Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur les wampuns, le troc, les écus d’or, la livre tournois, la monnaie de cartes à jouer, le dollar, le sou du Patriote, la fondation des banques canadiennes et canadiennes-françaises…
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Après une brève incursion sur l’historique, le conférencier inspiré de sa propre collection, vous amène à découvrir différents aspects de la facture artisanale de la carte postale ancienne et des éphémérides épistolaires idylliques de sa famille datant de 1900 à 1914.
En 2016, nous commémorons le 250e anniversaire de l’arrivée au Québec des Acadiens qui furent déportés au Massachusetts, au Connecticut, en Pennsylvanie et à New York. C’est après avoir entendu parler de la Proclamation du gouverneur James Murray (1er mars 1765), qui offrait des terres gratuitement aux nouveaux immigrants, que les Acadiens déportés en Nouvelle-Angleterre demandèrent la permission d’immigrer au Québec. Après délibérations, le gouverneur Murray accepta d’accueillir ces Acadiens dans la Province of Quebec. Le premier bateau arriva au port de Québec le soir du 31 août 1766. Aujourd’hui, ce sont 4,8 millions de Québécois qui ont des origines acadiennes, dont plusieurs sont les descendants de ces Acadiens ayant choisi le Québec comme terre d’accueil. /// BIOGRAPHIE /// André-Carl Vachon est un fier Québécois d’origine acadienne. Il s’intéresse à l’histoire et à la généalogie acadienne depuis 1993. Il est l’auteur de plusieurs articles dans diverses revues d’histoire et de généalogie depuis 1994. Sa carrière d’auteur commença en 2008 avec la publication de la collection Être en société, matériel didactique du cours d’éthique et culture religieuse. Il est également l’auteur de l’essai Les déportations des Acadiens et de leur arrivée au Québec, qui fut publié aux éditions La Grande Marée, en 2014. Ce best-seller reçut plusieurs prix et distinctions : Prix Percy-W. Foy 2014, Prix Acadie-Québec 2015, 2e place et mention du jury du Prix France-Acadie 2015, l’un des 84 meilleurs livres publiés en 2014 (SODEP) et 3e position des 10 coups de coeur culturels 2015 (Acadie Nouvelle). M. Vachon est aussi l’auteur de l’essai Les Acadiens déportés qui acceptèrent l’offre de Murray, qui fut également publié aux éditions La Grande Marée, au printemps 2016. M. Vachon est également conférencier en histoire et généalogie acadienne depuis 2013. *** Note : cette conférence aura exceptionnellement lieu un mercredi.
En élevant un premier fort, le 25 août 1665, les troupes du capitaine Jacques de Chambly marquaient la naissance de la seigneurie de Chambly.
Cette conférence présente l’histoire de Chambly sous le régime de la Nouvelle-France, sous l’invasion américaine et sous la guerre de 1812 (complexe militaire britannique). Elle traite également de son industrialisation du 19e siècle jusqu’à l’aube du 21e siècle.
/// Biographie /// Louise Chevrier est romancière, journaliste et historienne. Elle a été présidente de la Société d’histoire de Chambly pendant huit ans. Elle est l’auteure de Marguerite et de Julie et Salaberry, dans la collection Les chroniques de Chambly.
Monsieur Brossard, entomologiste et globe-trotter célèbre, est un retraité qui ne connaît pas le repos. Grâce à sa conférence dynamique portant sur des sujets variés, il vous expliquera comment planifier votre retraite et comment l’occuper avec diverses activités de nature historique. Cette conférence où règne les anecdotes de voyages et les expériences de vie sera empreinte de notions d’anthropologie, d’histoire et de généalogie.
/// Biographie ///
Grand communicateur ayant à son actif de nombreuses conférences en entrepreneurship, motivation, gestion, passion, ainsi que sur l’environnement, la terre, l’éducation, le devenir des jeunes et le rôle des parents, pour différentes corporations, Monsieur Georges Brossard a d’abord une formation de notaire, métier qu’il a exercé pendant quinze années à Brossard. Mais nous le connaissons surtout pour son cheval de bataille : réconcilier les humains avec le monde des insectes et rendre l’entomologie accessible à tous. Pour cela il lui fallait un lieu : c’est ce qui l’a poussé à fonder l’insectarium de Montréal ainsi que ceux de Shanghai, de Terre Neuve, de New-Orleans et de Québec.
Au début du 19e siècle, le peuple canadien cherche à conquérir ses droits et à protéger ses libertés. Quelle place laissait-on aux femmes pour militer et même pour se battre contre le despotisme ? Anne-Marie Sicotte a trouvé moult traces des combattantes d’autrefois au fil de ses recherches pour sa fresque romanesque patriote en deux cycles, « Le pays insoumis » et « Les tuques bleues ».
Plus de cent soixante-quinze ans après les événements et malgré l’abondance des publications et de la documentation sur ce sujet, il demeure toujours difficile d’éviter le piège de l’émotivité et des passions. Dans l’espoir d’y distinguer la vérité historique des fausses croyances et du folklore, nous vous proposons d’aborder les rébellions de 1837-1838 sous un
angle critique. Nous soumettrons également un portrait sommaire de l’héritage laissé par les patriotes.
Cette conférence multimédia sur l’Expo 67 fera revivre cette expérience inoubliable de l’histoire du Québec. Elle soulignera comment elle fut un tournant culturel marquant de notre histoire. La soumission de la candidature de Montréal, la création de l’île Notre-Dame, l’ouverture de la ligne jaune, les pavillons, les invités et les visiteurs de marque, les spectacles, la création de La Ronde et un bilan de l’Expo 67 seront aussi présentés.
L’histoire de l’arrivée de ces femmes en Nouvelle-France au milieu du 17e siècle, à la demande du roi Louis XIV, est une histoire fascinante. Notre conférencière vous entretiendra sur les raisons qui ont poussées ces femmes à accepter cette demande du roi, de la dangereuse traversée, de leur accueil à Québec, de leur mariage, de leur installation sur une terre à défricher et de la vie qui fut la leur et celle de leur grosse famille.
Le 21 juillet 1836, la compagnie ferroviaire Champlain and St. Lawrence inaugurait à La Prairie le premier chemin de fer du Canada. Durant les 10 prochaines années, la petite locomotive Dorchester va transporter marchandises et passagers entre La Prairie et Saint-Jean, servant ainsi de complément au transport fluvial entre Montréal et New York. Par la suite, l’ouverture du pont Victoria viendra changer la vocation ferroviaire de La Prairie.
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