Généalogie de Jean-Paul Auclair

Jean-Pierre, Michel et Luc

 

 

Jean-Paul Auclair

Huguette Chartrand

Saint-Paul-de-la-Croix, Montréal

14 septembre 1957

Paul Chartrand

Berthe Audet dit Lapointe

Armand Auclair

Germaine Rouillier

La Nativité de La Prairie

1er juillet 1925

Louis-Philippe dit Commeroy

Marie-Louise Robidoux

Théophile Auclair

Arthémise Monast

Saint-Césaire, cté de Rouville

28 mais 1888

Charles Monast

Agnès Baron

Hubert Auclair

Esther Desautels

Sainte-Marie-de-Monnoir, Marieville

24 février 1862

Augustin Desautels

Marguerite Boivin

François Auclair

Marie Messier

Saint-Mathias, cté de Rouville

8 février 1802

Auguste Messier

Marie-Véronique Mongeau

François Auclair

Marie-Louise Grégoire

Sainte-Foy, Québec

20 juin 1779

Charles Grégoire

Louise-Marguerite Racine

Germain Auclair

Angélique Marois

L’Ange-Gardien

11 janvier 1745

François Marois

Marie-Anne Hébert

Charles Auclair

Madeleine Déry

Charlesbourg

14 juillet 1712

Maurice Desry

Madeleine Philippeau

Pierre Auclair

Marie-Madeleine Sédilot dit Montreuil

Charlesbourg

Contrat de mariage le 6 mars 1679

Notaire Becquet

Étienne Sédilot dit Montreuil

Marie-Madeleine Carbonnet

Pierre Auclair

Suzanne Aubineau

Pierre n’est pas venu en Nouvelle-France, mariés vers 1653 à La Rochelle. Suzanne est de Saint-Christophe D’Angoulins, arrondissement et évêché de La Rochelle, Aunis (Charente-Maritime), France.

 

Jean-Paul Auclair

Résident de La Prairie depuis 1941, Jean-Paul a offert à la population de la région l'avantage du loisir que procure le cinéma, de 1945 à 1982. Son édifice, qui a changé de vocation depuis, est situé sur le Chemin de Saint-Jean, près de la rue Notre-Dame. La contribution de Jean-Paul à l'essor économique et social de La Prairie s'est échelonné au cours des ans et se continue encore aujourd'hui. Co-fondateur de la Chambre de commerce, il en assume la tâche de secrétaire durant 18 ans. Intéressé aux loisirs des jeunes, il devient instructeur du club de hockey mineur. Jean-Paul ne ménage pas ses énergies pour « faire avancer les choses », il participe à la fondation des clubs Lions et Optimiste, et demeure un membre actif. Bien plus, pendant un mandat de 4 années, il fait équipe avec le conseil municipal de la Ville à titre de conseiller.

Lorsqu'arrivent les années 1980, avec l'avènement d'une population vieillissante beaucoup plus nombreuse, Jean-Paul ajoute à ses activités de bénévolat la participation à la mise en place du Campus des Aînés. Il assume alors plusieurs postes successifs à la direction des projets. Homme d'équipe, il demeure celui sur qui on peut compter quotidiennement. Que de démarches entreprises pour l'implantation de résidences pour personnes âgées : Centre d'Accueil, Résidence Balmoral lnc., les maisons de l'AQDR et Jean Gaudreau. On peut qualifier Jean-Paul de bénévole par excellence, généreux de son temps et de ses compétences mis au service de la Ville de La Prairie et de ses concitoyens.
 

L'ancêtre Pierre Auclair et André Auclair, sculpteur

L'ancêtre Pierre Auclair et son épouse Madeleine Sédilot-Bédard eurent une famille nombreuse, dix enfants atteignirent l'âge de la maturité. Deux garçons furent prêtres et 3 filles choisirent la vie religieuse. Pour ce qui est de l'histoire des générations successives, les recherches sont encore à faire. Un descendant s'est illustré à titre de sculpteur dans le Montréal du XIXe siècle. Voyons un peu le déroulement de sa vie.

ANDRÉ AUCLAIR (1803-1865) travaille avec son père comme maçon, tailleur de pierre et entrepreneur en construction. Son loisir préféré devint rapidement la sculpture de personnages à même les blocs de pierre tirés des carrières du Mont-Royal. Dans la mentalité de l'époque il était impensable de voir un fils qui n'appartenait pas, de par ses origines, à la bourgeoisie bien nantie, être admis auprès des maîtres-sculpteurs. Devant un bloc informe, André imaginait une jolie dentelle dans la pierre d'un bâtiment qu'il construisait. Bien plus, il sculpta une statue de la Vierge de quatre pieds de hauteur et en fit don à Mgr Ignace Bourget, 2e évêque de Montréal. Celui-ci place la statue dans la cathédrale pour l'édification des fidèles. En date du 13 décembre 1842, dans « les Mélanges religieux », le journaliste écrit des commentaires fort élogieux sur la statue. Hélas, ce témoin du talent d'André fut détruit en 1852, lors du grand feu de Montréal. La cathédrale faisait partie des 1600 édifices détruits par les flammes. La maison d'André est anéantie elle aussi. Il remet sur pied son entreprise de construction, et cela, grâce au crédit que les banques lui accordent.

André s'est acquis une solide réputation, il est honnête et compétent. Ses concitoyens l'élisent échevin de Montréal. Jusqu'à son décès en 1865, il s'adonne à son loisir préféré de sculpteur. André aimait la beauté, ses mains en ont fait naître; dommage que ses œuvres soient versées dans l'oubli!

 

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