, 2 fusils, 1 cheval, et 14 bêtes à cornes. De 1666 à 1700 il occupa diverses professions pour la Côte de Beaupré et le fief de l'Ange-Gardien; les seigneurs et sénéchaux de la région choisirent Charles comme estimateur de possessions mobilières des habitants, contrôleur des exécuteurs testamentaires, et médiateur pour les querelles de toutes sortes. On reconnaissait ainsi son impartialité et son sens de la justice. Fait remarquable De génération en génération il y a toujours un Lefrançois arpenteur depuis te régime français de 1732 à nos jours. Huit arpenteurs se sont succédé. 1732, Charles Le François à Ange-Gardien, arpenteur juré royal 1749, Charles Le François fils à Ange-Gardien, arpenteur juré royal 1823, Nicolas Le François à Ange-Gardien, arpenteur géomètre 1848, Nicolas Venant Lefrançois à Ange-Gardien, arpenteur géomètre 1856, Pierre Octave Lefrançois à Ange-Gardien, arpenteur géomètre 1882, J. M. Émile Lefrançois à Québec, arpenteur géomètre 1962, Marc Lefrançois à Ange-Gardien, arpenteur géomètre 1979, Lefrançois et Lefrançois et Nault à Beauport, arpenteur géomètre...

    Généalogie de Jean-Paul Auclair

    Jean-Pierre, Michel et Luc

     

     

    Jean-Paul Auclair

    Huguette Chartrand

    Saint-Paul-de-la-Croix, Montréal

    14 septembre 1957

    Paul Chartrand

    Berthe Audet dit Lapointe

    Armand Auclair

    Germaine Rouillier

    La Nativité de La Prairie

    1er juillet 1925

    Louis-Philippe dit Commeroy

    Marie-Louise Robidoux

    Théophile Auclair

    Arthémise Monast

    Saint-Césaire, cté de Rouville

    28 mais 1888

    Charles Monast

    Agnès Baron

    Hubert Auclair

    Esther Desautels

    Sainte-Marie-de-Monnoir, Marieville

    24 février 1862

    Augustin Desautels

    Marguerite Boivin

    François Auclair

    Marie Messier

    Saint-Mathias, cté de Rouville

    8 février 1802

    Auguste Messier

    Marie-Véronique Mongeau

    François Auclair

    Marie-Louise Grégoire

    Sainte-Foy, Québec

    20 juin 1779

    Charles Grégoire

    Louise-Marguerite Racine

    Germain Auclair

    Angélique Marois

    L’Ange-Gardien

    11 janvier 1745

    François Marois

    Marie-Anne Hébert

    Charles Auclair

    Madeleine Déry

    Charlesbourg

    14 juillet 1712

    Maurice Desry

    Madeleine Philippeau

    Pierre Auclair

    Marie-Madeleine Sédilot dit Montreuil

    Charlesbourg

    Contrat de mariage le 6 mars 1679

    Notaire Becquet

    Étienne Sédilot dit Montreuil

    Marie-Madeleine Carbonnet

    Pierre Auclair

    Suzanne Aubineau

    Pierre n’est pas venu en Nouvelle-France, mariés vers 1653 à La Rochelle. Suzanne est de Saint-Christophe D’Angoulins, arrondissement et évêché de La Rochelle, Aunis (Charente-Maritime), France.

     

    Jean-Paul Auclair

    Résident de La Prairie depuis 1941, Jean-Paul a offert à la population de la région l'avantage du loisir que procure le cinéma, de 1945 à 1982. Son édifice, qui a changé de vocation depuis, est situé sur le Chemin de Saint-Jean, près de la rue Notre-Dame. La contribution de Jean-Paul à l'essor économique et social de La Prairie s'est échelonné au cours des ans et se continue encore aujourd'hui. Co-fondateur de la Chambre de commerce, il en assume la tâche de secrétaire durant 18 ans. Intéressé aux loisirs des jeunes, il devient instructeur du club de hockey mineur. Jean-Paul ne ménage pas ses énergies pour « faire avancer les choses », il participe à la fondation des clubs Lions et Optimiste, et demeure un membre actif. Bien plus, pendant un mandat de 4 années, il fait équipe avec le conseil municipal de la Ville à titre de conseiller.

    Lorsqu'arrivent les années 1980, avec l'avènement d'une population vieillissante beaucoup plus nombreuse, Jean-Paul ajoute à ses activités de bénévolat la participation à la mise en place du Campus des Aînés. Il assume alors plusieurs postes successifs à la direction des projets. Homme d'équipe, il demeure celui sur qui on peut compter quotidiennement. Que de démarches entreprises pour l'implantation de résidences pour personnes âgées : Centre d'Accueil, Résidence Balmoral lnc., les maisons de l'AQDR et Jean Gaudreau. On peut qualifier Jean-Paul de bénévole par excellence, généreux de son temps et de ses compétences mis au service de la Ville de La Prairie et de ses concitoyens.
     

    L'ancêtre Pierre Auclair et André Auclair, sculpteur

    L'ancêtre Pierre Auclair et son épouse Madeleine Sédilot-Bédard eurent une famille nombreuse, dix enfants atteignirent l'âge de la maturité. Deux garçons furent prêtres et 3 filles choisirent la vie religieuse. Pour ce qui est de l'histoire des générations successives, les recherches sont encore à faire. Un descendant s'est illustré à titre de sculpteur dans le Montréal du XIXe siècle. Voyons un peu le déroulement de sa vie.

    ANDRÉ AUCLAIR (1803-1865) travaille avec son père comme maçon, tailleur de pierre et entrepreneur en construction. Son loisir préféré devint rapidement la sculpture de personnages à même les blocs de pierre tirés des carrières du Mont-Royal. Dans la mentalité de l'époque il était impensable de voir un fils qui n'appartenait pas, de par ses origines, à la bourgeoisie bien nantie, être admis auprès des maîtres-sculpteurs. Devant un bloc informe, André imaginait une jolie dentelle dans la pierre d'un bâtiment qu'il construisait. Bien plus, il sculpta une statue de la Vierge de quatre pieds de hauteur et en fit don à Mgr Ignace Bourget, 2e évêque de Montréal. Celui-ci place la statue dans la cathédrale pour l'édification des fidèles. En date du 13 décembre 1842, dans « les Mélanges religieux », le journaliste écrit des commentaires fort élogieux sur la statue. Hélas, ce témoin du talent d'André fut détruit en 1852, lors du grand feu de Montréal. La cathédrale faisait partie des 1600 édifices détruits par les flammes. La maison d'André est anéantie elle aussi. Il remet sur pied son entreprise de construction, et cela, grâce au crédit que les banques lui accordent.

    André s'est acquis une solide réputation, il est honnête et compétent. Ses concitoyens l'élisent échevin de Montréal. Jusqu'à son décès en 1865, il s'adonne à son loisir préféré de sculpteur. André aimait la beauté, ses mains en ont fait naître; dommage que ses œuvres soient versées dans l'oubli!

     

    Jean-Pierre, Michel et Luc     Jean-Paul Auclair Huguette Chartrand Saint-Paul-de-la-Croix, Montréal 14 septembre 1957 Paul Chartrand Berthe Audet dit Lapointe Armand Auclair Germaine Rouillier La Nativité de La Prairie 1er juillet 1925 Louis-Philippe dit Commeroy Marie-Louise Robidoux Théophile Auclair Arthémise Monast Saint-Césaire, cté de Rouville 28 mais 1888 Charles Monast Agnès Baron Hubert Auclair Esther Desautels Sainte-Marie-de-Monnoir, Marieville 24 février 1862 Augustin Desautels Marguerite Boivin François Auclair Marie Messier Saint-Mathias, cté de Rouville 8 février 1802 Auguste Messier Marie-Véronique Mongeau François Auclair Marie-Louise Grégoire Sainte-Foy, Québec 20 juin 1779 Charles Grégoire Louise-Marguerite Racine Germain Auclair Angélique Marois L’Ange-Gardien 11 janvier 1745 François Marois Marie-Anne Hébert Charles Auclair Madeleine Déry Charlesbourg 14 juillet 1712 Maurice Desry Madeleine Philippeau Pierre Auclair Marie-Madeleine Sédilot dit Montreuil Charlesbourg Contrat de mariage le 6 mars 1679 Notaire Becquet Étienne Sédilot dit Montreuil Marie-Madeleine Carbonnet Pierre Auclair Suzanne Aubineau Pierre n’est pas venu en Nouvelle-France, mariés vers 1653 à La Rochelle. Suzanne est de Saint-Christophe D’Angoulins, arrondissement et évêché de La Rochelle, Aunis (Charente-Maritime), France.   Jean-Paul Auclair Résident de La Prairie depuis 1941, Jean-Paul a offert à la population de la région l'avantage du loisir que procure le cinéma, de 1945 à 1982. Son édifice, qui a changé de vocation depuis, est situé sur le Chemin de Saint-Jean, près de la rue Notre-Dame. La contribution de Jean-Paul à l'essor économique et social de La Prairie s'est échelonné au cours des ans et se continue encore aujourd'hui. Co-fondateur de la Chambre de commerce, il en assume la tâche de secrétaire durant 18 ans. Intéressé aux loisirs des jeunes, il devient instructeur du club de hockey mineur. Jean-Paul ne ménage pas ses énergies pour « faire avancer les choses », il participe à la fondation des clubs Lions et Optimiste, et demeure un membre actif. Bien plus, pendant un mandat de 4 années, il fait équipe avec le conseil municipal de la Ville à titre de conseiller. Lorsqu'arrivent les années 1980, avec l'avènement d'une population vieillissante beaucoup plus nombreuse, Jean-Paul ajoute à ses activités de bénévolat la participation à la mise en place du Campus des Aînés. Il assume alors plusieurs postes successifs à la direction des projets. Homme d'équipe, il demeure celui sur qui on peut compter quotidiennement. Que de démarches entreprises pour l'implantation de résidences pour personnes âgées : Centre d'Accueil, Résidence Balmoral lnc., les maisons de l'AQDR et Jean Gaudreau. On peut qualifier Jean-Paul de bénévole par excellence, généreux de son temps et de ses compétences mis au service de la Ville de La Prairie et de ses concitoyens.   L'ancêtre Pierre Auclair et André Auclair, sculpteur L'ancêtre Pierre Auclair et son épouse Madeleine Sédilot-Bédard eurent une famille nombreuse, dix enfants atteignirent l'âge de la maturité. Deux garçons furent prêtres et 3 filles choisirent la vie religieuse. Pour ce qui est de l'histoire des générations successives, les recherches sont encore à faire. Un descendant s'est illustré à titre de sculpteur dans le Montréal du XIXe siècle. Voyons un peu le déroulement de sa vie. ANDRÉ AUCLAIR (1803-1865) travaille avec son père comme maçon, tailleur de pierre et entrepreneur en construction. Son loisir préféré devint rapidement la sculpture de personnages à même les blocs de pierre tirés des carrières du Mont-Royal. Dans la mentalité de l'époque il était impensable de voir un fils qui n'appartenait pas, de par ses origines, à la bourgeoisie bien nantie, être admis auprès des maîtres-sculpteurs. Devant un bloc informe, André imaginait une jolie dentelle dans la pierre d'un bâtiment qu'il construisait. Bien plus, il sculpta une statue de la Vierge de quatre pieds de hauteur et en fit don à Mgr Ignace Bourget, 2e évêque de Montréal. Celui-ci place la statue dans la cathédrale pour l'édification des fidèles. En date du 13 décembre 1842, dans « les Mélanges religieux », le journaliste écrit des commentaires fort élogieux sur la statue. Hélas, ce témoin du talent d'André fut détruit en 1852, lors du grand feu de Montréal. La cathédrale faisait partie des 1600 édifices détruits par les flammes. La maison d'André est anéantie elle aussi. Il remet sur pied son entreprise de construction, et cela, grâce au crédit que les banques lui accordent. André s'est acquis une solide réputation, il est honnête et compétent. Ses concitoyens l'élisent échevin de Montréal. Jusqu'à son décès en 1865, il s'adonne à son loisir préféré de sculpteur. André aimait la beauté, ses mains en ont fait naître; dommage que ses œuvres soient versées dans l'oubli!  ...

    Généalogie de Jérémie Robert

    Jérémie Robert

    Notre ami Jérémie est né le 2 juin 1913, il fit ses études à l'école de Saint-Mathieu. En 1927 il était déjà sur le marché du travail, engagé par la National Brick à Delson jusque vers 1931, puis il passa à la Canada Creosoting (Domtar), où il travailla durant trente-cinq ans. Il prit sa retraite en 1978. Mais quand on connaît monsieur Robert on sait qu'il n'a jamais pris vraiment de retraite. Dès l'âge de seize ans il devenait propriétaire d'un Ford 1914 pour trois cents dollars. Il a livré du bois, du charbon et de l'huile à chauffage jusqu'au pied du courant (Montréal) à cheval et en camion de 1932 à 1936.

    Jérémie Robert « Bootlegger », de 1932 à 1936, fait du transport de contrebande entre New York–Montréal–Mont-Laurier, où il a réussi la plupart du temps à déjouer ses poursuivants. Il posséda cinq camions Réo. Mais le 18 juillet 1936 à Terrebonne, un dimanche, à une heure et demie du matin, pour éviter d'être coincé, il a passé à travers un barrage et une clôture pour finalement tomber à l'eau. Le malheur c'est qu'il ne savait pas nager. Il fut pris. Monsieur Robert a perdu ses cinq camions d'une valeur de 3 800 $ chacun et fut condamné à une amende de 250 $. Il lui restait soixante cents pour téléphoner. Si cette épopée lui a coûté cher, elle fut riche en histoires bouleversantes. Il y a eu des moments trépidants qui se sont ajoutés à une vie intensément active.

    Louis Robert dit Lafontaine dit Lapomeray

    Louis Robert est né à Cognehors de La Rochelle le douze août 1638. Il vint en Nouvelle-France en qualité de soldat du Régiment de Carignan dans la Cie de monsieur Arnoult de Loubias; à l'été de 1665, les soldats s'embarquèrent à la Rochelle sur le Saint-Sébastien et arrivèrent à Québec le douze septembre en même temps que monsieur de Courcelle et Talon. Au mois de janvier 1666, il se dirige avec ses compagnons d'armes vers Trois-Rivières, lieu de leur cantonnement.

    Le dix janvier 1666, il passait un contrat de mariage avec Marie Bourgery, devant le notaire Séverin Ameau. La jeune fiancée n'avait pas encore douze ans, âge requis pour le mariage, la cérémonie religieuse fut célébrée en novembre 1670. Pierre Boucher, gouverneur de Trois-Rivières, et Henri de Chastelard, marquis de Salières, furent témoins de leur union, de laquelle naquirent neuf fils et trois filles.

    En 1668, lors de son licenciement de l'armée, Louis, désireux de s'établir à demeure en Nouvelle-France reçoit du Roi de France la somme de cent francs et les vivres d'une année; il s'établit définitivement à Boucherville comme agriculteur tout en exerçant le métier de cordonnier.

    Louis Robert décéda le premier janvier 1711, et son épouse Marie suivit le dix-neuf septembre 1719. Ils furent inhumés dans le cimetière de Boucherville. Cinq de ses fils et une fille vinrent s'établir dans la Seigneurie de Laprairie de la Magdeleine. De son passage à l'armée, l'ancêtre Louis avait gardé le surnom de Lafontaine, qu'il porta toute sa vie.

    Robert dit Lafontaine dit Lapomeray

    Jean-Guy, Yvon et Jean-Roch

     

     

    Jérémie Robert

    Léocadie Robert dit Le Breton

    Saint-Mathieu

    16 octobre 1937

    Cyprien Robert dit Le Breton

    Marie-Rose Longtin

    Omer Robert

    M.-Louise Robert dit Lapomeray

    Saint-Philippe de La Prairie

    15 septembre 1908

    Toussaint Robert dit Lapomeray

    Mathilda Foucreault

    Olivier Robert

    Mathilde Lefort

    Saint-Constant

    27 novembre 1860

    Barthélémie Lefort dit Laprairie

    Marie Robert dit Lapomeray

    Julien Robert

    Josephte Boyer

    Saint-Philippe de La Prairie

    15 octobre 1829

    Jean-Baptiste Boyer

    Marie Sédilot dit Montreuil

    Henri Robert

    Marguerite Roy

    Saint-Philippe de La Prairie

    2 octobre 1797

    Ignace Roy dit La Pensée

    Marie-Josephte De Rainville

    Pierre Robert

    Josephte Patenaude

    Saint-Philippe de La Prairie

    26 novembre 1764

    Joseph Patenaude

    Marie Deniau dit Destaillis

    François Robert dit Lapomeray

    Charlotte Robin dit Lapointe

    Saint-Antoine de Longueuil

    11 mai 1739

    Michel Robin dit Lapointe

    Angélique Dupré dit Rochefort

    François Robert dit Lapomeray

    Marie Lanctôt

    Saint-Antoine de Longueuil

    26 juin 1712

    François Lanctôt

    Marguerite Ménard dit Lafontaine

    Louis Robert dit Lafontaine

    Marie Bourgery

    Notre-Dame des Trois-Rivières

    25 novembre 1666

    Jean-Baptiste Bourgery

    Marie Gendre

    André Robert, marchand

    Catherine Bonin

    Sainte-Marguerite de La Rochelle

    20 février 1629

     

    Pierre Robert, laboureur

    Léonne Rembault

    Louis Robert, baptisé le 12/08/1638 à Sainte-Marguerite, ville, arrondisement et évêché de La Rochelle, Aunis (Charente-Maritime), France.

    Il est venu en Nouvelle-France en qualité de soldat du Régiment de Carignan, Compagnie De Loubias. Agriculteur et cordonnier de métier.

    Jérémie Robert Notre ami Jérémie est né le 2 juin 1913, il fit ses études à l'école de Saint-Mathieu. En 1927 il était déjà sur le marché du travail, engagé par la National Brick à Delson jusque vers 1931, puis il passa à la Canada Creosoting (Domtar), où il travailla durant trente-cinq ans. Il prit sa retraite en 1978. Mais quand on connaît monsieur Robert on sait qu'il n'a jamais pris vraiment de retraite. Dès l'âge de seize ans il devenait propriétaire d'un Ford 1914 pour trois cents dollars. Il a livré du bois, du charbon et de l'huile à chauffage jusqu'au pied du courant (Montréal) à cheval et en camion de 1932 à 1936. Jérémie Robert « Bootlegger », de 1932 à 1936, fait du transport de contrebande entre New York–Montréal–Mont-Laurier, où il a réussi la plupart du temps à déjouer ses poursuivants. Il posséda cinq camions Réo. Mais le 18 juillet 1936 à Terrebonne, un dimanche, à une heure et demie du matin, pour éviter d'être coincé, il a passé à travers un barrage et une clôture pour finalement tomber à l'eau. Le malheur c'est qu'il ne savait pas nager. Il fut pris. Monsieur Robert a perdu ses cinq camions d'une valeur de 3 800 $ chacun et fut condamné à une amende de 250 $. Il lui restait soixante cents pour téléphoner. Si cette épopée lui a coûté cher, elle fut riche en histoires bouleversantes. Il y a eu des moments trépidants qui se sont ajoutés à une vie intensément active. Louis Robert dit Lafontaine dit Lapomeray Louis Robert est né à Cognehors de La Rochelle le douze août 1638. Il vint en Nouvelle-France en qualité de soldat du Régiment de Carignan dans la Cie de monsieur Arnoult de Loubias; à l'été de 1665, les soldats s'embarquèrent à la Rochelle sur le Saint-Sébastien et arrivèrent à Québec le douze septembre en même temps que monsieur de Courcelle et Talon. Au mois de janvier 1666, il se dirige avec ses compagnons d'armes vers Trois-Rivières, lieu de leur cantonnement. Le dix janvier 1666, il passait un contrat de mariage avec Marie Bourgery, devant le notaire Séverin Ameau. La jeune fiancée n'avait pas encore douze ans, âge requis pour le mariage, la cérémonie religieuse fut célébrée en novembre 1670. Pierre Boucher, gouverneur de Trois-Rivières, et Henri de Chastelard, marquis de Salières, furent témoins de leur union, de laquelle naquirent neuf fils et trois filles. En 1668, lors de son licenciement de l'armée, Louis, désireux de s'établir à demeure en Nouvelle-France reçoit du Roi de France la somme de cent francs et les vivres d'une année; il s'établit définitivement à Boucherville comme agriculteur tout en exerçant le métier de cordonnier. Louis Robert décéda le premier janvier 1711, et son épouse Marie suivit le dix-neuf septembre 1719. Ils furent inhumés dans le cimetière de Boucherville. Cinq de ses fils et une fille vinrent s'établir dans la Seigneurie de Laprairie de la Magdeleine. De son passage à l'armée, l'ancêtre Louis avait gardé le surnom de Lafontaine, qu'il porta toute sa vie. Robert dit Lafontaine dit Lapomeray Jean-Guy, Yvon et Jean-Roch     Jérémie Robert Léocadie Robert dit Le Breton Saint-Mathieu 16 octobre 1937 Cyprien Robert dit Le Breton Marie-Rose Longtin Omer Robert M.-Louise Robert dit Lapomeray Saint-Philippe de La Prairie 15 septembre 1908 Toussaint Robert dit Lapomeray Mathilda Foucreault Olivier Robert Mathilde Lefort Saint-Constant 27 novembre 1860 Barthélémie Lefort dit Laprairie Marie Robert dit Lapomeray Julien Robert Josephte Boyer Saint-Philippe de La Prairie 15 octobre 1829 Jean-Baptiste Boyer Marie Sédilot dit Montreuil Henri Robert Marguerite Roy Saint-Philippe de La Prairie 2 octobre 1797 Ignace Roy dit La Pensée Marie-Josephte De Rainville Pierre Robert Josephte Patenaude Saint-Philippe de La Prairie 26 novembre 1764 Joseph Patenaude Marie Deniau dit Destaillis François Robert dit Lapomeray Charlotte Robin dit Lapointe Saint-Antoine de Longueuil 11 mai 1739 Michel Robin dit Lapointe Angélique Dupré dit Rochefort François Robert dit Lapomeray Marie Lanctôt Saint-Antoine de Longueuil 26 juin 1712 François Lanctôt Marguerite Ménard dit Lafontaine Louis Robert dit Lafontaine Marie Bourgery Notre-Dame des Trois-Rivières 25 novembre 1666 Jean-Baptiste Bourgery Marie Gendre André Robert, marchand Catherine Bonin Sainte-Marguerite de La Rochelle 20 février 1629   Pierre Robert, laboureur Léonne Rembault Louis Robert, baptisé le 12/08/1638 à Sainte-Marguerite, ville, arrondisement et évêché de La Rochelle, Aunis (Charente-Maritime), France. Il est venu en Nouvelle-France en qualité de soldat du Régiment de Carignan, Compagnie De Loubias. Agriculteur et cordonnier de métier. ...

    Lériger dit Laplante ou Courville

    Lériger dit Laplante ou Courville

    Bernard Courville

    Agnès Bonneau

    Sainte-Sabine, comté de Missisquoi

    23 février 1897

    Marcel Bonneau

    Tharsille L’Homme

    Zéphirin Laplante dit Courville

    Sophonie Poirier

    Notre-Dame-des-Anges de Stanbridge

    29 octobre 1866

    Olivier Poirier

    Marianne Comeau

    Moyse Laplante

    Flavie Moreau

    Saint-Luc, comté de Saint-Jean

    19 avril 1842

    Jean-Baptiste Moreau

    Isabelle Dépelteau

    Georges-Louis Laplante

    Amable Sainte-Marie

    Saint-Antoine de Longueuil

    10 octobre 1814

    Joseph Sainte-Marie

    Marguerite Dufresne

    Louis de Laplante

    Marie-Louise Brosseau

    La Nativité de La Prairie

    04 février 1793

    Louis Brosseau

    Marie-Louise Frichet

    Louis de Laplante

    Marie-Madeleine Lefebvre

    La Nativité de La Prairie

    07 novembre 1768

    Pierre Lefebvre

    Marguerite Moquin

    Jean-Baptiste Lérigé

    Marie-Catherine Rougier

    La Nativité de La Prairie

    14 novembre 1740

    Antoine Rougier

    Marie-Jeanne Lafaillette

    Clément Lérigé sieur de Laplante

    Marie-Marguerite Roy

    Saint-Lambert, seigneurie de La Prairie

    08 septembre 1700

    Pierre Roy

    Catherine Ducharme

    Paul Lérigé

    Mauricette du Souchet

    Saint-Cloud à Confolens, France

    02 septembre 1660

     

    Antoine Lériger

    Andrée Mesturas

    Clément est de Gourville, arr. d’Angoulême, Angoumois (Charente) France

    Sieur de La Taillandière

    Pierre Lériget

    Louise Thuet

    Mariés en 1582

    Sieur de La Faye

    Lériger dit Laplante ou Courville Bernard Courville Agnès Bonneau Sainte-Sabine, comté de Missisquoi 23 février 1897 Marcel Bonneau Tharsille L’Homme Zéphirin Laplante dit Courville Sophonie Poirier Notre-Dame-des-Anges de Stanbridge 29 octobre 1866 Olivier Poirier Marianne Comeau Moyse Laplante Flavie Moreau Saint-Luc, comté de Saint-Jean 19 avril 1842 Jean-Baptiste Moreau Isabelle Dépelteau Georges-Louis Laplante Amable Sainte-Marie Saint-Antoine de Longueuil 10 octobre 1814 Joseph Sainte-Marie Marguerite Dufresne Louis de Laplante Marie-Louise Brosseau La Nativité de La Prairie 04 février 1793 Louis Brosseau Marie-Louise Frichet Louis de Laplante Marie-Madeleine Lefebvre La Nativité de La Prairie 07 novembre 1768 Pierre Lefebvre Marguerite Moquin Jean-Baptiste Lérigé Marie-Catherine Rougier La Nativité de La Prairie 14 novembre 1740 Antoine Rougier Marie-Jeanne Lafaillette Clément Lérigé sieur de Laplante Marie-Marguerite Roy Saint-Lambert, seigneurie de La Prairie 08 septembre 1700 Pierre Roy Catherine Ducharme Paul Lérigé Mauricette du Souchet Saint-Cloud à Confolens, France 02 septembre 1660   Antoine Lériger Andrée Mesturas Clément est de Gourville, arr. d’Angoulême, Angoumois (Charente) France Sieur de La Taillandière Pierre Lériget Louise Thuet Mariés en 1582 Sieur de La Faye ...

    Généalogie de Bernard Courville

    Monseigneur Bernard Courville est né à Notre-Dame de Stanbridge le 2 août 1911, cours primaire dans la même localité; cours classique au Collège de Saint-Jean-sur-Richelieu, études théologiques au Grand Séminaire de Montréal. Il fut ordonné prêtre en l'église Saint-Joseph de Chambly le 22 mai 1937.

    Il fut tour à tour professeur de mathématiques pendant 27½ ans au collège de Saint-Jean, Recteur du Séminaire de Saint-Jean-sur-Richelieu de 1958 à 1964, curé de Saint-Luc de 1965 à 1972, curé à Notre-Dame-Auxiliatrice de Saint-Jean de 1972 à 1984, et vicaire à Saint-Bruno de 1984 à 1994. Nommé Prélat Domestique il y a quelques années, Monseigneur Courville jouit depuis mars 1994 d'une retraite bien méritée à la Résidence Marie-Léonie de La Prairie.
     

    D’Azur, à une bande d’or, chargée de trois Aiglettes de Gueules, les ailes étendues

    L’Ancêtre Clément Lériger, sieur de Laplante, enseigne dans les Troupes de la Marine, arriva au Pays en 1685 à 23 ans avec M. de Denonville.

    Au lendemain du massacre de Lachine le 6 août 1689, il se trouvait en garnison au fort Remy. Les soldats de la garnison marchaient au combat quand ils furent attaqués par les Iroquois, l'ancêtre fut au nombre des prisonniers. Lériger, après bien des tortures, fut amené en captivité au pays d'Onontagué, dans l'actuel état de New York. Il y appris leurs moeurs et langage, ce qui lui permit d'être interprète. Il fut libéré après 3½ ans par un détachement de M. de Beaucour.

    Quelques années plus tard nous le retrouvons comme chef de garnison au Fort Saint-Lambert, anciennement de la seigneurie de La Prairie, près de l'actuel pont Victoria. La paix avec les Amérindiens fut ratifiée dans la joie le 4 août 1701. Le marin Lériger n'était pas de cette fête.

    Monseigneur Bernard Courville est né à Notre-Dame de Stanbridge le 2 août 1911, cours primaire dans la même localité; cours classique au Collège de Saint-Jean-sur-Richelieu, études théologiques au Grand Séminaire de Montréal. Il fut ordonné prêtre en l'église Saint-Joseph de Chambly le 22 mai 1937. Il fut tour à tour professeur de mathématiques pendant 27½ ans au collège de Saint-Jean, Recteur du Séminaire de Saint-Jean-sur-Richelieu de 1958 à 1964, curé de Saint-Luc de 1965 à 1972, curé à Notre-Dame-Auxiliatrice de Saint-Jean de 1972 à 1984, et vicaire à Saint-Bruno de 1984 à 1994. Nommé Prélat Domestique il y a quelques années, Monseigneur Courville jouit depuis mars 1994 d'une retraite bien méritée à la Résidence Marie-Léonie de La Prairie.   D’Azur, à une bande d’or, chargée de trois Aiglettes de Gueules, les ailes étendues L’Ancêtre Clément Lériger, sieur de Laplante, enseigne dans les Troupes de la Marine, arriva au Pays en 1685 à 23 ans avec M. de Denonville. Au lendemain du massacre de Lachine le 6 août 1689, il se trouvait en garnison au fort Remy. Les soldats de la garnison marchaient au combat quand ils furent attaqués par les Iroquois, l'ancêtre fut au nombre des prisonniers. Lériger, après bien des tortures, fut amené en captivité au pays d'Onontagué, dans l'actuel état de New York. Il y appris leurs moeurs et langage, ce qui lui permit d'être interprète. Il fut libéré après 3½ ans par un détachement de M. de Beaucour. Quelques années plus tard nous le retrouvons comme chef de garnison au Fort Saint-Lambert, anciennement de la seigneurie de La Prairie, près de l'actuel pont Victoria. La paix avec les Amérindiens fut ratifiée dans la joie le 4 août 1701. Le marin Lériger n'était pas de cette fête....

    Généalogie de Bernard Courville (suite)

    Clément, dans un coup de cœur, avait décidé de se marier en cachette le jour même à la chapelle de la Sainte-Vierge, à Saint-Lambert. Ce qui lui valu d'être cassé bien à contre coeur par M. de Callières. Le roi défendait à un gradé d'épouser une fille sans dot, aussi belle fut-elle. Sa belle Marie née Marguerite, comme sa soeur aînée religieuse de la C.N.D., était fille d'un citoyen de l'endroit, Pierre Roy, un Poitevin, et de Catherine Ducharme, d'origine parisienne. Il retrouvera son rang dans la troupe, par la grâce du Roi, deux ans plus tard.

    Le mariage de Clément ne fut pas improvisé. Il avait acquis du veuf Pierre Bourdeau une terre de 150 arpents sise «au lieu de la Tortue» dans la seigneurie de La Prairie de la Magdeleine. Et, le 14 février 1714, Clément obtenait du Père François Vaillant, «gérant les affaires» de la seigneurie des Jésuites, une concession de 60 arpents de terre près de René Dupuis à la Côte Saint-Joseph. Mais son acquisition la plus considérable fut celle de 250 arpents en superficie à la même côte, octroyée par les mêmes Jésuites, le 29 mars 1727. Clément est devenu Lieutenant du détachement de la Marine, titre reçu depuis le 7 mai 1720.

    Le couple fondateur, en 42 ans de vie conjugale, eut 12 ou 13 enfants selon les sources consultées. L'Ancêtre entouré de ses enfants et petits-enfants, après avoir reçu les sacrements de la Sainte Église s'éteignit à l'âge exceptionnel pour l'époque de 80 ans. Il léguait à ses descendants un héritage de Foi, d'Honneur et de Bravoure.

    Signature de Clément Lériger sieur de Laplante

     

    Clément, dans un coup de cœur, avait décidé de se marier en cachette le jour même à la chapelle de la Sainte-Vierge, à Saint-Lambert. Ce qui lui valu d'être cassé bien à contre coeur par M. de Callières. Le roi défendait à un gradé d'épouser une fille sans dot, aussi belle fut-elle. Sa belle Marie née Marguerite, comme sa soeur aînée religieuse de la C.N.D., était fille d'un citoyen de l'endroit, Pierre Roy, un Poitevin, et de Catherine Ducharme, d'origine parisienne. Il retrouvera son rang dans la troupe, par la grâce du Roi, deux ans plus tard. Le mariage de Clément ne fut pas improvisé. Il avait acquis du veuf Pierre Bourdeau une terre de 150 arpents sise «au lieu de la Tortue» dans la seigneurie de La Prairie de la Magdeleine. Et, le 14 février 1714, Clément obtenait du Père François Vaillant, «gérant les affaires» de la seigneurie des Jésuites, une concession de 60 arpents de terre près de René Dupuis à la Côte Saint-Joseph. Mais son acquisition la plus considérable fut celle de 250 arpents en superficie à la même côte, octroyée par les mêmes Jésuites, le 29 mars 1727. Clément est devenu Lieutenant du détachement de la Marine, titre reçu depuis le 7 mai 1720. Le couple fondateur, en 42 ans de vie conjugale, eut 12 ou 13 enfants selon les sources consultées. L'Ancêtre entouré de ses enfants et petits-enfants, après avoir reçu les sacrements de la Sainte Église s'éteignit à l'âge exceptionnel pour l'époque de 80 ans. Il léguait à ses descendants un héritage de Foi, d'Honneur et de Bravoure. Signature de Clément Lériger sieur de Laplante  ...

    Généalogie de Florette Raymond (Ratier)

    Ratier dit Raymond

    Florette Raymond

     

     

    Camille Raymond

    Marie-Doria Caron

    Sainte-Monique, comté de Nicolet

    21 novembre 1916

    Zéphirin Caron

    Marie-Hélène Lauzière

    Louis Raymond

    Marie Provencher

    Nicolet

    08 janvier 1878

    Abraham Provencher

    Julie Bellerose

    Antoine Ratier dit Raymond

    Angèle Richard

    Nicolet

    30 mai 1831

    Armand Richard

    Josephte Vilat dit Beausoleil

    Jean-Baptiste Ratier dit Raymond

    Marie-Antoinette Dumas

    Nicolet

    13 février 1787

    Jean-Baptiste Dumas

    Marie-Ursule Chauvette

    Antoine Ratier dit Raymond

    Marie-Josephte Cotteret

    Nicolet

    07 janvier 1749

    Pierre Cotteret

    Marie-Louise Therrien

    Raymond Ratier

    Marguerite Ondoyer

    Trois-Rivières

    04 octobre 1722

    Martin-Antoine Ondoyer

    Marie Esnard

    François Ratier

    Bertrande Mercadier

    de Saint-Pierre-la-Feuille

    diocèse de Cahor, Queroy (Lot) France

     

    Ratier dit Raymond Florette Raymond     Camille Raymond Marie-Doria Caron Sainte-Monique, comté de Nicolet 21 novembre 1916 Zéphirin Caron Marie-Hélène Lauzière Louis Raymond Marie Provencher Nicolet 08 janvier 1878 Abraham Provencher Julie Bellerose Antoine Ratier dit Raymond Angèle Richard Nicolet 30 mai 1831 Armand Richard Josephte Vilat dit Beausoleil Jean-Baptiste Ratier dit Raymond Marie-Antoinette Dumas Nicolet 13 février 1787 Jean-Baptiste Dumas Marie-Ursule Chauvette Antoine Ratier dit Raymond Marie-Josephte Cotteret Nicolet 07 janvier 1749 Pierre Cotteret Marie-Louise Therrien Raymond Ratier Marguerite Ondoyer Trois-Rivières 04 octobre 1722 Martin-Antoine Ondoyer Marie Esnard François Ratier Bertrande Mercadier de Saint-Pierre-la-Feuille diocèse de Cahor, Queroy (Lot) France   ...

    Généalogie de Paul Racine

    Racine

    Paul Racine

     

     

    André Racine

    Fernande Oligny

    Notre-Dame-de-Lourdes

    Saint-Jean-sur-Richelieu

    20 février 1960

    Eximer Oligny

    Elisa Chagnon

    Armand Racine

    Laurentia Langlois

    La Nativité de La Prairie

    29 septembre 1920

    Joseph Langlois

    Arthémise Bleau

    Joseph-Louis Racine

    Alphonsine Bisaillon

    Saint-Luc-sur-Richelieu

    11 février 1890

    Paul Bisaillon

    Eugénie Brossard

    Julien Racine

    Onésime Piédalue

    Saint-Joseph de Chambly

    14 janvier 1862

    Julien Piédalue

    Elisabeth Dubuc

    François Racine

    Clothilde Brosseau

    La Nativité de La Prairie

    10 novembre 1817

    Hyppolyte Brosseau

    Catherine Bétourne

    Charles Racine

    Catherine Baillargeon

    La Nativité de La Prairie

    23 novembre 1795

    Jean-Baptiste Baillargeon

    Josephte Desnoyers

    François Racine

    Marie-Angélique Deniger

    La Nativité de La Prairie

    13 novembre 1762

    Laurent Deniger

    Angélique Lonquetin

    François Racine

    Geneviève Veau-Sylvain

    Sainte-Anne-de-Beaupré

    18 avril 1717

    Étienne Veau-Sylvain

    Marguerite Gagnon

    François Racine

    Marie Boucher/Morency

    Sainte-Famille de L’Ile d’Orléans

    29 octobre 1676

    Guillaume Boucher/Morency

    Marie Paradis

    Estienne Racine

    Marguerite Martin

    Notre-Dame de Québec

    22 mai 1638

    Abraham Martin

    Marguerite Langlois

    René Racine

    Marie Loysel

    Saint-Germain de Fumichon

    Normandie (Calvados)

     

    Racine Paul Racine     André Racine Fernande Oligny Notre-Dame-de-Lourdes Saint-Jean-sur-Richelieu 20 février 1960 Eximer Oligny Elisa Chagnon Armand Racine Laurentia Langlois La Nativité de La Prairie 29 septembre 1920 Joseph Langlois Arthémise Bleau Joseph-Louis Racine Alphonsine Bisaillon Saint-Luc-sur-Richelieu 11 février 1890 Paul Bisaillon Eugénie Brossard Julien Racine Onésime Piédalue Saint-Joseph de Chambly 14 janvier 1862 Julien Piédalue Elisabeth Dubuc François Racine Clothilde Brosseau La Nativité de La Prairie 10 novembre 1817 Hyppolyte Brosseau Catherine Bétourne Charles Racine Catherine Baillargeon La Nativité de La Prairie 23 novembre 1795 Jean-Baptiste Baillargeon Josephte Desnoyers François Racine Marie-Angélique Deniger La Nativité de La Prairie 13 novembre 1762 Laurent Deniger Angélique Lonquetin François Racine Geneviève Veau-Sylvain Sainte-Anne-de-Beaupré 18 avril 1717 Étienne Veau-Sylvain Marguerite Gagnon François Racine Marie Boucher/Morency Sainte-Famille de L’Ile d’Orléans 29 octobre 1676 Guillaume Boucher/Morency Marie Paradis Estienne Racine Marguerite Martin Notre-Dame de Québec 22 mai 1638 Abraham Martin Marguerite Langlois René Racine Marie Loysel Saint-Germain de Fumichon Normandie (Calvados)   ...

    Généalogie de Paul Racine (suite)

    Paul Racine

    Né à La Prairie en 1964, il fit ses études collégiales au Cégep de Saint-Jean-sur-Richelieu. Bachelier en histoire de l'an de l'Université de Montréal depuis 1986, puis une scolarité de maîtrise â l'Université Laval.

    Passionné de l'art religieux québécois et de son architecture, Paul Racine va donner plusieurs conférences sur les églises de la région. Il a conçu les expositions – Les trésors de l'église de la Nativité, trois siècles d'an et d'architecture – pour les tètes du 150ième anniversaire de l'église de La Prairie, el -A l'ombre du clocher de Sainte-Famille – pour le 325ième anniversaire de Boucherville.

    À cela s'ajoute des travaux d'écriture – La Nativité de la Prairie (1667-1991) -, écrit en collaboration avec Gaétan Bourdages et Michel Létourneau, un numéro spécial de la revue Le Carignan sur le patrimoine religieux sorelois et l'ouvrage – L'église de L'Acadie et ses dépendances·. une publication qu'il fit en collaboration avec le regretté Pierre Brault. En 1993-1994, il entreprend avec Sylvie Delom1e assistante de classifier et d'indexer les archives de la paroisse de La Nativité de La Prairie.

    Depuis plusieurs années, il oeuvre au sein des sociétés d'histoire de la région dont celle de La Prairie de la Magdeleine où il fut vice-président de 1988 à 1990. Depuis 1992 il siège à titre de vice-président exécutif au conseil d'administration de la Fédération des sociétés d'histoire du Québec. Il s'occupe présentement du fonctionnement des «Excursions-Concerts» un concept nouveau pour faire découvrir au public l'histoire, les trésors des églises d'ici et leurs orgues. Il effectue ce travail en collaboration avec messieurs Serge Bureau, responsable du groupe, et Pierre Gadbois, organiste.

     

    Les RacineRacine, Lucien, Dictionnaire généalogique de la famille Racine en Amérique, vol. 1 & 3, Gatineau, Ed. J. Oscar Lemieux, 1989 (2ième édition)

    Armand Racine, grand-père de Paul fut marguillier de la paroisse de La Nativité de La Prairie de 1953 à 1956. Tout comme son père, Armand qui était un cultivateur, résida au rang de La Bataille nord « côte Saint-François-de-Borgia ». Le trisaïeul d'Armand, François Racine époux de Marie-Angélique Deniger, est l'ancêtre commun de tous les Racine originaires de La Prairie. Ce dernier va s'établir à la côte des Prairies où il acheta une terre de deux arpents de front sur vingt-huit de profondeur de Jean-Baptiste Surprenant. En 1795, il cède la moitié de sa terre à son fils Charles.
     
    L'ancêtre Estienne Racine arriva à Québec entre 1634 et 1636. Il fut d'abord domestique chez Guillaume Hubou. Vers 1644, les jésuites demandent à Estienne Racine d'aller à Sault-Sainte-Marie au Pays-des-Hurons sur la Baie Georgienne, où il séjourna pendant près de deux ans avec quelques voyages à Québec. En octobre 1647, il retourna en France avec Olivier Le Tardif afin de recruter de nouveaux colons. Le 27 mars 1650, Olivier Le Tardif concède, une terre près de la rivière aux Chiens au couple Racine, et c'est ainsi que celui-ci devint le premier à se fixer là où devait naître le bourg de Sainte-Anne-de-Beaupré. Estienne Racine décéda le 24 avril 1689 à sa résidenceDe nos jours, une partie de cette terre de même que la maison de pierre qui s’y trouve « une construction datant de la seconde moitié du XVIII ième siècle et agrandie vers 1809 » appartiennent à l’architecte Michel Létourneau.de Sainte-Anne-de-Beaupré. Il fut inhumé le 26 avril dans la crypte de l'église paroissiale.

    À Sainte-Anne-de-Beaupré, cette belle maison ancestrale identifie la terre sur laquelle se fixèrent Estienne Racine et Marguerite Martin.

     

    Paul Racine Né à La Prairie en 1964, il fit ses études collégiales au Cégep de Saint-Jean-sur-Richelieu. Bachelier en histoire de l'an de l'Université de Montréal depuis 1986, puis une scolarité de maîtrise â l'Université Laval. Passionné de l'art religieux québécois et de son architecture, Paul Racine va donner plusieurs conférences sur les églises de la région. Il a conçu les expositions - Les trésors de l'église de la Nativité, trois siècles d'an et d'architecture - pour les tètes du 150ième anniversaire de l'église de La Prairie, el -A l'ombre du clocher de Sainte-Famille - pour le 325ième anniversaire de Boucherville. À cela s'ajoute des travaux d'écriture - La Nativité de la Prairie (1667-1991) -, écrit en collaboration avec Gaétan Bourdages et Michel Létourneau, un numéro spécial de la revue Le Carignan sur le patrimoine religieux sorelois et l'ouvrage - L'église de L'Acadie et ses dépendances·. une publication qu'il fit en collaboration avec le regretté Pierre Brault. En 1993-1994, il entreprend avec Sylvie Delom1e assistante de classifier et d'indexer les archives de la paroisse de La Nativité de La Prairie. Depuis plusieurs années, il oeuvre au sein des sociétés d'histoire de la région dont celle de La Prairie de la Magdeleine où il fut vice-président de 1988 à 1990. Depuis 1992 il siège à titre de vice-président exécutif au conseil d'administration de la Fédération des sociétés d'histoire du Québec. Il s'occupe présentement du fonctionnement des «Excursions-Concerts» un concept nouveau pour faire découvrir au public l'histoire, les trésors des églises d'ici et leurs orgues. Il effectue ce travail en collaboration avec messieurs Serge Bureau, responsable du groupe, et Pierre Gadbois, organiste.   Les RacineRacine, Lucien, Dictionnaire généalogique de la famille Racine en Amérique, vol. 1 & 3, Gatineau, Ed. J. Oscar Lemieux, 1989 (2ième édition) Armand Racine, grand-père de Paul fut marguillier de la paroisse de La Nativité de La Prairie de 1953 à 1956. Tout comme son père, Armand qui était un cultivateur, résida au rang de La Bataille nord « côte Saint-François-de-Borgia ». Le trisaïeul d'Armand, François Racine époux de Marie-Angélique Deniger, est l'ancêtre commun de tous les Racine originaires de La Prairie. Ce dernier va s'établir à la côte des Prairies où il acheta une terre de deux arpents de front sur vingt-huit de profondeur de Jean-Baptiste Surprenant. En 1795, il cède la moitié de sa terre à son fils Charles.   L'ancêtre Estienne Racine arriva à Québec entre 1634 et 1636. Il fut d'abord domestique chez Guillaume Hubou. Vers 1644, les jésuites demandent à Estienne Racine d'aller à Sault-Sainte-Marie au Pays-des-Hurons sur la Baie Georgienne, où il séjourna pendant près de deux ans avec quelques voyages à Québec. En octobre 1647, il retourna en France avec Olivier Le Tardif afin de recruter de nouveaux colons. Le 27 mars 1650, Olivier Le Tardif concède, une terre près de la rivière aux Chiens au couple Racine, et c'est ainsi que celui-ci devint le premier à se fixer là où devait naître le bourg de Sainte-Anne-de-Beaupré. Estienne Racine décéda le 24 avril 1689 à sa résidenceDe nos jours, une partie de cette terre de même que la maison de pierre qui s’y trouve « une construction datant de la seconde moitié du XVIII ième siècle et agrandie vers 1809 » appartiennent à l’architecte Michel Létourneau.de Sainte-Anne-de-Beaupré. Il fut inhumé le 26 avril dans la crypte de l'église paroissiale. À Sainte-Anne-de-Beaupré, cette belle maison ancestrale identifie la terre sur laquelle se fixèrent Estienne Racine et Marguerite Martin.  ...